Ma première fessée par Rose


Si ma mémoire ne me fait pas défaut, je dois à Rose ma première fessée d’adulte. C'était, je crois, le lendemain ou le surlendemain de mon arrivée à P., à une époque où je ne connaissais pas encore très bien cette ancienne pyromane nommée Rose. Je me souviens que, dans l’après-midi précédant l'événement, Ophélie m’avait emmenée visiter le musée de Quimper. À notre retour à la maison, avant même que je n'aie le temps de me déshabiller, Rose qui nous attendait dans la cuisine, une cuiller en bois dans la main et de la farine dans les cheveux, me dit: 

— Ah! Marianne! Enlève-moi ta culotte, vite!

— Pourquoi? lui demandai-je.

— Je vais simplement te donner une fessée, j’en ai très envie! Ton petit cul m'excite!

— Tout de suite?

— Oui, tout de suite!

— N'aie pas peur, Chérie, me rassura Ophélie. Rose est comme ça, fais ce qu'elle te demande, enlève ta culotte, et dépêche-toi! 

J’ôtai ma culotte par dessous ma jupe, et la posai sur la table de la cuisine, ce qui, normalement, ne se fait pas. Souriante, Rose me prit par la main et m’emmena dans le salon, sur le canapé, où elle me tira sur ses genoux, puis retroussa ma jupe pour mettre à nu mes fesses. 

— Es-tu prête, jolie Normande? Ton petit derrière me plaît infiniment, tu sais, il me fait rêver et me donne très envie! 

Rose caressa mes fesses, mais ne commença pas la fessée. Ophélie qui avait disparu, revint entièrement à poil, et s’assit sur un accotoir du canapé.

— Alors? dit-elle.

— Ça va, lui répondit Rose, ça va même très bien… Ton bel amour a un petit derrière magnifique. Je ne me lasse pas de le contempler et de le caresser, alors que je devrais déjà être en train de le fesser sauvagement!

— Tiens! dit Ophélie.

Rose prit le godemiché qu’Ophélie lui tendit. Sans tarder, je sentis la chose s’approcher de mes petites lèvres, les écarter doucettement et commencer à entrer. J'aimais cette intrusion perfide en levrette.

— Ouvre-toi davantage, ma chérie! Voilà, c’est bien, tu mouilles comme il faut… C’est très bien! Mes caresses t’ont donc déjà fait de l'effet? Oui, tu mouilles, ma salope... Voilà, il est presqu’entré, ce gaillard, ça y est, il est entré! Tu le sens bien?

C’est alors que débuta la fessée, avec ce gode enfoncé dans mon vagin. D’abord, Rose procéda doucettement, puis accéléra le rythme et la force des claquées. Ce faisant, le gode tressautait comme un ressort, et m’habitait d’une manière incroyable la cramouille. Devant cette avalanche d'orties, je ne pus me contenir et me mis à pleurer à chaudes larmes, tellement les claques me faisaient mal, mais aussi jouir follement, tellement les soubresauts du gode étaient délicieux.

— Je vois que tu aimes ça, me dit Rose, tu dégoulines, ma salope!

Et, pendant tout ce temps, le bruit des claques ne cessait de résonner, amplifié d'une manière anormale, dans ma tête qui me paressait totalement creuse, comme une citrouille d'Halloween. 

Mais c'était l'incendie dans ma citrouille ou sur mon cul. Je sentais mon derrière brûler, gonfler, devenir énorme, citrouille, je haletais, mais Rose poursuivait son intrépide besogne de maîtresse sadique, sa main tombait, retombait inlassablement, passant souvent d’une fesse à l’autre, parfois tombait en séries rapides sur chacune, sans jamais négliger ma douce raie si tendre et si sensible. J’implorais ma tendre Ophélie, toujours assise sur l’accotoir du canapé. La belle me souriait, imperturbable, sexy et suréquipée comme une madone espagnole.

Quand Rose s’arrêta, je pensais que j’en avais fini. Mais ce n’était qu’un faux espoir. Après une trop brève pause et quelques va-et-vient allègres du godemiché, la démoniaque et divine fessée recommença de plus belle. J’avais beau me débattre, supplier, crier, rien n’ébranlait cette Rose sadique qui me piquait avec toutes ses épines de rose. Rose était une fesseuse impitoyable, survoltée et très douée, et Ophélie avait l'air de se moquer comme d’une guigne de mon trouble entre douleur et jouissance! 

Après plusieurs séries, toujours entrecoupées des va-et-vient du godemiché, Rose s’arrêta net, enfin, me laissant un instant inerte sur ses genoux, les fesses brûlantes comme la plaque de la vieille cuisinière de ma grand-mère. En retirant le gode qui sortit facilement, elle me dit: 

— Et bien, ma salope, tu as super bien lubrifié, à ce que je vois! Félicitations! Je dois dire en plus que tu as été hyper courageuse. Si tu ne l’avais pas été autant, j’aurais sans doute prolongé la fessée, et je t’aurais ensuite mise au coin comme une petite salope que tu es! Je ne te mettrai donc pas au coin. Au lieu de ça, pour te récompenser, je t’autorise à venir sucer les super tétines de ton amante!

Je me relevai péniblement et, m’agenouillant devant mon amour, précipitai ma bouche et mes mains sur ses seins merveilleusement ravageurs. Ophélie se laissa faire, puis ouvrit ses bras pour m’enlacer complètement et m’embrasser. 

— Oui, c'est vrai, tu as été très courageuse, ma chérie! Je t'aime, je t'adore!

— Moi aussi, je t'aime, je suis folle de toi!

Ophélie se leva et m’emmena dans notre chambre commune, et là, elle me demanda de me déshabiller complètement et de m’allonger sur le ventre, sur le grand lit, me recommandant surtout de bien rester immobile. Elle sortit et revint avec une serviette humide qui  refroidirait mon fessier, et une "crème spéciale fessées" idéale, dit-elle, "pour soigner tes petites fesses chéries très très rouges". Méticuleusement, Ophélie disposa la serviette imprégnée d’eau froide sur mon cul pendant un petit quart d'heure, puis la retira et laissa mes rondeurs écarlates sécher nues, avant de d’étaler sur elles, très amoureusement et très méthodiquement, sa "fameuse crème magique". Tendrement, Ophélie me demanda si j’avais encore mal "à mon petit cu-cul" et, quand elle entendit mon "oui", elle se mit en position sur le lit, son bas-ventre en face de mon visage, afin que je pusse lécher convenablement sa moule et exciter son clitoris avec ma langue, ce que je fis sur-le-champ, avec beaucoup de concentration.

— Cela va te faire oublier ta douleur, mon amour, me dit-elle, en passant une main dans ma chevelure. Je t'aime, mon amour.

C’était vrai. Ma douleur disparut rapidement et complètement. L'amour est bien le plus fort. 

Marianne

Commentaires

  1. La fessée aurait-elle été tout aussi "agréable" sans le gode qui sursautait dans ton vagin ? Ou n'aurait-elle été que douleur sans plaisir ?

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    1. Pour avoir, depuis, expérimenté les deux, je crois pouvoir dire que j'ai une préférence pour la fessée avec gode. Sans gode, ce n'est pas mal non plus, mais dans les deux cas, le talent de la fesseuse est un paramètre important!

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  2. Et bien, voilà, Marianne. Je savais que tu avais du talent pour faire revivre ce passé vécu.
    A la manière d'Ophélie, tu écris merveilleusement bien.
    Et c'est un très bon exercice, en plus, de creuser sa mémoire et de trouver tous les ingrédients et les détails qui t'avaient émue ce jour là.
    Bien que Rose, dans cet épisode, coquine de la fessée et aussi imprévisible, en soit la donneuse,
    je pense que c'était à la demande d'Ophélie. Donc un fait préméditée par Rose et surtout elle.
    J'ai savouré ton texte.
    Merci Marianne.
    Je t'embrasse.

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    1. Tu sèmes le trouble dans mon esprit, Gil. Pour cette première fois, je ne crois vraiment pas qu'Ophélie avait organisé cette fessée avec Rose... Mais peut-être! C'est sûrement arrivé d'autres fois!
      Tout comme j'ai pu ensuite organiser des collusions avec Ophélie pour faire jouer à Rose le rôle de soumise!
      Merci pour tes compliments.

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    2. J'aime bien te troubler Marianne...
      Rose pourra te le dire.

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  3. Superbe texte, Marianne et on ne peut plus évocateur. Le talent, c'est ça, le pouvoir d'évocation. Ce texte est un film. On suit l'action seconde par seconde. Pour une première fessée, c'est assez violent. La douleur et le plaisir mêlés, je me demande ce qui prédomine. Mais tu as déjà plus ou moins répondu à la question. J'espère que tu écriras d'autres textes du même acabit. Sinon, lorsque tu écris que Rose est une ancienne pyromane, qu'est-ce que entend par là ?

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    1. Merci Alexandre de trouver des qualités à mon texte. J'ai essayé en effet de le rendre le plus possible cinématographique!
      Oui, en effet, pour une première fessée, je ne dirais pas que c'était violent, mais c'était quand même assez intense. J'aurais sans doute aimé plus soft pour une première fois! Mais avec Rose ce n'était pas possible.
      Quand Ophélie a rencontré Rose, cette dernière sortait de la Maison d'Arrêt pour femmes de Rennes, pour avoir incendié la voiture de son ancienne amante. Elle se vengeait que celle-ci l'ait trompée avec une autre. C'est pour ça qu'Ophélie la surnommait "la pyromane"!

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  4. Rose est fascinante dans son rôle de fesseuse qui je croyais était l'origine de sa qualification de pyromane mais cette histoire de feu te travaillait pour que tu nous donnes des détails de gazinière au passage! Avec un godemiché si efficace, ce devait être très excitant... Tu nous le fais revivre et au fond la photo candide va très bien avec cette première fois qui semble un exploit d'expertes, suivi d'une charmante réparation avec Ophélie, sa serviette et sa crème! J'imagine des rires mais l'excitation était peut-être trop intense pour rire. Oui, Marianne , tu écris à merveille : Ophélie t'aura tout appris, et Rose peut-être un peu la pyromanie des fesses.

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    1. Oui, sa vocation de fesseuse et de donneuse de martinet va très bien avec son histoire personnelle de "pyromane". Rose a toujours bien aimé mettre le feu. Dans le jardin, c'est elle qui faisait des feux pour brûler les branches mortes...
      Oui, une fessée avec un godemiché, c'est très excitant!
      Effectivement, Ophélie m'a appris beaucoup de choses, et Rose également: je fais aussi, assez souvent, de la pyromanie sur les fesses de Gaëlle et d'Honorine qui aiment beaucoup ça!
      Je t'embrasse;

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