Les seins selon Gaëlle



Marianne m’a proposé d’écrire à la demande de Gil, un texte pour dire ce que je pensais des seins. J’ai dit oui, mais je le dis tout de suite, je n’aime pas trop écrire parce que je fais des fautes, mais heureusement Marianne m’a dit qu’elle me les corrigerait.

La question est pourquoi j’aime les seins? En réalité, je ne sais pas trop, parce que c’est beau et que c’est doux. Pendant longtemps, j’ai touché ceux de ma sœur Karine et elle seule pouvait toucher les miens. J’avais peur de toucher ceux des autres filles, pourtant je les désirais, parce que je ne voulais pas devenir lesbienne. J’en avais peur. Marianne quand je l’ai connue m’a rassurée et aussi Ophélie que je voyais au début comme une horrible sorcière perverse et immorale qui organisait des partouzes de filles. Aujourd’hui je touche les seins des autres filles, sans complexes, et je les laisse me toucher. Je n’ai plus peur d’être lesbienne, j’accepte d’être une « gouine », d’autant plus que je n’aime pas les garçons. Les garçons me font très peur avec leur gros machin truc bidule. Je l’ai déjà expérimenté, et je n’ai pas du tout aimé, mais c’est une autre histoire. Quand c’est une fille qui me tringle, ce n’est pas pareil, je me laisse tringler et j’ai même beaucoup de plaisir. C’est mieux, c’est plus doux, même avec un gode en plastique. Les seins, ça me fait penser à ma mère, parce que ma mère en a des très gros, mais les siens sont tout avachis. Ils sont vilains. J’aime les nanas à gros seins, mais pas énormes quand même. J’aime quand ils remplissent bien mes mains et sont élastiques. J’aime les miens, j’en suis assez fière, mais ce n’était pas le cas dans le passé. J’en avais honte et je ne voulais pas les montrer, seulement à ma grande sœur Karine. Karine m’a aidée heureusement mais aussi Marianne et Ophélie.


Gaëlle


Ce texte de Gaëlle, écrit en avril dernier, pendant le confinement, l'a été à la demande du blogueur Gil (Gemssa) dont le blog (https://meserovasions.blogspot.com) s'est mystérieusement arrêté, ces derniers jours. Gil m'avait demandé d'écrire un texte sur mes seins, puis avait souhaité des textes similaires de la part de mes deux compagnes, Honorine et Gaëlle. 


J'ajoute, pour compléter ce qu'écrit Gaëlle, qu'aujourd'hui elle est très fière de ses seins et qu'elle n'est jamais la dernière, dans notre maison, à les exhiber. Elle ne le dit pas dans ce texte, mais elle adore se les faire sucer et sucer ceux des autres.

Commentaires

  1. Merci Gaëlle, d'avoir surmonté ta réticence pour nous livrer ton ressenti.
    J'espère que le "gros machin truc bidule" ne t'a pas traumatisée au point d'en avoir oublié jusqu'au nom. Il est vrai que certains propriétaire de pénis ne sont très délicats avec leur partenaire, mais il ne faut pas généraliser.
    Quoi qu'il en soit, je suis content que tu aies trouvé ton bonheur, à ta façon.
    Bon dimanche et bise à toute la maisonnée des fées.

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    1. Peut-être qu'un jour j'en parlerais sur le blog de Marianne, mais j'ai été traumatisée quand j'étais enfant par le gros machin truc bidule. J'ai été dégoutée et depuis je ne peux faire l'amour qu'avec une fille et encore ça n'a pas été simple au début, heureusement ma soeur Karine m'a beaucoup aidé. Maintenant j'ai trouvé le bonheur avec mes deux zamours Marianne et Honorine. Je te remercis de ta gentillesse, Phil.
      Gaëlle

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  2. Je trouve le texte de Gaëlle particulièrement touchant et même émouvant, enfantin. Et c'est ce côté enfantin qui me touche. J'aime beaucoup... "leur gros machin truc bidule". Très drôle. Ce qui est troublant, quoi que, c'est qu'elle écrit des choses que j'aurais pu écrire. "J’aime les nanas à gros seins, mais pas énormes quand même. J’aime quand ils remplissent bien mes mains et sont élastiques." J'aime aussi ce qu'elle dit d'Ophélie. Mais je pense qu'elle a dû changer d'avis assez rapidement en constatant qu'Ophélie était une belle personne, instruite et intelligente.

    J'ai découvert aussi la fermeture du blog de Gil. Je n'y allais pas très souvent, mais je l'aimais bien.

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    1. Merci Alex, je suis bien contente que tu trouve mon texte interessant et je tant remercis. TU dis de moi que je suis enfantine ça ne me choque pas du tout parce que c'est vrai je suis une petite fille même avec mes gros nichons. Au début Ophélie me faisait peur et je ne comprenais pas mes deux soeurs qui l'adorait et la mettait dans les nues. Elle me faisait peur parce qu'elle n'avait peur de rien au niveau sexe; Après j'ai compris et j'ai appris a aimé ça beaucoup j'ai compris qu'Ophélie était une fille vraiment extra, généreuse et très bonne. excuse les fautes Alex et mon écriture qui n'est pas bien. C'est Marianne qui me pousse à répondre, c'est elle m'a fait aimé Ophélie, je suis d'abord tombée amoureuse de Marianne, ai point que je voulais me marier avec elle et avoir un enfant avec elle. Heureusement ça ne s'est pas fait, et notre vie à trois est très bien maintenant même si je regrette da disparition d'Ophélie.
      Merci beaucoup. Kiss
      Gaëlle

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    2. Merci pour ta gentille réponse. J'espère que Marianne ne t'a pas trop fait mal en te poussant 😉 Continuez à être ensemble comme vous l'êtes, à prendre soin de vous et à bien baiser aussi, bien sûr. Les temps sont durs et c'est une chance de vous être trouvées. J'espère que toi et Honorine auront de nouveau envie d'écrire sur le blog de Marianne. C'est un plaisir de vous lire. Kiss aussi 😘

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    3. Non Marianne ne m'a pas fait mal en me poussant il faut vaincre sa timidité. Nous sommes bien ensemble, nous baisons bien et prenons soin de nous comme il faut aussi bien pour la santé que pour le physique. Nous voulons rester belles et en bonne forme. C'est sans doute égoïste mais tant pis je n'ai jamais été au temps heureuse. Je t'embrasse Alexandre.
      Gaëlle

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    4. C'est important de prendre soin de ceux (celles) que l'on aime. Et c'est important aussi de savoir être égoïste. Ce n'est pas forcément un défaut. Continuez à prendre soin de vous et à bien baiser. C'est important aussi, pour la santé de la tête, et du corps. Je t'embrasse aussi Gaëlle.

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  3. Merci Gaëlle pour ton écrit si expressif et si vrai. Je comprends ta peur d'être lesbienne au départ : tu dois savoir d'où elle vient. Je trouve très beau que tu aies eu cette complicité avec ta soeur, peut-être première initiatrice à son insu. Le machin truc bidule est assez bien trouvé, certains messieurs y attachant une importance démesurée pour une femme, et ils rêvent de l'épitaphe de Sacha Guitry ( " enfin raide " ) qui avait, d'après une émission sur le théâtre que j'ai entendue récemment, des moyens limités. J'ai bien fait rire Ophélie avec cette histoire d'épitaphe lâchée dans un salon où les deux tiers de l'assemblée étaient sourds!!! Quel boulot pour leur expliquer ensuite!!! J'ai un autre souvenir amusant autour du machin truc bidule : j'avais plusieurs préservatifs à côté du nid d'amour et l'amant présent eut cette phrase " tu me surestimes "! Non, je ne le réduisais pas au machin truc bidule!!! Je ne sais si Honorine porte des soutien gorges de la marque Playtex - cette marque étant connue pour les cavalières afin de bien maintenir les seins et éviter qu'ils tombent comme eux de ta mère!!! Certes, tu vois les seins d'Honorine sans cette étrange cuirasse ( qui existe avec des dentelles ) mais j'aime plaisanter, et je t'ajoute un phénomène observé en Afrique : des femmes balançaient leur sein par dessus l'épaule pour que l'enfant porté dans le dos puisse l'attraper!!! L'enfant et sa joie permettaient de trouver ce spectacle sympathique, sinon une poitrine flasque n'est pas souhaitable. Je vous souhaite à toutes les trois de continuer une vie belle où toutes les cordes du désir chantent.

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    1. Merci beaucoup Elisabeth pour ta belle réponse. Marianne me dit que tu es une fille étonante et c'est bien vrai. C'est. vrai, ma soeur Karine a été ma première initiatrice et nous continuons de faire l'amour ensemble quand elle vient nous rendre visite. Elle m'a beaucoup rassurée quand j'étais jeune et frigide, mais j'ai encore la peur du gros machin truc bidule des mecs alors que je ne l'ai pas du tout des godes manipulés par de jolies dames. Tu l'as deviné Honorine porte des soutiens gorges Playtex pour faire du cheval, elle dit aussi que ça la maintient mieux. Elle a des seins assez gros mais pas suffisament pour être balancé par dessus l'epaule comme font les femmes en Afrique. J'aime beaucoup les seins d'Honorine qui sont magnifiques et font chanter mes cordes du désir comme tu le dis si bien.
      Doux baiser
      Gaëlle
      Gaëlle

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    2. Tu as l'air très sympathique, Gaëlle. Tu écris très bien et ta sensibilité est à fleur de peau. Tu connais tous les charmes du contact des peaux. Si l'occasion se présente, la peau noire est d'une texture agréable : j'ai beaucoup aimé d'autant plus que ce sont des corps très musclés. Il y a peut-être dans votre chère Bretagne quelque passionnée de la danse africaine. ( Je suppose que Marianne t'a dit que je n'avais pas essayé avec des femmes mais je sais regarder les corps et c'est d'ailleurs pour cela que j'ai évoqué la sculpture en répondant à Honorine : en tant que sculptrice, je touche la peau, en sens tous les émois ). Pour le gros machin truc bidule, tu as su nous dire sans détail que tu avais été agressée et sans doute enfant : alors, ta peur est plus que normale. Tu verras bien si l'occasion de le vivre se présente dans de bonnes conditions mais ce n'est pas important. Un peu de danse africaine vous irait mieux à toutes les trois avec des acrobaties comme certaines illustrations d'Ophélie donnent une idée.
      Je t'embrasse Gaëlle. Elisabeth.

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    3. Pourtant il parait que je ne suis pas toujours sympathique, on dit que j'ai l'humeur changeante, mais je suis quand même une bonne fille très humaine. Pour ce qui est d'essayer des peaux noire, c'est deja fait. L'an dernier, à la fin du mois d'aout, Ophélie avait invité ses amies new-yorkaise, des noires, Grace et Angela, avec ses amies italiennes. On était nombreuses et on a fait de grandes partouzes entre filles. J'ai donc touché sucé et léché pour la première fois des seins de noires et des foufounes de noires. C'est dépaysant et très agréable, tu as raison. J'en garde un bon souvenir et Honorine aussi. Elles ont été très peiné de la mort d'Ophélie, et j'espère que nous les reverrons; Marianne leur écrit, mais avec le Covid, ce n'est pas facile de se voir. Tu me fais rire avec ta danse africaine. Je ne sais pas si nous en faisons mais nous sautons beaucoup en faisant les fofolles et des acrobaties!
      Merci pour ta réponse, je t'embrasse Elisabeth.
      Gaëlle

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  4. Je n'ai pas eu l'occasion de te remercier pour cette rediffusion, Gaëlle.
    C'est pour ça que j'y reviens. Et que je te remercie, encore, maintenant.
    Tout comme je le disais à Honorine, c'est écrit avec sincérité, et tu trouves
    les mots justes, pour nous dire toute ta passion pour les seins des femmes et pour les tiens.
    Même si tu as eu de l'appréhension à y venir, je pense que tu ne le regrette pas, maintenant.
    Merci aussi à ta sœur Karine qui a su te mettre sur la voie avec délicatesse, sûrement.
    C'est vrai, il y a sûrement plus de douceur avec les femmes.
    Vos belles courbes sont là pour nous le rappeler,
    mais tous les hommes ne sont pas à jeter, non plus.
    Par contre, côté seins, là, c'est mal barré.
    Et je te comprends.
    Merci Gaëlle.

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    1. Bonjour gem, oui je suis bien contente du succès de mon article sur les seins, Marianne m'a dit que j'ai obtenu beaucoup de pages lues, plus qu'Honorine, ce qui la fait bisquer. non, je ne regrette pas d'être devenue gouine, ça me plait beaucoup, mais j'ai toujours peur de me retrouver avec un homme. Ca n'arrive pas souvent de fait on est toujours entre filles, surtout depuis le covid. OUi Karine a su me mettre sur la bonne voie.
      Je te remercie pour ton gentil commentaire;
      Gaëlle

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    2. Le plaisir est pour moi, et j'espère qu'il y aura d'autres billets de toi, d'Honorine,
      de Marianne.
      Au fait Gaëlle ? Est-ce qu'Honorine te chatouillait aussi pendant que tu me répondais ?
      Bon dimanche de léchouilles mammaires à vous trois.

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    3. Oui, elle me léchait les tétons!
      Gaëlle

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    4. Ca motive l'écriture,
      mais ça peut être déstabilisant.

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  5. Bonjour, C'est par le biais de la détection d'une visite sur mon blog depuis "Liligrolos" que je suis arrivé ici, un blog découvert donc par le biais de cet article.... J'ai reconnu en passant dans les "Délit-Cieux" commentaires des personnes que je "connais" de par le blog de Gil....
    Ce texte de Gaëlle est vraiment touchant de manière globale, par le fait d'une expression très spontanée, directe, naturelle et tellement pudique et douce! Il est rare de voir de telles écritures, et c'est justement ce qui me semble, ce que je vis de plus beau dans la lecture, comme dans l'écriture.... Cela en rend une lecture véritablement charnelle, sensuelle, humaine et imprégnée de ce qui de qui nous sommes, les un-e-s et les autres de nos réalités intimes et profondes, anciennes, sociales, psychiques, éducatives, etc. Oui, on lit beaucoup de choses dans de telles expressions..., C'est peut -être parceque que comme le dit Gaëlle("je n’aime pas trop écrire") on consent et on parvient à extérioriser, à exprimer et que l'on n'a pas forcément de méthode et de technique que l'on extériorise alors de soi une "matière" aussi vivante. Un expression courant dit "sortir les tripes" ou mettre ses tripes sur la table" et 'est ce genre d'impression que l'on a en lisant cela, autant dans le texte de Gaëlle que dans ses commentaires additionnels qui suivent... ou autrement dit (autre expression): "À Fleur de Peau", car oui, il y a une réelle mise à nu de ce Féminin si Beau, si moelleux, si tendre, si doux et si charnel, si tendre et épidermique! D'autnt que l'on sent bien et que l'on voit bien que cette Nature généreuse de la Femme-Gaëlle, inspire et nourrit les commentaires qui suivent.
    Effectivement Gaëlle, tu es fort bien et fort joliment entourée et tu as visiblement su aussi entrer à l'écoute et en relation avec ton identité et ta Nature profonde et Réelle. Et ce sont bien là les plus beaux des voyages, davantage encore lorsque librement l'Amour se manifeste et que l'on lui offre d'être son-sa Messag-ère-er avec l'Oriflamme de la conquête du Monde et de la Vie!
    Félicitations à Vous les filles et les gars,
    Je vais poursuivre la découverte de votre blog...

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    1. Henri-Etoile, Marianne me laisse te répondre. Tes paroles concernant mon texte me touche et me font plaisir. Je n'aurai jamais cru qu'il est autant de succès. Depuis la création du blog de Marianne, c'est la page la plus lu. Encore merci, mais je te signale qu'il n'y a pas de gars parmi nous! Nous sommes trois filles.
      Gaëlle

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  6. Je sais bien Gaelle que vous n'êtes que des filles. Je me permets de remercier les"gars" présents qui se manifestent et s'expriment dans ces cet article dont deux avec qui j'ai des relations par ailleurs, des gars bien qui justement ont une riche sensibilité au Féminin. Oui pourquoi cet article a du succès ? C'est aussi parce-que ton expression et sa qualité sur ce sujet porte dans l'espace de partage cette dimension du Féminin qui évoque une puissante représentation sous différents aspects... et notamment celui de l'identité et du genre en tant que différence. Une différence au regard de la conformité dans ce qui est attendu d'une femme par le fait de l'ordre social masculin et masculiniste: comme par exemple le fait d'être tringlée et de jouir par pénétration d'un machin truc bidule parce-que l'on est une femme dans une société dont toutes les formes de pouvoirs sont eurovision aux hommes et même à un Dieu masculin au commencement de tout alors que chacun-e soit que c'est un mensonge fondamental. Le fait de ces seins marque l'identité de la Femme et du Féminin et To soulignés bien comment même l'éducation fait quine jeune femme, jeune fille est même conduite à regarder sa propre poitrine avec doute et suspicion et même avec "peur".... et il ne s'agit là "que" des seins, dans les effets et les conséquences de ce genre de peurs. Des peurs fabriquées de toutes pièces par l'éducation et tous les conditionnements sociaux.... et dans ton texte, c'est aussi ce qui touche avec la référence à cet Amour sororal qui unit les êtres que nous sommes dans la lutte. Et c'est une lutte joyeuse aussi, un combat joyeux, comme quand il s'agit de se toucher et de toucher l'autre, de le-la tripoter, de le-la sucer, de la-le lécher, de la-le boire et manger, de le-la pénétrer, mais là c'est encore une autre"histoire".
    Vous êtes adorables et belles les filles, (les gars aussi)

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    1. Je n'ai pas tout compris, sauf. la fin, que nous sommes belles. C'est vrai, nous sommes belles, nous nous aimons et nous baisons bien.
      Gaëlle

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