Vivre dans un tableau


Voici une manière de passer son temps bien agréable qui ne nécessite pas de grands moyens. Regardez comme ces filles sont heureuses. Chacune, avec sa main, s’occupe du clito de l’autre, mais essaie, avec son autre main, de contrôler la jouissance procurée. Regardez comme elles ouvrent la bouche, à tour de rôles. Admirez la beauté de leurs doigts fins aux ongles vernis. Contemplez la manière dont leurs petits culs se trémoussent, surtout celui de celle de gauche. Les seins sont tranquilles et semblent ne se mêler de rien. Dommage, j’aurais aimé. Assurément, elles jouissent et cheminent vers l’extase, les doigts collés de cyprine. Elles sont belles, amoureuses, et vont se branler encore très longtemps.
Imaginez, à partir de l’illustration précédente, l’orgie que ce gynécée pourrait produire, la quantité de cyprine… Ophélie adorait ce tableau de Jean-Dominique Ingres, le bain turc. Elle me disait souvent qu’elle aurait voulu vivre dans un tableau.

(Publié le 24 avril 2020 dans "Honorine a du chagrin")

Commentaires

  1. Je suppose qu'Ophélie fréquenta des hammams, lieux que j'aimais beaucoup jadis, lieux de jouissance de tout le corps, et je vois très bien Ophélie dans ce tableau.

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    1. Il nous est arrivé de les fréquenter. Elle aimait être nue, caresser et se faire caresser par une femme. Oui, elle aurait aimé vivre dans de tableau d'Ingres.

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  2. Ingres a eu ce talent pour le dos interminable de son oeuvre "La Grande Odalisque"... Une oeuvre dans laquelle on retrouve cette Chair qui effectivement entraine à se faire Alice et franchir,....

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  3. Oui, son dos est interminable, il aurait une vertèbre supplémentaire!

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