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Dans une agitation plus ou moins frénétique
Vêtus de brouillard
Les seins telluriques ivres morts déambulent
Dans des entrelacs d'entrecuisses
Grisés par la force minière de matins incrédules
Au fronton des tempêtes noctambules
L’arbre s’est éreinté
Tout comme les ciseaux du silence
Dans des cornes d'abondance
Derrière la porte des jours éteints
La paresse a du bon
Dubo Dubon Dubonnet
Le vieux châle du temps est désormais tout défait
Par les ondes sismiques
Qui se déplacent tous les jours de la semaine
Même le dimanche
Et l'hiver le sait
Qui sait si bien jouir comme une salope
De son étoile haletante et vaine
Tout dégoulinant d'une radieuse cyprine
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Ceci est le vingt-sixième article qu'Ophélie avait préparé et aurait dû publier dans "Conan la barbare II", si elle n'était morte dans un accident d'auto, le 10 mars 2020.
Je les aime toutes (je parle des illustrations).
La 61, le chat qui passe, la 60, jolie fleur, et la 58, deux qui ne font qu'une.
La 57 est un broute-minou accompli. La 51 aussi. Illustration très sereine, en campagne, sous le soleil. J'aime la main qui passe dans les cheveux. La lécheuse à l'ouvrage. Elle fait ça bien, consciencieusement. Elle prend tout son temps. Elle a une chatte à lécher, elle la lèche.
La 43, elle regarde vers le ciel comme si elle était dans une cathédrale gothique. C'est Dieu qu'elle voit.
La 39 est quasiment mystique. Elle fait partie d'une belle série qu'Ophélie avait publié dans sa totalité. Pourquoi ne pas pas la republier, un de ces jours? Je me rends compte que c'est déjà fait. C'est bien.
La 36. Excitant de branler un clitoris avec un de ses tétons.
Le cunni de la 22 est très poétique, empreint de grâce, de lenteur et de malice. Magnifique.
Le baiser-touche-pipi de la 17 est délicat.
La 12 est drôle. En plus, j'adore leurs nattes. Honorine en porte (une grosse ou deux petites), et ça lui va bien. Gaëlle prend modèle sur elle et en porte aussi, des fois.
La 10 est magnifique, tumultueuse...
La 9 avec son O. C'est le O d'Ophélie, peut-être.
Oh oui, la 51 est magnifique. J'aurais très envie de prendre sa place... si elle ne faisait pas le grand écart en même temps ! :) Donc la 57 et la 1 pour moi. Mais aussi 22 et 45. Suis-je trop gourmand ?
RépondreSupprimerComme souvent, j'aime également toutes les autres.
Merci pour cette belle série, Marianne.
Bises et belle soirée à toi.
PS: J'ai bien été notifié de ce nouvel article. Encore merci d'avoir remédié au problème.
Je suis contente d'être parvenue à remédier au problème.
SupprimerQuant à tes préférences, j'y souscris totalement et te rassure. Tu as bien le droit d'être gourmand!
Bise et bonne journée, Phil.
Ophélie avait l'art de mêler le sexe et la nature,
RépondreSupprimeret ici encore avec les phénomènes climatiques.
Pour les illustrations, c'est toujours intéressant
de voir tes commentaires, Marianne.
Ça établit tes préférences.
Bien sûr, nombreuses sont excitantes,
à commencer par la 1 et la belle complémentarité,
de cette fente et de cette langue.
Une histoire de piston.
J'ai apprécié aussi les "trois couleurs" des dernières planches.
Je ne crois pas que ce soit Rita, mais j'adore ce panachage, blanc, noir, ROUGE.
En ce qui concerne la tresse d'Honorine,
on représente souvent les cavalières avec une seule tresse
qui dépasse de la toque.
D'ailleurs, c'est très excitant de voir une cavalière de dos,
la tresse qui cogne contre justement, ce dos,
la cambrure des reins accentuée par la position,
et les fesses moulées dans son pantalon blanc,
qui frappent la selle ...elles le savent ça,, les cavalières...
qu'elles nous rendent tout chose...
Merci Gil pour ton commentaire passionné.
RépondreSupprimerEffectivement la n°1 est excitante, mais aussi très étonnante par sa régularité mécanique due, évidemment, à l'effet gif qui met en boucle le même mouvement.
Ta description de la cavalière à natte unique plaît beaucoup à Honorine, mais je ne sais pas si la natte unique est typiquement l'apanage des cavalières. Il faudrait voir ça de plus près.
Je t'embrasse.
Ouais, tu as raison pour la tresse, j'exagère sans doute.
SupprimerPourtant, ça me dit quelque chose, j'ai dû voir ça quelque part,
ce qui m'avait fait de l'effet...mais, je pense que pour les femmes cavalières
aux longs cheveux, c'est à coup sûr, la queue de cheval (sans jeu de mot)
qui est primée, mais qui émoustille tout autant.
D'ailleurs, c'est la mode sportive du moment : les handballeuses, les footeuses,
les joggueuses, ...les cavalières...
Bise.
C'est vrai que c'est la mode sportive du moment, c'est quand même plus pratique quand on fait du sport, et ça permet de garder les cheveux longs. Bise à toi.
SupprimerJ'aime beaucoup le poème d'Ophélie, son rythme, ses associations inattendues " les seins telluriques ivres morts ". Je me laisse envoûter par l'atmosphère et les illustrations se font aussi parfois cocasses, l'une d'elles étant peut-être un tableau de femmes dans l'eau ( la dix ) et l'autre qui me fait sourire est une question sur un éventuel fantasme d'Ophélie dans une chapelle bretonne au confessionnal ( la vingt quatre ). L'atmosphère féérique me touche.
RépondreSupprimerJ'aime aussi beaucoup ce poème d'Ophélie dont le rythme et les images très surréalistes sont magnifiques.
SupprimerOui, les confessionnaux de chapelles bretonnes ou pas bretonnes étaient un fantasme d'Ophélie.
J'adore les 4 dernières.
RépondreSupprimerJe les aime aussi beaucoup. Merci pour ta visite, Alexandre.
SupprimerJe t'en prie 🙂
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