Fessée
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à Marianne,
Tu es grande pour recevoir la fessée
Ma chérie
Mais je te la donne petite sauvage
Ainsi tu redeviens une petite fille
Peut-être à la fin seras-tu plus gentille
Toi déjà si sage
Entre deux volées qui te framboisinent
J’embrasse tes parties charnues
Ta raie sublime
Ton petit trou du cul chéri
Et j’enfile trois doigts dans ta fentine
Ça fait que tu te tortilles
Alors je recommence la fessée
Ophélie Conan
Poème publié le 23 mars 2017
dans "Conan la barbare II"
Je l'ai, entre autres, illustré par des tableaux de Jules Pascin (1885-1930).
De quoi rougir ! Mais plus des fesses que des joues...
RépondreSupprimerQuand on pense que la fessée est interdite depuis le 1er janvier 2019!
SupprimerBien qu'étant astrologiquement "balance", je ne vous dénoncerai pas !
SupprimerÇa ne serait pas gentil de le faire. Merci Phil.
Supprimer;-)
Je n'avais pas pensé à l'interdiction de la fessée! Le poème d'Ophélie est très chaud mais c'est ce qui fait tout son charme et j'aime bien les tableaux choisis. Votre complicité est très présente dans ces mots. Je ne rougis pas ( je suis une vraie brune ) mais je suis excitée quand même!!!
RépondreSupprimerEh oui, la fessée est interdite, mais nous continuons de la pratiquer quand même entre filles, ça lui donne un peu plus de piquant!
SupprimerEgalement, je rougis peu car je suis brune comme toi, Elisabeth, et la fessée a le don de m'exciter toujours beaucoup!
Je n'ai jamais fessé une femme. J'aurais dû, sans doute. Pour tout dire, je n'y ai jamais pensé. Ca doit aussi venir de là. 😊
RépondreSupprimerMoi non plus je n'avais jamais pensé à fesser une femme. C'est Rose qui a appris cette pratique à Ophélie. Rose nous fessait souvent, Ophélie et moi, à la main ou avec un battoir. J'ai donc appris à être fessée et à fesser, et à aimer ça. C'est très agréable, à condition de ne pas dépasser les limites intolérables de la douleur. Nous pratiquons souvent, Gaëlle, Honorine et moi.
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