Beauté révélée par une femme intrépide

 



Cette jolie paire de seins est une miniature sur ivoire, ici agrandie, réalisée en 1828, par la peintre et miniaturiste américaine Sarah Goodridge, pour son client et amant, l'avocat et sénateur Daniel Webster. 

Sarah Goodridge (1788-1853) a gagné sa vie, à Boston, en peignant des portraits miniatures de ses contemporains. Par amour, elle a réalisé et envoyé cet "auto-portrait" à son amant quand il est tombé veuf, espérant que ce dernier poursuivrait sa vie avec elle. 

"Beauty Revealed" est le nom de cette œuvre très originale, qu'on a retrouvée dans les affaires du sénateur, après sa mort, en 1852. Si la représentation est fidèle, Sarah Goodridge pouvait être fière, à 40 ans, d'avoir encore d'aussi jolis nichons avec de si frêles mamelons roses. On devine leur fraîcheur, leur souplesse, leur délicatesse et leur fermeté.

Commentaires

  1. Quelle charmante proposition d'amour! Certains modèles des cours du sculpture ont aussi une belle poitrine comme le reste de leur corps. Il est plus difficile de sculpter un modèle dont le corps exprime une souffrance : il faut un supplément d'amour pour deviner le coeur qui se cache dans cette enveloppe peu seyante.

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    1. Oui, j'imagine... Je n'ai jamais fait cette expérience dont tu parles. Ce doit être passionnant!
      En ce qui concerne Sarah Goodridge, elle n'a pas eu de chance. Malgré son joli cadeau, il semblerait que le sénateur soit allé voir ailleurs!

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  2. Sarah Goodridge était très en avance sur son époque.
    Aujourd'hui, on prend son téléphone et on envoie des selfounes.

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    1. C'est tout à fait vrai, elle était en avance! Et il fallait beaucoup plus de talent. J'admire.

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  3. Effectivement, quelle magnifique paire de seins. Elle est même parfaite.
    Et quelle talent pour la représenter en miniature et en ivoire.
    J'ignore même les techniques pour réaliser une telle œuvre.
    Et les filles, vous, par contre vous pouvez faire la même chose en photographie.
    A nous d'imaginer à qui appartiennent vos jolis globes.
    Ça reste dans l'anonymat.
    J'essaie...j'essaie...

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    1. C'est toujours excitant d'essayer, on est plein d'espoir!
      Marianne

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    2. Oui, c'est vrai Marianne et aussi excitant de découvrir vos belles poitrines et de se demander à qui elles appartiennent.

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