Jolies poupées

 

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Il est quasiment impossible de décrire par le menu tout ce que font chaque jour dix jolies poupées lesbiennes en zérokini, habitant ensemble dans un vieux presbytère, ceci durant une dizaine de jours d'un mois d'août jusqu'à présent caniculaire. Ce qui est sûr, c'est que ces dix jolies poupées ne s'ennuient pas.

La maison et son jardin sont grands, donc toutes les dix, elles peuvent occuper la diversité de la surface, soit individualités isolées, en s'éparpillant, soit en se rapprochant en duos, trios ou quatuors, soit en s'agglutinant toutes les dix en un gros magma tentaculaire et cyprineux. Miam!

Je vais prendre un exemple. Aujourd'hui, vers onze heures je sors de ma chambre, habillée, pour aller acheter du pain pour midi dans la ville voisine. En sortant, j'entends des gémissements dans la chambre de l'évêque. Je vais voir, ce n'est évidemment pas l'évêque, mais Karine, la sœur aînée de Gaëlle, qui est en train de se faire tringler par la machine, tandis que Marlène la regarde en lui suçant tour à tour les mamelles. Je descends l'escalier et, au bas de ce dernier, assises sur la première marche, Honorine et Sandrine, se roulent un vrai palot, en même temps qu'elles se pelotent ardemment les nichons. Je me tourne et jette un œil dans la cuisine: Marceline s'y trouve debout, près de la table, tandis que Muriel, agenouillée à ses pieds, lui lèche la moule. J'en profite pour caresser les gros roploplos de Marceline qui, en retour, tripote les miens à travers le tissu de ma robe et me fait un baiser. Je voudrais que ça dure, mais je n'ai pas le temps, je suis en retard, il faut que j'aille au pain, je sors dans le jardin et, dans le spa récemment installé, Gaëlle, Rose et Joséphine rient comme des petites folles. En même temps, Rose masturbe Gaëlle et Joséphine fait de même à Rose... Toutes les trois me sourient, je leur souris et, en les quittant, leur dis que je vais acheter du pain et faire quelques courses dans la supérette. Elles sont visiblement heureuses, et j'en suis très heureuse.

En démarrant ma voiture, je pense que le monde est bizarre. C'est la guerre pas très loin, les forêts brûlent, l'avenir économique est sombre, et nous, nous sommes heureuses. Et moi la première, je suis heureuse d'un je-ne-sais-quoi, j'ai l'incroyable privilège de branler quand je le veux les neuf clitos de ces neuf jolies poupées, et de leur sucer leurs dix-huit nibards sans même leur demander la permission. C'est quand même assez fantastique! Non?

En roulant, je pense à ce qu'il est en train de se passer dans mon presbytère, et je pense aussi à la vie qui s'y déroulait autrefois, et je me dis que si les curés qui l'occupaient revenaient et voyaient ce qu'il s'y passe maintenant, ils seraient vraiment scandalisés et diraient que toutes ces femelles lubriques que nous sommes ne sont que des suppôts de Satan!

A un moment, je m'arrête et stationne ma voiture sur la berne, à l'entrée d'un champ. Je sors de la voiture et soulève ma robe. je retire le plug anal que j'ai entre les fesses, c'est facile, je n'ai pas de petite culotte. Il n'y a personne dans les environs, pas de maisons, pas de voitures, je peux donc me masturber. Je le fais un instant avec ma main droite, tandis que je tiens le plug dans ma main gauche. A la vue d'une voiture qui arrive, au loin, j'arrête de m'asticoter l'abricot, je remets le plug à sa place et je redémarre. Je suis pleinement heureuse d'être la salope que je suis, à ce moment-là. Suppôt de Stan, peut-être.

Plus tard, je sors de la boulangerie avec quatre baguettes de pain. Sur la route du presbytère, je pense à organiser une sortie collective quelque part pour faire une orgie en plein air, avec les filles, mais où? C'est compliqué. Je ne connais pas de lieu suffisamment secret et sécurisé pour accueillir les dix Ménades que nous sommes. En fait, j'ai tort, les filles ne demandent pas à sortir l'après-midi, elles se plaisent beaucoup au presbytère où elles baisent entre elles autant qu'elles le veulent et comme elles le désirent. Elles lisent également, s'occupent avec leur téléphone portable, écoutent de la musique, se succèdent dans le spa. J'insiste, nous pourrions quand même faire une orgie dans le jardin, toutes les dix en même temps, du côté ouest, totalement à l'abri des éventuels regards de la grille d'entrée. Ça serait bien. Oui, c'est une bonne idée. Les filles seraient déçues si nous ne le faisions pas. De même une autre séance bdsm dirigée par Rose, dans les communs, serait la bienvenue. Elles ont adoré la première, et aussi les sorties nocturnes. Toutes sous un ciel de pleine lune! C'était fantastique de se mater les seins et les fesses avec cette belle lumière. On se voyait comme en plein jour...

En ouvrant la grille d'entrée, je repense au spectacle des sœurs Brontë (c'est ainsi qu'Ophélie appelait Karine, Gaëlle et Muriel). Il a eu lieu, ce spectacle, dans le petit salon, le soir de l'arrivée des Bretonnes. C'était vraiment super, bandant, un très beau spectacle, tout en finesse et en subtilités, très excitant. On se masturbait en regardant. Je connaissais le savoir-faire de Gaëlle et celui de Muriel, mais pas vraiment celui de Karine... Madame l'Inspectrice des Impôts pratique peu, mais c'est une experte...

Depuis, je ne sais ni pourquoi ni comment, mais j'ai l'impression de tomber amoureuse de Karine... Soudain je pense, en refermant la grille que Karine est aussi le nom de la fille d'Ophélie! Je me demande ce qu'elle devient, cette Karine-là, je n'ai plus de nouvelles d'elle. Elle aussi est une jolie poupée, mais, dommage, hétéro.

Marianne

Commentaires

  1. Les curés qui occupaient le presbytère devraient être contents que vous l'ayez transformé en Paradis. Mais le Paradis des unes est l'enfer des autres. De toute façon, la réalité des (bons) vivants d'aujourd'hui prime sur les croyances du moyen-âge. Dans son renouveau, la vieille bâtisse connaît aujourd'hui une joie de vivre qu'elle n'a sûrement jamais connue. Les joyeuses vocalises de jouissance ont remplacé les psaumes monotones et mortifères. C'est la vraie vie !
    Pour revenir au récit de ta journée, oui, tu as de la chance d'avoir autant de clitos et de seins à disposition. En tout cas, moi, j'aimerais être dans ton Paradis.
    La bise.

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    1. Ce que tu écris rejoint le sens de mes réflexions sur "les vies" des lieux. Parfois, je me demande si les murs ont le pouvoir d'enregistrer la vie des vivants et de la restituer après leur disparition! Il y a des médiums qui le prétendent!
      Marianne

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  2. I congratulate the Creator of the Blog for having such Good taste and for sharing with us, enjoy the 5,11,12,19,25,26,28,35,37, those who heated the Gun 2,6,10,15,17,18,21,27,29,31,32,38,39,41,43,44,47,48,50, The Best art for Lovers of Pleasure

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  3. Merci pour ce joli descriptif, Marianne.
    Avec vous, c'est sexe 24 / 24.
    On ne s'ennuie pas.
    Au fait, moi aussi j'aime jouer à la poupée.
    Encore plus "avec" les poupées.

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    1. Jouer à la poupée (curieuse expression, c'est vrai...), c'est jouer avec au moins une poupée!
      Marianne

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  4. A presbytère transformed in a sapphic thyasus... that is a true improvement in human history! Your delicious post gives us a glimpse of your days of leisure and pleasure. I love the scene 'au clair de lune'... and also the detail that you go out of home wearing an anal plug! You're an amazingly sensual woman, Marianne! AA

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    1. Yes, this presbytery has been transformed into a Sapphic thyasus, but I don't know if it's a true improvement in human history! Thanks for thinking it and saying it, AA.
      Marianne

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  5. L'amour est la joie de vivre. "Faites l'amour et non la guerre" était la devise de toute une génération et je pense qu'elle est juste et opportune.
    Je suis très heureux de ces beaux moments sexy que vous avez. Cela peut aussi être une source d'inspiration pour nous tous. Nous devons bannir la tristesse de nos vies et c'est un bon moyen.
    Marianne, les filles, je vous aime ! Beaucoup de bisous.

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    1. Beaucoup d'humains ne sont pas heureux du bonheur des autres. Merci, GIannis!
      Marianne

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  6. Ta description est paradisiaque, Marianne. Rappelle-moi ce qu'est la spa que je confondais avec un hamam. L'idée des jardins est bonne pour en profiter à dix. Tout ceci semble merveilleux. Profitez-en bien.

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    1. Un spa est un lieu de bain bouillonnant où l'on peut être plusieurs et qui, grâce à des petites bulles, offre un massage très agréable... Bisou, Elisabeth.
      Marianne

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