Angélus à genoux

La nuit dernière, j'ai dormi avec Honorine dans le grand lit. C'était au tour de Gaëlle de dormir toute seule dans le petit lit. À un moment, sur le matin, j'ai entendu sonner l'Angélus de sept heures. Honorine s'est retournée vers moi et s'est mise à caresser mon sein droit, le plus proche d'elle, et à me le téter. À moitié endormie, je me suis laissée faire. C'était tellement agréable que je me suis vautrée doucement dans le plaisir. J'adore être tétée! J'ai aussi senti qu'avec un doigt, Honorine s'intéressait à mon clito, en même temps qu'elle continuait sa tétée. J'ai commencé à mouiller et à mouiller.   

Elle s'est levée soudain.

Elle est revenue et m'a aussitôt introduit un gode qu'elle a fini par pousser loin dans mon vagin. Elle a fait des va-et-vient, en usant de petits coups et de grands. C'était bon. Elle me disait de temps en temps, entre deux succions, qu'elle m'aimait.

Honorine a rapidement dégagé la couette de nous deux, et s'est mise à quatre pattes pour me téter aussi le sein gauche puis, alternativement, les deux seins. En ouvrant un œil, j'ai aperçu qu'avec son autre main, elle se masturbait et qu'elle commençait à jouir. J'ai refermé mon œil, mais elle a dit quelque chose que je n'ai pas compris. J'ai alors ouvert les deux yeux, et j'ai vu Gaêlle agenouillée derrière elle, sur le lit, en train de la forniquer avec un gode ceinture ("une ceinture godée", comme disait si poétiquement ma belle Ophélie). 

Merci Gaëlle, merci de baiser ma baiseuse en levrette. Merci de me donner à voir ses merveilleux roploplos brinquebalant sous tes hardis coups de boutoir. Elle a joui la petite Honorine, tu sais, et tu m'as fait jouir de la faire jouir pendant qu'elle me faisait jouir. Continue ma belle, ai-je pensé, continue de faire jouir cette chère enfant, ce délicieux petit ange, et continue de célébrer ainsi ce nouvel Angélus qui vient de sonner, à genoux, comme tu le fais.