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Un thé entre filles
Partie carrée aujourd’hui
Demain probablement sextine
Sans doute octavine après-demain
C’est comme ça un thé chez nous
Filles anandrynes
De passage
Sans doute pas sages avec nos aréoles en feu
Folles de nos corps et de notre cyprine
Préférons penser à nu
Toutes nues
Et nous oublier quand nous parlons
Pourtant jamais
Au grand jamais
N’oublions nos corps
Le soir au fond des bois
Sachant que tout ce qui a des nichons peut être déniché
Même dans la nuit noire d’une forêt profonde
Ou du profond décolleté
D’une reine de cœur
Un thé entre filles
C’est une fête entre fées
Et ça n’est rien de dire
Que ça nous fait de l’effet
Ophélie Conan
Ce poème d'Ophélie a été publié dans son blog "Conan la barbare I", en 2013, puis dans son recueil de poèmes également intitulé "Un thé entre filles".
J'ai choisi pour l'illustrer les fabuleux tableaux de l'Américaine Andréa Kowch que j'adore. Née en 1986, cette brillante représentante d'un réalisme magique bien à elle, presque surréaliste, sait peindre les femmes de manière envoûtante. Les tableaux de Kowch sont les n°1, 2, 4, 5, 8, 9, 10, 12, 13, 17, 18, 19, 21, 22, 26, 27, 28, 30, 33, 34, 38. Pour tout dire, je les aime tous, et n'ai pas vraiment de préférences.
Pour les autres illustrations, je ne vous cache pas mon excitation devant la n°3. Une pause café comme je les aime.
Une bouche d'ogresse dévoreuse de téton, comme celle du gif n°6 ne devrait plus me fasciner depuis le temps que j'ouvre la bouche ou donne le téton! Mais rien à faire, c'est toujours la fascination, l'enchantement!
La composition de la n°14 est magnifique, et l'effet produit par la n°15, avec le tatouage, est grandiose. C'est du grand art, comme celui d'Andrea Kowch.
Le gif n°20, par sa sérénité impeccable ressemble à une image pieuse. c'est aussi très beau comme un pendule qui bat lentement. Je ne m'en lasse pas.
La série 23, 24 et 25 est sublime et bouleversante. Tout un monde de sensations. Peut-être un excès de zen.
Se complaire dans un juste milieu, comme dans le gif n°29, est tout simplement un important privilège. Avoir un sein de femme dans la main gauche et le sein d'une autre dans celle de droite est un plaisir infiniment subtil que je recommande.
La n°32 nous invite à mater un extraordinaire jeu de boules. Rien à voir avec la querelle des neptunistes et des plutoniennes.
Ah! la belle lèche que celle de la n°35 et quelles jolies menottes chez la 36!
Belle machine bien huilée que celle du gif n°39! Ô! Harmonieux mouvements des seins et du bassin!
Je ne peux qu'être d'accord avec toi, Marianne. Et encore plus concernant le gif 29. Il m'arrive souvent d'avoir un sein dans chaque main, mais il s'agit quasiment toujours des seins d'une même femme.
RépondreSupprimerJe t'embrasse et te souhaite un beau weekend, avec de bons thés entre copines.
Merci Phil, et excellent week-end à toi, malgré ce temps pourri!
SupprimerI love how you illustrated Ophélie's poem. I love also all your exciting comments on the pics, and appreciate particularly your refined intellectual allusions (...la querelle des neptunistes et des plutoniennes).
RépondreSupprimerI am happy for you! It's good.
SupprimerJ'adore aussi les tableaux d'Andréa Kowch. Le reste est pas mal non plus, bien sûr.
RépondreSupprimerMerci, Alexandre.
SupprimerJe m'étonne de ne plus pouvoir accéder à ton site depuis quelques jours. Une boite dialogue annonce un piratage possible;
Mon blog a changé d'adresse : https://alexandreselwyn.eu/
SupprimerMerci pour tes futures visites 😉
Merci, Alexandre, je vais m'y rendre.
SupprimerOphélie semble dire dans ce poème,
RépondreSupprimerplus on est de folles, à ce thé, plus on s'amuse.
Pour les peintures champêtres d'Andréa, je remarque,
quand même, un point commun à toutes ces femmes,
c'est qu'elles ne rient pas beaucoup.
Peut-être pour dénoncer leurs tâches à la ferme...
Pour les autres illustrations, elles ont toutes leur côté excitant.
Une belle sensualité dans la 32, quand ces dames ne sont pas dévoreuses de tétons
et de clitos gonflés et de fentes humides...C'est bon tout ça.
C'est vrai que les femmes d'Andrea Kowch sont sérieuses, avec un regard souvent "dans le vide". Leurs tenues sont souvent décalées par rapport au milieu rural qui semble être le leur.
SupprimerOui, la 32 est belle avec ses sphères...
J'ai un faible pour le gode sur clitoris qui fonctionne sur deux femmes.
RépondreSupprimerOui, outre les économies d'échelle, c'est très excitant!
SupprimerJ'ai aussi ces regards un peu vides. Le poème est lui plein de vie et permet de rêver.
SupprimerOui, ces femmes d'Andrea Kowch sont très attachantes. Je retrouve aussi Ophélie en vie dans ce poème!
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