Un monde sans barrières

Dimanche dernier, premier week-end du déconfinement national, nous nous sommes confinées entre nous, en plein air.

Nique-pique donc, dans la lande, avec Gaëlle et Honorine, mais aussi Karine, Muriel et Rose. Il n’y avait personne d’autre que nous sept (je compte Ophélie qui est dans l’air), le soleil et les chants des oiseaux dans les arbres, et le grand menhir de Peumerit.

Pour son plaisir et le nôtre, la jeune Honorine était évidemment à l’honneur. Nous avons décidé qu’elle incarnerait, ce jour-là, notre Ophélie aux mille orgasmes, en commettant sur elle de lentes et exquises transgressions souples, par successions de traversées suaves et d’imperceptibles franchissements doux.

(Publié le 20 mai 2020, dans "Marianne a du chagrin".)

Commentaires

  1. Je me souviens avoir trouvé excitante l'idée que Karine puisse s'unir à Ophélie dans cette incarnation par Honorine!

    RépondreSupprimer
  2. Elisabeth, je te précise que cette Karine n'est pas la fille d'Ophélie et la mère de Kali, mais la sœur aînée de Muriel et Gaëlle! Les trois sœurs sont lesbiennes. Il y a deux Karine!

    RépondreSupprimer
  3. J’aime ce menhir. Plus jamais je ne le verrais de la même façon. Mon père venait de Peumerit.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui, c'est un beau et grand menhir, peu visité. Nous y avons passé de bons moments!
      Merci pour votre commentaire.
      Marianne

      Supprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Contrefaçon

Le monde d'Ophélie

Chic! Chic! Hourra!

Fin de soirée

Sixtine

Nuages

Jolies poupées

Petites et grandes manœuvres

Une nature volontaire et capricieuse

Lilith