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Affichage des articles du octobre, 2023

Une artiste très douée

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Carice van Houten - Cloudbusting Carice van Houten - Emily Carice van Houten - Particle Of Light 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 49 41 42 43 Dans nos récents écrits, Joséphine et moi avons comparé l'apparence physique d'Aimy à celle de Carice van Houten. Voici quelques images de cette actrice et chanteuse néerlandaise de 47 ans, dont le talent immense et particulièrement varié nous émeut beaucoup. Comme elle, Aimy a une jolie bouche (que Joséphine a découverte cette année, puisque l'an dernier le masque anti-covid était encore obligatoire dans les thermes!). Par ailleurs, Aimy a naturellement les cheveux châtains clairs, alors que Carice est certainement brune (sauf dans certains films où elle apparaît blonde ou rousse). Nous écoutons beaucoup les chansons de la belle Carice et essayons de voir ses films, bref nous l'adorons. Marianne et Joséphine  

Notre dernière semaine

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  L'hôtel des Baignots, vu de l'Adour La dernière semaine, nous retrouvâmes Aimy le mercredi soir, le samedi après-midi et le dimanche toute la journée. Le mercredi soir, nous sommes retournées à Soustons, chez elle, où nous nous sommes baladées dans le parc de la pointe des Vergnes. Ne travaillant pas le samedi après-midi, Aimy est ensuite venue passer tout le week-end, dans notre résidence. Ainsi, elle a dormi avec nous dans la nuit du samedi au dimanche.  Le mercredi soir, nous avons dîné dans un petit resto, puis, comme je l'ai dit, nous sommes retournées au parc de la pointe des Vergnes, là où nous avions rencontré notre Merveille. Quand nous sommes entrées dans le parc, il faisait nuit. Nous nous sommes bécotées et peloté les seins, debout, dans l'allée centrale, puis avons cherché et trouvé un banc au bord du lac, sur lequel nous nous sommes assises et avons continué de nous embrasser et de nous peloter les seins . Nous étions en jupe et chemisier et, comme il fa

Chez Aimy

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Joséphine préfère me donner la plume pour conter la suite de notre aventure à Soustons.  Ainsi Aimy nous avait invitées à dîner. En voiture, joyeusement, nous avons suivi sa voiture qui s'est arrêtée dans un quartier assez aéré, en limite de la ville. Aimy nous a introduites dans une petite maison sans étage, claire et confortable. Nous sommes restées avec elle dans la cuisine à préparer le dîner. C'était étrange. On ne connaissait pas cette fille et, en même temps, j'avais l'impression de la connaître depuis longtemps. Elle a mis de la musique sur Deezer et nous a demandé pourquoi nous vivions avec deux autres femmes. Nous lui avons expliqué.  — Ainsi, vous gouinez toutes les quatre, vous vous aimez et faites l'amour ensemble! C'est vraiment super! J'ai confirmé et ajouté: — Sauf en ce moment, puisque nous sommes séparées. Gaëlle et Honorine sont ensemble, en Bretagne, chez les parents de Gaëlle, puis elles iront ensuite en Normandie, chez ceux d'Honori

A la recherche d'Aimy

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Nous sommes allées à Soustons, sans perdre de temps, dans le seul  but d'y trouver Aimy. Marianne était plus que partante. Nous nous y sommes rendues durant plusieurs après-midis. Soustons est une ville proprette, sans particularité historique, et nous y avons déambulé sans relâche, dans l'espoir de rencontrer la Belle au coin d'une rue, mais rien. Nous sommes allées près du lac, notamment dans le parc de la pointe des Vergnes, qui est un lieu de promenade et de loisirs assez fréquenté, semble-t-il, par les Soustonnais, un lieu très agréable et bien ombragé. Et là aussi, pas d'Aimy. Nous commencions à désespérer. Un dimanche, le deuxième de notre séjour, en fin d'après-midi, en retournant marcher dans le parc de la pointe des Vergnes, Ô joie, nous l'avons aperçue, assise dans l'herbe en compagnie de deux petites filles. Je l'ai immédiatement reconnue. J'ai simplement dit: "C'est elle, c'est Aimy!" Elle m'a entendue et a dit &quo

A la cure

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  Comme l'an passé, je n'étais pas curiste. Seule, Joséphine bénéficiait de soins. Elle y allait tous les matins. Vers 9 heures 20, elle quittait notre appartement, nue sous son peignoir, descendait aux thermes, situés sous la résidence, et revenait vers midi et demi. Pendant ce temps, je l'attendais, nue sur notre lit ou sur le balcon, m'adonnant à la lecture, à l'audition de musique, notamment des chansons de Carisse van Houten, ou à des plaisirs solitaires (branlage clitoridien, gode manuel, gode-ventouse). Je dois préciser que notre appartement était situé au quatrième étage, et que, d'en-bas, personne ne pouvait me voir, d'autant que de très grands arbres masquaient la façade de la résidence. Malgré ces grands arbres, les balcons étaient ensoleillés tout l'après-midi. Dès que Joséphine remontait des thermes, nous nous habillions rapidement et allions déjeuner au restaurant, lequel était essentiellement fréquenté par des curistes âgés. Avec mes quara