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Le bonheur du jour
C'est de vivre
Pleinement
Chaque jour
Ma vie de femme
Avec d'autres femmes
Sans résidus infâmes
D'emprises marmoréennes
Dans un présent en mouvement
Que je ressens avec mon corps
Le bonheur du jour
C'est la certitude que mon corps m'appartient
Et que personne ne peut m'enlever ma liberté
D'en faire ce que je veux
C'est sans doute me direz-vous
Se contenter de peu
Mais c'est être vivante
Et cela me suffit
Cela m'accorde à la grande palpitation des étoiles
M'autorise la palpation des nichons de tribades
La joie éternelle des tétons tétés en Croisade
Et mon addiction aux délices de la chaturbation
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Ophélie Conan
Cet article est le vingt-huitième qu'Ophélie avait préparé et aurait dû publier dans "Conan la barbare II", si elle n'avait succombé à ses blessures dans un accident d'auto survenu le 10 mars 2020.
Encore de bien belles images qui me font rêver ou parfois me font sourire, en ces temps de grande morosité. J'en ai repéré quelques-unes qui m'émeuvent comme celles qui empruntent au crayon de Jean-Pierre Gibrat (n°7, 16, 19, 22, 24), et d'autres qui m'excitent comme le très beau gif n°34 dont la composition est magnifique et les couleurs merveilleusement harmonieuses.
Un vrai bonheur du jour.
Marianne
Je souscris totalement à ce qu'écrit Ophélie. Aimer les femmes, c'est les aimer libre.... Malgré le principe de causalité.
RépondreSupprimerJe ne peux qu'être d'accord également. Bise, Alexandre.
SupprimerOui, le gif 34 est excitant. Tout comme les 9, 26, 41 et 48.
RépondreSupprimerLa photo 23 est énigmatique. Quelles sont ces tentacules-sextoys avec lesquelles joue la femme, au pied d'un homme ?
La photo 28 semble être un défi à l'imagination. Cette frêle femme peut-elle réellement s’assoir sur le tabouret et engloutir cet énorme gode ?
Et le dessin 47 est intentionnellement ambigu. J'aime beaucoup.
Belle soirée, Marianne.
Bise.
Pour la photo 34, je ne sais pas non plus, mais ce n'est pas grave, ça charge l'atmosphère de mystère.
SupprimerPour la 28, ce n'est pas impossible!
La 47 me fait penser à certains travaux du graveur néerlandais M.C. Escher, où l'on trouve des changements d'échelle qui rendent le dessin insolite ou paradoxal.
Merci Phil et belle soirée à toi aussi.
My guess is that you like the 7, 16, 19, 22, 24 because you identify, maybe subconsciously, with the beautiful brunettes of those pics.
RépondreSupprimerPerhaps!
SupprimerKiss.
Ce contenter de peu ?
RépondreSupprimerMais c'est au contraire énorme, d'apprécier
tout ce qu'un nouveau jour nous offre,
et d'avoir la liberté de faire, d'aimer comme bon nous semble.
J'adore les planches dessins comme celles de "Le surçis", "Le vol du corbeau"..etc...
Cette petite parisienne au béret rouge , mini jupe à damiers et socquettes blanches est vraiment très sexy. Vraiment très bien dessinée.
J'aime aussi les lectrices (1-11)
Sur la 28, il y a un record à battre ?
L'idée de la 47 est remarquable
avec ce modèle qui réagit au coup de crayon de l'artiste dame, si je ne m'abuse.
Plus l'excitation que procurent toutes les autres.
Oui, c'est "énorme", comme tu le dis, de vivre l'instant. Ophélie avait une conscience aiguë que l'éternité se trouvait dans l'instant!
SupprimerJe trouve aussi que les "lectrices" de 1 à 11 sont belles. J'adore les choix d'Ophélie qui sont toujours excitants.
Ophélie avait totalement raison d'assimiler l'éternité et l'instant. Je l'ai beaucoup senti dans le désert mais aussi dans la sculpture. J'oublie les chiffres des illustrations mais elles m'intriguent chacune dans leur genre, parfois m'amusent. Le choix contrasté est très intéressant.
RépondreSupprimerOui, sans doute, l'art, l'amour, le désert, la mystique... font fusionner l'instant et l'éternité. Comme Ophélie, je le crois aussi.
SupprimerJe suis contente que les choix d'illustrations d'Ophélie t'intriguent. Elle avait horreur de la monotonie et de la répétition.