Le réveillon chez Marlène
Le réveillon du jour de l'an, je l’ai passé avec mes amies. Il y avait bien sûr, Marianne et Rose, mais aussi Sandrine, Marlène et Marceline, nos vieilles copines. Il y avait en plus une nouvelle venue, la jeune Muriel, la nouvelle amie de Rose. Muriel, je crois vous l’avoir déjà dit travaille avec son beau-père charpentier-couvreur. Elle a vingt-six ans et deux sœurs aînées qui, comme elle, sont blondes et très jolies. Muriel est charmante et adorable. Pour la première fois, je l’ai vu nue. Elle a de très jolis seins. Mais je m’égare…
Nous avions rendez-vous chez Marlène qui nous accueillait pour ce réveillon et sa journée du lendemain. Nous avons donc dormi chez elle. Le dimanche après midi, nous étions très excitées à l’idée de cette fête que nous voulions très érotique comme l’année précédente, chez Marceline. Le fait de savoir qu’il y aurait en plus une nouvelle venue m’excitait également beaucoup. Je savais que j’allais pouvoir voir et toucher les seins de cette jolie Muriel, ainsi que lécher sa moule que j'imaginais comme un beau coquillage. J'étais bigrement excitée. Que voulez-vous, on ne se refait plus…
Vers seize heures, Muriel est arrivée à la maison pour se préparer avec nous. Elle a pris un bain, fait des essais de tenues vestimentaires, bref, tous les préparatifs nécessaires pour se faire belle et désirable. Comme nous. De son côté, Sandrine, la pauvre, se préparait seule chez elle, et Marceline se préparait chez Marlène.
Durant nos préparatifs, Muriel s’est montrée très à l’aise avec Marianne et moi. Bien qu’étant la petite amie de Rose, elle s’est très vite intéressée à nos anatomies et nous a facilement laissé approcher de la sienne. Depuis le démontage de la toiture de sa maison, nous ne l’avions guère revue, en tout cas, pas d’aussi près. Elle est assurément très belle, très fine, très délicate, avec de jolies fesses bien rondes, et des seins bien fermes qui tiennent merveilleusement bien dans la main d’une honnête femme. On n'imagine pas ça d'une ouvrière qui grimpe sur les toits. Peut-être que c'est une chatte... Il paraît que ses sœurs, que je ne connais pas, sont aussi très belles. L’une est célibataire et l’autre vit avec un mec avec lequel elle ne s’entend pas, et dont elle a un enfant de huit ans. D’après Muriel, elles ne sont pas lesbiennes, mais pourraient peut-être le devenir si on les encourageait en ce sens. Il faudrait pour cela que nous les invitions et tentions de les séduire. Pour Muriel, cette évolution ne serait pas impossible, car nous raconta-t-elle, jeunes adolescentes, le soir, ses sœurs et elle se branlaient dans leur chambre commune. C’était Karine, la plus âgée, qui avait initié cette pratique que Gaëlle et Muriel avaient assez vite adoptée. Un matin, Andréa, leur mère, les avait surprises, punies, et toutes les trois n’avaient plus jamais osé recommencer. Muriel pensait que si Marianne, Rose et moi nous réussissions à les convertir, elle en serait très contente, car elle les avait toujours secrètement désirées et aimées, et même, elle ne serait pas du tout gênée de faire l’amour avec elles, aujourd’hui, même devenues adulte. Ce propos nous étonna, mais enfin...
Voilà ce que nous nous racontions en effectuant nos préparatifs. Bien sûr, en rasant nos mistigris, en les épilant, en nous faisant des brushings, en essayant nos porte-jarretelles, en choisissant nos cuissardes, nos escarpins, nos bijoux, nos parfums, nous goûtions les tétons de l’une ou de l’autre et, avec nos doigts touchions délicatement nos petits boutons, mais sans encore oser les exciter vraiment... Moi, je choisis de mettre une robe noire transparente, pouvant ouvrir complètement sur le devant, avec de grandes cuissardes noires. Évidemment sans petite culotte ni soutien-gorge. Juste un manteau extra-long pour sortir, si l’envie nous prenait d’en avoir envie. Mes trois acolytes arboraient des tenues à peu près similaires, mais qui donnaient plutôt dans le porte-jarretelles. Seule Muriel tenait à garder un joli petit string et un soutien-gorge sous sa robe. Outre nos produits de beauté, nous avions également préparé une mallette commune contenant tous nos accessoires de plaisir. Il fallut évidemment faire un tri. Nous n'étions pas d'accord sur les menottes qu'on finit par inclure dans notre attirail. Et c’est Muriel qui nous emmena dans sa voiture chez Marlène. La belle y tenait beaucoup, considérant cette responsabilité de nous conduire comme un grand honneur. Rose, étant son amante, était assise à côté d’elle, tandis que Marianne et moi nous trouvions à l’arrière. Ainsi, toutes les deux, nous pouvions nous embrasser, nous toucher les seins et le clito autant que nous le désirions durant tout le trajet, ce dont nous ne nous privâmes pas.
A notre arrivée chez Marlène, nous fûmes chaleureusement accueillies par nos trois amies, elles mêmes en beauté. Marlène portait une robe mauve, très longue, dont le haut dégageait ses seins, complètement libres. Elle était admirable. J’aime beaucoup les seins de Marlène, que je trouve aussi harmonieux que ceux de Marianne ou de Grace, ou de Muriel... Il y avait un grand feu dans la cheminée avec de grandes flammes qui dansaient, et un agréable fond sonore alternant de la musique baroque et du rock des années soixante-dix. Toutes trois embrassèrent Muriel qu’elles ne connaissaient pas, et s’exclamèrent sur sa grande beauté encore juvénile. Durant le champagne et les verrines, nous papotâmes sur le métier de charpentier-couvreur de Muriel, métier étonnant pour une jeune femme, et aussi particulièrement risqué. Nous parlâmes également sur le fait qu’à part Rose, Sandrine et moi, la majorité de nos prénoms commençaient par un M, ce que nous n'avions jamais remarqué. Nous parlâmes également du président Macron, de son discours de présentation de vœux aux Français que certaines d'entre nous n'avaient pas entendu, de l'anatomie de sa femme Brigitte, et de Grace qui, maintenant, vivait avec une nouvelle copine black, Angela. Durant tous ces instants quelques lèvres furent soudées, quelques langues mêlées, des seins et des chattes firent de soudaines apparitions, et des mains curieuses et baladeuses se glissèrent sous les tissus des robes. Nous étions joyeuses et en verve. Seule Marceline se trouvait un peu en retrait, la pauvrette ayant un peu mal à la tête, malgré les comprimés qu’elle avait pris depuis le matin. On passa à table sur l’ordre de Marlène.
Le repas avait été organisé et fabriqué par Marlène et Marceline, et bien sûr, en brebis galantes, nous participâmes au service. Nous étions particulièrement heureuses de ce moment, heureuses de nous retrouver entre filles et bonnes amies. Les heures passèrent doucement, sans en avoir l'air et, avant le dessert, à minuit, avant de se souhaiter la bonne année et de regarder candidement 2018 sur l’arc de Triomphe, à la télé, toutes les robes s’étaient envolées. Tous les seins étaient à l’air, pris en main ou en bouche. Rose avait retiré à Muriel son petit string et son soutien-gorge blanc. La belle qui n’avait jamais connu encore de partouze, se trouvait allongée sur un petit sofa, et semblait s’en trouver très bien, tandis que Rose lui tétait les seins, et que Marlène et Marceline, entre ses jambes, admiraient ingénument son joli frifri.
Le repas avait été organisé et fabriqué par Marlène et Marceline, et bien sûr, en brebis galantes, nous participâmes au service. Nous étions particulièrement heureuses de ce moment, heureuses de nous retrouver entre filles et bonnes amies. Les heures passèrent doucement, sans en avoir l'air et, avant le dessert, à minuit, avant de se souhaiter la bonne année et de regarder candidement 2018 sur l’arc de Triomphe, à la télé, toutes les robes s’étaient envolées. Tous les seins étaient à l’air, pris en main ou en bouche. Rose avait retiré à Muriel son petit string et son soutien-gorge blanc. La belle qui n’avait jamais connu encore de partouze, se trouvait allongée sur un petit sofa, et semblait s’en trouver très bien, tandis que Rose lui tétait les seins, et que Marlène et Marceline, entre ses jambes, admiraient ingénument son joli frifri.
C’est alors que je proposai un jeu, avant de passer au dessert, un jeu érotique assez classique auquel nous avions déjà joué en d’autres circonstances, qui consistait à tirer au sort l’une d’entre nous, de bander ses yeux avec un foulard opaque, et de lui demander de passer sous la table, tandis que les autres changeaient de chaise. Le but du jeu était évidemment de reconnaître chacune avec ses mains ou sa langue. On décida de commencer par la langue. La première tirée au sort fut Sandrine qui se débrouilla fort bien, puisqu’elle reconnut tout le monde, sauf moi qu’elle confondit avec Marianne et Marianne avec moi. Marlène et moi fîmes un sans-faute. Muriel, évidemment, eut plus de difficultés, puisqu’elle débutait dans notre groupe, mais nous lécha très bien, à plusieurs reprises, et de manière extrêmement consciencieuse, comme une belle salope qu'elle est, ceci pour mieux assurer ses comparaisons. Après la bûche que Rose, Marianne et moi avions apportée, nous rejouâmes au même jeu, mais en essayant de nous reconnaître par les seins. La joueuse bandée passait derrière chacune, assise sur sa chaise, essayant d’identifier l’intéressée en malaxant, soupesant, tétant les petits bouts. Les rires fusaient, les commentaires allaient bon train. Cette fois, Muriel fit un meilleur score, mais ne réussit pas le sans-faute. Marceline, avec ses gros seins, se montra soudain radieuse. Elle réussit un sans-faute et nous dit qu’elle n’avait plus du tout mal à la tête.
Vers deux heures du matin, nous commençâmes la partouze proprement dite. Nous étions euphoriques, un peu saoules il faut bien le dire. Comment décrire? Nous nous retrouvâmes enchevêtrées sur le tapis, devant les joyeuses flammes de la cheminée, usant de toutes les combinatoires des corps, tour à tour actrices et spectatrices, manipulant et acceptant tous les joujoux de passage. Vers six heures du matin, fatiguées, fourbues, nous nous endormîmes devant les braises rougeoyantes, mais encore très chaudes, sans nous mettre au lit. A ce moment, j’eus la présence d’esprit et encore assez de force pour souhaiter la bonne année à Grace, par sms, sachant qu'il était maintenant minuit à Manhattan. J'écrivis que je pensais à elle, que nous toutes nous pensions à elle, et qu’à distance nous sucions ses seins et léchions sa très belle chatte, ainsi que les seins et la chatte d’Angela, sa nouvelle amie.
Nous nous réveillâmes vers onze heures avec un ciel par moments ensoleillé qui nous donna envie de recommencer à nous donner du plaisir. Nous alimentâmes le feu qui ne s’était pas éteint, en remettant quelques bûches, et étions toutes désireuses encore de manger du sein, de baiser des lèvres, de lécher des clitoris, de plonger nos narines dans des chevelures enivrantes, de jouer toujours et toujours avec tous nos accessoires de la nuit, de nous mater indéfiniment, tant nous nous sentions fières, je crois, d’être des femelles libres, et d’incarner la beauté du monde, ce qui me parut, à ce moment précis, je ne sais pourquoi, comme la chose la plus importante de la vie.
Le repas du premier janvier fut rapide et sans formalisme. On ne se mit pas à table, on finit par s’agglutiner toujours nues devant la cheminée, avec un morceau de fromage, un yaourt, une orange, tandis qu’au dehors, soufflait une tempête. Petit à petit, on se laissa aller à une douce torpeur, par moments entrecoupée de spasmes de plaisir provoqués ici par la présence d’un nichon, là d’une paire de fesses, ici encore d’un entre-jambes offert et bien épilé. L’une ou l’autre quittait parfois ce cocon femelle pour se rendre aux toilettes ou dans la salle de bains, revenait lavée, allégée, parfumée, à nouveau neuve et totalement prête pour poursuivre l'aventure. Par les fenêtres, les arbres se balançaient sous l’effet de violentes tornades, la nuit tomba. A un moment, peut-être un peu lasse, je proposai de quitter ce doux cocon femelle pour aller affronter le froid de la rue, avec seulement nos manteaux. Seules Marianne et Muriel voulurent bien me suivre. Nous sortîmes donc toutes les trois de la maison. Moi, avec seulement mes cuissardes et mon long manteau noir.
Le village était désert, mais parfaitement bien illuminé par ses décorations de fin d'année. Il pleuvait de fines gouttes par moments, on ne savait pourquoi, parce que le ciel était presque clair. La lune, quasiment pleine, était souvent bien visible. Il y avait toujours du vent. Nous marchâmes comme des sourdes-muettes en nous tenant par la main jusqu’à la mairie. Les pans de nos manteaux s’ouvraient, claquaient et découvraient complètement et continuellement nos cuisses et nos sexes. Devant la mairie où se trouvait le monument aux morts, nous nous arrêtâmes et nous embrassâmes longuement, complètement dénudées sous les coups des rafales. Il faisait froid, mais pas tant que ça, tant était excitante cette scène qui me paraissait apocalyptique et d’un romantisme follement vertigineux. En reniflant, Muriel manipula simultanément mon sein gauche et le droit de Marianne, se régalant, j'en suis sûre, d’en avoir un dans chaque main appartenant à deux femmes différentes. Comme trois sorcières complices, nous commençâmes à nous branler debout, avec ce vent vigoureux qui, par moments, nous faisait chanceler. Chacune branlait le clitoris de l'une, puis de l'autre avec conviction, comme si nous étions au centre d'un monde désert et épuisé. Nos mains se croisaient, se frôlaient, désiraient nos boutons qui les désiraient. Dans cette tempête qui, par moments, se calmait brusquement, nous déclenchâmes de fabuleux orgasmes. Ils semblaient nous venir des nuées ou de la presque pleine lune, au-dessus de nous.
Nous rentrâmes au chaud, comme des aventurières qui venaient de conquérir une terre inconnue et hostile à l’autre bout du monde. On nous réchauffa, on nous caressa, on nous dorlota, nous étions bien, nous grelottions encore, mais nous étions heureuses. Nous nous sentions vraiment femmes. C'est alors que réchauffée et redevenue chaude et chaudasse, je demandai à Muriel qui commençait à me caresser les seins, quand et sous quel prétexte nous pourrions inviter ses sœurs Karine et Gaëlle à la maison. Marianne qui s'était approchée pour m'introduire le Marc Weiler que je lui avais offert pour Noël ajouta qu'elle aussi voudrait bien de cette nouvelle aventure. Muriel nous répondit qu'elle allait arranger ça prochainement et qu'elle m'en reparlerait. Elle pensait que ce serait peut-être plus facile, par notre intermédiaire, de faire l'amour avec ses sœurs. C'est alors qu'instantanément le Marc Weiler changea d'orifice et se retrouva dans celui de Muriel qui l'accueillit avec le sourire et une étincelle de bonheur dans les yeux.
Le village était désert, mais parfaitement bien illuminé par ses décorations de fin d'année. Il pleuvait de fines gouttes par moments, on ne savait pourquoi, parce que le ciel était presque clair. La lune, quasiment pleine, était souvent bien visible. Il y avait toujours du vent. Nous marchâmes comme des sourdes-muettes en nous tenant par la main jusqu’à la mairie. Les pans de nos manteaux s’ouvraient, claquaient et découvraient complètement et continuellement nos cuisses et nos sexes. Devant la mairie où se trouvait le monument aux morts, nous nous arrêtâmes et nous embrassâmes longuement, complètement dénudées sous les coups des rafales. Il faisait froid, mais pas tant que ça, tant était excitante cette scène qui me paraissait apocalyptique et d’un romantisme follement vertigineux. En reniflant, Muriel manipula simultanément mon sein gauche et le droit de Marianne, se régalant, j'en suis sûre, d’en avoir un dans chaque main appartenant à deux femmes différentes. Comme trois sorcières complices, nous commençâmes à nous branler debout, avec ce vent vigoureux qui, par moments, nous faisait chanceler. Chacune branlait le clitoris de l'une, puis de l'autre avec conviction, comme si nous étions au centre d'un monde désert et épuisé. Nos mains se croisaient, se frôlaient, désiraient nos boutons qui les désiraient. Dans cette tempête qui, par moments, se calmait brusquement, nous déclenchâmes de fabuleux orgasmes. Ils semblaient nous venir des nuées ou de la presque pleine lune, au-dessus de nous.
Nous rentrâmes au chaud, comme des aventurières qui venaient de conquérir une terre inconnue et hostile à l’autre bout du monde. On nous réchauffa, on nous caressa, on nous dorlota, nous étions bien, nous grelottions encore, mais nous étions heureuses. Nous nous sentions vraiment femmes. C'est alors que réchauffée et redevenue chaude et chaudasse, je demandai à Muriel qui commençait à me caresser les seins, quand et sous quel prétexte nous pourrions inviter ses sœurs Karine et Gaëlle à la maison. Marianne qui s'était approchée pour m'introduire le Marc Weiler que je lui avais offert pour Noël ajouta qu'elle aussi voudrait bien de cette nouvelle aventure. Muriel nous répondit qu'elle allait arranger ça prochainement et qu'elle m'en reparlerait. Elle pensait que ce serait peut-être plus facile, par notre intermédiaire, de faire l'amour avec ses sœurs. C'est alors qu'instantanément le Marc Weiler changea d'orifice et se retrouva dans celui de Muriel qui l'accueillit avec le sourire et une étincelle de bonheur dans les yeux.
Ophélie Conan
Paru dans "Conan la barbare II", le 3 janvier 2018.
C'était l'opulence en ce temps-là...
Cette année, notre Saint-Sylvestre et notre jour de l'an n'ont pas connu ces fastes de naguère. Nous sommes restées toutes les trois à la maison, plutôt sages.
Avons joué aux "Mille bornes", au "Monopoly", au jeu des mimes, au "Cadavre Exquis", avec nos nichons, nos clitos, nos joujoux, notre belle machine, et avons partagé quelques visios érotiques avec Marlène et Marceline, ainsi qu'avec Grace et Angela.
je vous rassure, ce n'était pas mal quand même.
Ophélie m'a emportée dans son monde fascinant et j'ai adoré le passage devant le monument aux morts : quelle bonne idée de saluer ainsi les anciens combattants qui en furent certainement aussi excités que le lecteur. J'ai aussi adoré les jeux : l'idée est amusante. Je n'ai pas eu l'occasion de vivre des partouzes mais c'est génial de pimenter ainsi les jeux érotiques. Il y a un gode présenté avec un nom d'homme : celui du cadeau pour Marianne qui alla aussi rendre visite à Muriel, et si j'ai bien compris, Marlène a trouvé mieux que tous les antalgiques contre les maux de tête. Les ébats devant la cheminée : cela me plaît et me rappelle des souvenirs ....
RépondreSupprimerMerci, Elisabeth, je suis heureuse de ton enchantement!
SupprimerL'épisode du monument aux morts est assez surréaliste, mais inévitable dans un bourg, il y a toujours un monument aux morts!
Délicieuse histoire comme elle savait rapporter Ophélie.
RépondreSupprimerTu as oublié, Marianne, de citer dans tes jeux, celui de Dames.
Une véritable orgie.
En ce qui concerne la suite, au sujet des deux sœurs de Muriel, Karine et Gaëlle,
on la connait. Et c'est une belle suite.
Je me suis toujours demandé, comment ça se faisait de découvrir,
dans ces petits villages bretons, autant de lesbiennes.
Mais, vos histoires font mon bonheur.
Nous sommes surtout des lesbiennes d'importation, c'est ce qui peut expliquer notre relative concentration!
SupprimerAvez-vous tenté une partouze avec des coiffes de Bigouden?
SupprimerLe Sud Finistère va-t-il en devenir une colonie?
SupprimerMarlène et Marceline y étaient déjà aussi, il me semble,
ainsi que les sœurs.
Enfin, bref, c'est mignon tout ça et ça me plait.
Pour la partouze avec des coiffes de Bigouden, non, nous n'avons jamais essayé! Ça risquerait d'être encombrant! Mais ça serait drôle!
SupprimerLes fêtes de fin d'année n'ont jamais aussi bien porté leur nom.
RépondreSupprimerUne partouze seulement éclairée par un feu de cheminée, ce devait être sacrément photogé-nique !
Quant à toi dans ta "robe noire transparente, pouvant ouvrir complètement sur le devant, avec de grandes cuissardes noires, sans petite culotte ni soutien-gorge", il y a matière à faire un beau shooting... ou à faire bander les morts du monument. Ha ben non, c'est vrai que tu avais changé de tenue depuis longtemps. Mais ils n'ont pas perdu au change.
Merci d'avoir partagé ce joli souvenir hivernal.
J'espère que ce souvenir hivernal, comme tu dis, apporte quand même de la chaleur dans les cœurs et dans les sexes.
SupprimerBien qu'étant plus attiré par les images, ton texte m'a pourtant beaucoup "plu". C'est un plaisir de te lire et d'imaginer les images à partir de tes mots. Question chaleur et sexe, tu es au top !
SupprimerMerci, Phil.
SupprimerJe voudrais ajouter, Phil, que je suis loin d'être aussi douée qu'Ophélie pour écrire (et aussi pour faire l'amour...)
SupprimerJe ne suis pas de ton avis. Tu as un style différent et j'aime ta façon d'écrire, sans retenue et sans tabou, avec une simplicité presque candide que j'aime beaucoup. C'est très excitant de te lire.
SupprimerMerci beaucoup, c'est un vrai compliment!
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