C'est assez mystérieux
Ces moments sont divins.
La blonde du milieu qui est tétée aime, cela se voit, et ses deux amies, qui tètent activement, aiment aussi beaucoup. Dans ce jeu que nous aimons, toutes les places sont bonnes à prendre. À trois, il est d’ailleurs facile d’en changer. Téter, puis se faire téter. Se faire téter, puis téter à son tour.
J’aime particulièrement quand deux bouches suceuses de femme s’accrochent à mes tétines comme des ventouses. Quelle femme fière de sa poitrine, n’aimerait se faire téter? Surtout par deux bouches très gourmandes, voire davantage de bouches si d’autres bouches attendent impatiemment leur tour?
Ce qui m’a le plus étonnée quand j’ai rencontré Ophélie et suis rentrée dans son monde, c’est de constater, combien les lesbiennes, pourtant dotées de seins comme toutes les femmes, aimaient les seins des autres femmes. Ophélie me disait souvent: « Pourquoi recherchons-nous chez d’autres ce que nous avons déjà? Ce n’est pas clair, c’est même assez mystérieux. »
Il en est de même, me direz-vous, de la chatte et de tout le reste.
La blonde du milieu qui est tétée aime, cela se voit, et ses deux amies, qui tètent activement, aiment aussi beaucoup. Dans ce jeu que nous aimons, toutes les places sont bonnes à prendre. À trois, il est d’ailleurs facile d’en changer. Téter, puis se faire téter. Se faire téter, puis téter à son tour.
J’aime particulièrement quand deux bouches suceuses de femme s’accrochent à mes tétines comme des ventouses. Quelle femme fière de sa poitrine, n’aimerait se faire téter? Surtout par deux bouches très gourmandes, voire davantage de bouches si d’autres bouches attendent impatiemment leur tour?
Ce qui m’a le plus étonnée quand j’ai rencontré Ophélie et suis rentrée dans son monde, c’est de constater, combien les lesbiennes, pourtant dotées de seins comme toutes les femmes, aimaient les seins des autres femmes. Ophélie me disait souvent: « Pourquoi recherchons-nous chez d’autres ce que nous avons déjà? Ce n’est pas clair, c’est même assez mystérieux. »
Il en est de même, me direz-vous, de la chatte et de tout le reste.
(Publié le 6 mai dernier dans "Marianne a du chagrin")
Ce désir de ce que l'on a déjà est, en effet, très mystérieux. Je ne sais pas si quelqu'un est capable de répondre à cette interrogation.
RépondreSupprimerComme le plaisir de se regarder dans un miroir, peut-être...
RépondreSupprimerJe pense que tu es sur la piste, Marianne. Ophélie parlait beaucoup du miroir également.
RépondreSupprimerOui, elle adorait les miroirs. Elle connaissait parfaitement la vanité, quand on est belle, de se regarder dedans, mais elle avait besoin de désirer et d'aimer cet autre soi-même virtuel. Ses amantes étaient une autre image d'elle-même. Je parle pour elle, mais je crois que je suis aussi comme ça. J'aime me regarder nue dans un miroir, et j'aime aussi être regardée, désirée, par une jolie femme, tout comme j'aime regarder une jolie femme...
SupprimerPour beaucoup, et pour donner de mon point de vue suite à la question de la fin du texte, pour beaucoup, je pense que c'est la Joie du Jeu, autant que les Joies du Je... Il y a quelque chose de la richesse des différents ingrédients dont nous sommes constitués et des ingrédient dont sont consitués l'Autre, les Autres... Se voir, se regarder, se masturber, ^etre dans la Volupté, c'est une F...*, P.....* d'Alchimie très opérationnele au regard du brasier qu'est et que devient notre corps, dans et par le Désir, dans et par le Plaisir, En résumé nous sommes des Bombes et des Bombasses !!! Des Uni-Vers de Jouissances et c'est Cosmique, rien de moins, ou Divin, selon les références plus ou moins glauques de ce que l'on nous fout dans la Tronche!
RépondreSupprimerOui, mais ça nous dépasse et c'est mystérieux!
Supprimer