Ce matin pas de godemiché

 

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Ce matin pas de godemiché

Quatre doigts dans ma moule

Quatre dans la tienne

On s’essouffle on rit on pleure on roule

On fait ce qu'on peut

On se fait de gros baisers sur la bouche

Avec la langue

Partout on se touche

Et après on se soixante-neuve à perdre langue

Et on couine comme des gouines


Ophélie


Commentaires

  1. J'imagine que tu faisais partie de ce "On", pas si indéfini que cela...

    Quatre doigts agiles peuvent effectivement et avantageusement remplacer un gode froid dans le bouillon. Si j'étais lesbienne, je préfèrerais faire l'amour avec une autre jolie fille plutôt qu'avec un objet sans âme.
    Même si les gifs 8 et 35 ne me laissent pas indifférent...

    Bise et bonne nuit, Marianne.

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    Réponses
    1. Ce n'est pas si simple... De toutes façons, il faut alterner les plaisirs!
      Bise.

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  2. Réponses
    1. Tu es aussi une bonne connaisseuse!

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    2. Un plaisir de voir Romane, sur ton blog Marianne.
      C'est un blog lesbien (si je peux me permettre),
      et les commentaires sont ,en majorité, rédigés
      par des Z'hommes.(j'en fais partie)
      Bizarre, non ?
      C'est pour ça que j'aime une touche féminine.
      Mesdames, venez ! venez ! venez !

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  3. C'est tellement plus chaud, plus vivant,
    sans artifice artificiel.
    Pourtant, j'en ai vu un peu plus haut,
    dans les illustrations que je trouve toujours aussi belles.
    Seule une femme, une lesbienne, peut nous dire,
    à nous homme, la différence.
    Mais, je crois que vous aimez aussi, aussi l'effet du gode.

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    Réponses
    1. Oui, bien sûr, nous aimons l'effet du gode! C'est tellement merveilleux de se faire pénétrer par une femme, et en même temps, de toucher ses seins!

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  4. Les godes se chauffent en servant, me semble-t-il... Varier les plaisirs est tout un art sans doute plus fantaisiste entre femmes mais les généralités sont dangereuses. Sans imagination au pouvoir ( si je puis dire ), la sexualité manque de charme et d'émerveillement.

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    Réponses
    1. Tu as raison, Elisabeth, les godes se chauffent en servant! Et tout à fait d'accord avec l'imagination au pouvoir!

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  5. Les illustrations d'Ophélie ont toujours eu quelque chose d'érotique, étrange et poétique.

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