Ceci est le vingt-cinquième article qu'Ophélie avait préparé et aurait dû publier dans "Conan la barbare II", si elle n'était morte dans un accident d'auto, le 10 mars 2020.
Les illustrations 1, 5, 9, 14, 18, 21, 23, 26, 28, 32, 34, 38, 43, 47, 51, 54, 58, 61, 64 sont des tableaux du peintre américain Tom Wesselmann (1931-2004), un des principaux représentants du Pop Art américain. J'aime évidemment le choix de ce peintre par Ophélie qui était très branché sur le nu féminin, et apportait à ce thème beaucoup de joie et de lumière.
Parmi les autres illustrations, j'aime beaucoup la n°13, parce que j'ai appris, avec Ophélie, à apprécier les partouzes entre femmes. Quoi de plus merveilleux que de s'agglutiner à quatre ou à plus, et de se lécher et de se sucer aveuglément et voracement? D'aspirer un téton ou une bouche pendant qu'une autre qu'on ne voit pas s'occupe très sérieusement de votre clitoris avec un doigt ou avec sa langue, elle-même faisant l'objet d'une pénétration vaginale avec un doigt ou un gode, de la part d'une troisième et ainsi de suite?
Les vibrateurs me sont chers, et j'aime beaucoup pour cette raison la n°19, surtout quand on positionne l'appareil comme dans ce gif. L'excitation simultanée de deux clitos est vraiment excitante, surtout si des mains extérieures expertes, comme c'est le cas ici, viennent malaxe et exciter les seins. Quatre mains, c'est vraiment le pied.
La n°25 est un classique. Depuis dix ans que je gouine, je suis toujours autant fascinée par cette façon de baiser que j'aime autant regarder que pratiquer. J'ai découvert le gode ceinture avec Ophélie. C'est elle qui, la première, m'a enfilée de cette manière. Je dois dire qu'avant elle, je n'avais jamais imaginé qu'il fût possible pour une femme de se faire baiser par une autre femme. Maintenant, cette pratique me paraît évidente et naturelle. J'ajoute que j'aime autant pénétrer qu'être pénétrée. J'aime autant la levrette que la position du missionnaire, mais ce qui est bien dans le missionnaire, c'est qu'on peut admirer le ballet des seins. Nous en avons un bel exemple dans ce gif n°25.
Évidemment, j'aime les n°45 et 55, vous vous en doutez bien. Ophélie aussi adorait ces pratiques. Aujourd'hui, à la maison, rien n'a changé. Gaëlle et Honorine sont également des adeptes passionnées de la succion des seins. Dans la n°45, j'aime beaucoup la douceur caressante de la scène. Celle qui donne ses seins les fait comme tomber du ciel, ainsi que deux anges, et celle qui les reçoit, les lèche l'un après l'autre autant qu'elle le peut, parce qu'il n'est pas en son pouvoir de les retenir définitivement, tellement les précieux tétons sont libres et mobiles comme de jolis papillons. C'est merveilleux.
Dans la n°55, c'est tout autre chose. Les tétons sont bel et bien attrapés par les bouches gourmandes et voraces, et c'est très bien. Ainsi, ils peuvent délivrer toute leur douceur et tout leur miel! Et la satisfaction est réciproque!
Comme je te comprends !
RépondreSupprimerTu crois que si je me mêlais discrètement dans une telle partouze (n°13), mais juste en donnant sans recevoir, quelqu'un s'apercevrait de l'intrus ?
Par contre, je suis toujours étonné que des lesbiennes aiment baiser comme si elles avaient un pénis, comme si elles étaient un homme. Est-ce une résurgence de leur "instinct hétéro" enfoui ? Tout comme les hétéros ont un côté homo plus ou moins refoulé. Bref, c'était la minute psycho à 2 boules, non rem-boursée par la c'est-cul.
En plus de ces gifs, j'aime beaucoup le n°6 (les 2 filles qui se masturbent en se tenant la main) et les n°50 et 59. La photo 8 pour la superbe paire de jambes. La 20 parce que j'aime l'audace et j'imagine tous les lecteurs qui ne se doutent de rien dans cette bibliothèque.
Attention à la pratique montrée sur la photo 60. J'ai entendu une anecdote d'une femme restée coincée avec le pommeau de son levier de vitesse dans le vagin. Il a fallu l'intervention des pompiers pour scier le manche et emmener la dame aux urgences pour extraire le pommeau ! Je ne sais pas si c'est vrai, mais j'y pense à chaque fois que je vois ce genre de scène.
Je t'embrasse et te souhaite une bonne nuit.
Si tu t'introduisais dans la partouze de la n°3, je crois quand même que tu serais quand même repéré rapidement. À moins que...
SupprimerQuant à ton anecdote concernant la photo 60, je ne sais pas... Il nous est arrivé plusieurs fois de réaliser cette opération (là aussi, plus un jeu ou un défi qu'une manière de se faire jouir), et nous n'avons pas connu ce problème. Tout dépend, peut-être, de la différence de diamètre entre la tige du levier et celle du pommeau... Pour les pompiers, l'intervention était peu banale!
Ophélie restera éternellement la fille du sable, de la mer, de l'amour.
RépondreSupprimerQuelle belle surprise ce peintre. J'ADORE sa peinture naïve et colorée.
C'est superbe.
Merci à elle, Ophélie, de ce partage.
En ce qui concerne ces nouveaux commentaires des images, Marianne,
je les ai lus avec attention et, même, excitation, puisque je reviens sur
les illustrations en lisant tes appréciations, et je t'imagine, même,
faisant la même chose avec tes amantes...
Oui, le tableaux de Wesselmann sont supers. C'est effectivement le choix d'Ophélie et c'est à elle que revient cette idée de mêler des tableaux érotiques d'un peintre connu avec d'autres images érotiques.
SupprimerJe ne peux que confirmer les derniers mots de ton commentaire.
Elles sont toutes bien, mais c'est la 36 qui me fascine le plus.
RépondreSupprimerJe le comprends. Les seins sont gros, et il y a tout l'arrière plan qui ajoute de l'excitation!
SupprimerBien sûr, j'ai repéré le vibromasseur agissant sur les deux clitoris : l'inventeur est ingénieux ( ce doit être une femme! ), l'illustration des partouzes qui donne envie, la ceinture avec gode ( je crois qu'il est logique de ne pas connaitre cette pratique si nul ne nous en a parlé ou ne nous l'a montrée ou fait vivre ). Oui, l'illustration est périlleuse mais les pompiers comme le personnel des urgences sont habitués à tout. Je me souviens d'une nuit où la mésaventure d'un africain a fait le tour des services : " j'ai des " ca' aux " dans le ventre " et tous de croire à des carreaux et non à des carottes, mais ceci reste une intervention banale, d'ailleurs beaucoup moins grave que s'il s'agissait de carreaux!
RépondreSupprimerChère Elisabeth, le premier vibromasseur ne fut pas inventé par une femme, mais par le médecin anglais Joseph Mortimer Granville (1833-1900), vulgarisé sous le nom de marteau de Granville, dans le but de traiter l'hystérie féminine.
SupprimerQuant aux urgences, tu as raison, le personnel est habitué à réparer toutes les fantaisies humaines!
je t'accompagne sur toutes les photos que tu as cité
RépondreSupprimerC'est que nous avons les mêmes goûts!
SupprimerEst-ce vrai ?
SupprimerAu moins sur les photos... Le reste, je ne sais pas!
SupprimerUne rencontre entre une Normande et une Lorraine sur le sol breton, serait peut-être possible, afin de répondre à cette question.
SupprimerTu es pour le rapprochement des peuples, Gil!
SupprimerJe suis pour l'Amour et la Liberté, partout, partout et pour tout le Monde.
SupprimerTiens ! J'ai déjà entendu et vu ça quelque part.
C'est un beau programme!
Supprimer