Paresseuses et lascives

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Au presbytère, Joséphine et moi avons retrouvé Honorine et Gaëlle, manifestement enchantées de leur séjour en Bretagne. Bien sûr, toutes les quatre, nous avons repris nos petites habitudes. Mais difficile de se remettre vraiment au boulot. Depuis notre retour, nous sommes toutes devenues lascives et paresseuses. Je ne sais pas ce qui se passe. Il y a des feuilles à balayer dans le jardin, de la taille d'arbustes et de la tonte de pelouse à faire, mais nous ne le faisons pas, c'est trop dur. Même d'écrire dans ce blog nous soucie. Nous n'avons qu'une seule envie: ne rien faire, ouvrir les cuisses, nous lécher, nous sucer, et nous introduire des godes.


Marianne

Commentaires

  1. Filimages17 octobre 2023 à 21:05

    Mais c'est très bien aussi d'ouvrir les cuisses, se lécher, se sucer et s'introduire des godes. C'est une autre façon d'entretenir le gazon...

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    1. Marianne Lebey18 octobre 2023 à 21:33

      Absolument! Merci Phil pour cet encouragement. Nous allons nous remettre à l'ouvrage!
      Marianne

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  2. Gem17 octobre 2023 à 23:03

    C'est souvent comme ça en rentrant de divers séjours.
    Et je vous comprends bien que vous préférez certaines pelouses à d'autres.....

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    Réponses
    1. Marianne Lebey18 octobre 2023 à 21:36

      Avec Phil, vous ne vous êtes pas fait le mot, semble-t-il, mais les grands esprits se rencontrent!
      Marianne

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    2. Gem19 octobre 2023 à 10:05

      Effectivement, nous nous sommes pas concertés. Mais, nous avons plein de points communs, en particulier les sujets sur les femmes que nous aimons éperdument et qui nous amènent à avoir les mêmes réflexions. (J'espère que vous les aimez...nos commentaires...)
      Je salue Phil à travers ses beaux gazons que j'imagine très bien entretenus, et qui appelles aux gourmandises humides.

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  3. Giannis Pit.18 octobre 2023 à 17:39

    Bienvenue, Marianne. Détendez-vous et tout se mettra en place. Bien sûr, l'orgasme aide à calmer les choses, nous le savons.
    Bonne soirée à tous.

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    Réponses
    1. Marianne Lebey18 octobre 2023 à 21:38

      Nous nous détendons bien, cher Giannis. Ce sont les retrouvailles, sans doute.
      Marianne

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