10 mars

 



10 mars, voici le jour maudit qui revient, celui de la mort d’Ophélie.

Maudit anniversaire pour moi, pour Honorine, pour Gaëlle, pour nos amies, pour celles et ceux qui appréciaient Ophélie.

Un an déjà.

Comme si c’était hier. 

Commentaires

  1. Avec vous. Le 10 Mars résonne comme une douleur.
    Ophélie manque. Même à moi, simple blogueur.
    Alors, j'imagine ce que vous ressentez.
    Je vous embrasse.

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    1. Merci Gil, c'est là qu'on se rend compte que les mots font du bien, mais qu'ils sont incapables de faire revenir l'être cher...

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  2. Je pense à vous, les filles ❤

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  3. Déjà un an.
    Un triste anniversaire...
    J'ai aussi une pensée pour la famille de l'autre conductrice, dont la peine n'est pas moins forte, et qui doit douloureusement commémorer le même jour.

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  4. Oui un triste anniversaire dont on se passerait bien, Phil, mais comment ne pas, au moins, l'évoquer. C'est vrai, nous avons tendance à oublier l'autre automobiliste, mais elle n'a été, fort heureusement, que blessée, et nous ne la connaissions pas. Elle a eu de la chance de n'être pas tuée également!

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    1. Dans ce cas, la culpabilité doit la ronger. Si j'étais à sa place, je serais hanté par la mort d'Ophélie et les remords.

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    2. Elle ne s'est guère manifestée, je crois, aux enfants d'Ophélie...

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    3. Peut-être est-elle trop handicapée pour le faire, mais sa famille aurait dû se manifester aux enfant d'Ophélie.

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    4. Je ne sais pas pour le handicap. Pour la famille, je ne crois pas qu'elle se soit manifestée aux enfants d'Ophélie...

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  5. Chère Marianne,
    J'y ai pensé toute la journée! J'avais mal : sale date! Je vous embrasse chacune et je voudrais embrasser Ophélie.

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    1. Ophélie sait ta douleur et la nôtre. Nous t'embrassons, Elisabeth.

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  6. Triste date en effet. Je comprend maintenant pourquoi j'ai mal dormi ce jour là

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    1. Moi également, durant toute la journée, je n'ai pu m'empêcher de penser à l'accident.

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