The batman
Sur les conseils d’un ami blogueur, hier, en début d'après-midi, nous sommes allées au cinéma pour nous palucher, histoire de tenter une expérience à quatre. Nous avions choisi "The Batman", projeté au Rex, à Mamers. C’est le genre de film que nous sommes sûres de ne pas aimer, mais qui a l'énorme mérite de faire beaucoup de bruit dans la salle, ce qui nous permet de nous faire jouir tranquillement pendant les combats, les explosions, les voitures qui percutent des obstacles et qui brûlent, donc sans trop se faire remarquer des autres spectateurs.
Bien évidemment, nous avions choisi d’y aller nues sous des robes boutonnables par devant, sans soutiens-gorge ni petites culottes, avec, pour couvrir le tout, en raison du froid et de la décence nécessaire, un manteau d'hiver assez long.
Quand nous entrâmes dans la salle de projection, la pub était passée et le film avait déjà commencé. Nous nous installâmes donc un peu à l’aveuglette, mais dans le haut des gradins, et attendîmes de mieux voir pour choisir éventuellement un autre emplacement. En fait, nous n’étions pas si mal situées. Il n’y avait pas grand monde dans cette salle, et nos plus proches voisins se trouvaient à environ quatre ou cinq rangs devant nous. Personne n’était derrière, et j’étais en bout de ligne. A ma droite, il avait Joséphine, et suivaient Honorine et Gaëlle...
D’abord attentive à regarder Gaëlle déboutonner la robe d’Honorine, puis Honorine déboutonner celle de Gaëlle, je n'entrepris rien sur ma voisine. L’ouverture des robes devenu fait accompli, libéra inévitablement paires de nichons, ventres, sexes et cuisses. Immédiatement Honorine se leva pour se débarrasser de son manteau qu’elle déposa sur le dossier du siège devant elle, bientôt imitée par Gaëlle. De nouveau assises toutes les deux, c’est Gaëlle qui lança l’offensive en tripotant les roploplos d’Honorine et en bécotant celle-ci sur la bouche, dans le cou et un peu partout. Je ne vis pas la suite des événements, car Joséphine se leva brusquement pour retirer, elle aussi, son manteau. J’en profitai pour en faire autant et déboutonner le bas de ma robe. A peine trois boutons étaient enlevés qu'une main s’installa entre mes cuisses. Néanmoins, je poursuivis mon ascension déboutonnante. Libérés, mes seins furent immédiatement, et à tour de rôles, pris par la bouche suceuse de l’excitante septuagénaire que je laissais également attigocher, taquiner, exciter mon clitoris. Cette salope allait certainement me faire jouir, mais je ne le voyais pas ainsi, rien ne pressait et je voulais prendre mon temps. Je repris donc l’initiative en la déboutonnant du haut en bas et en baisant sa bouche. En même temps, du coin de l’œil, j’observais mes deux petites. Elles étaient vraiment belles et adorable dans cette étrange lumière noire, exquises comme des marquises. Honorine pinçait ses lèvres, signe qu’elle était au bord de l’orgasme, mais elle se retenait, ne criait pas ainsi qu'elle avait l'habitude de le faire. Gaëlle la godait bien comme il faut, je veux dire avec beaucoup d'application et d'élégance, comme Gaëlle sait si bien le faire.
De temps à autre, je regardai aussi la salle. Devant nous, les spectateurs, en majorité de jeunes hommes, ne se doutaient de rien. Ils étaient tous entraînés dans le tourbillon féroce de ce film ultra-violent. Pourtant, derrière eux, quatre filles nues se donnaient entre elles un plaisir fou. La situation était sublimissime.
Le gode de Gaëlle entrait et sortait, tout luisant de mouille, et moi, je commençai à branler ma Joséphine qui s'humidifiait déjà. Impatiente, Jojo recommença à me branler, et je dégoulinais également. D’une poche de mon manteau, je sortis le gode que j’avais emporté et l’enfilai délicatement dans ma chatte, puis dans la sienne. Joséphine se mordait les lèvres et écrasait ses deux gros nibards entre ses mains pour ne pas crier. Sur l’écran, une voiture explosa, et un bruit infernal fit vibrer les murs de la salle. On eut cru qu'ils allaient s'écrouler. Une voix d'homme, devant nous, proféra quelque chose que je ne compris pas. J’en profitai pour me lever, passai derrière nos sièges, et vins m’asseoir à coté de Gaëlle, laissant en plan ma Joséphine avec mon gode planté dans sa chatte bien dégoulinante.
Maintenant, je m’occupais de Gaëlle. Honorine en conclut qu’elle devait s’occuper de Joséphine, et Joséphine d’Honorine. Gaëlle qui avait son gode fiché en elle, me le refila. Ma mouille se retrouva mêlée à celles de Gaëlle et d’Honorine. Je ne m’en émus pas davantage, car nous avions l’habitude d’échanger de la sorte nos godemichés et de lécher la bonne cyprine des amies. Comme chacune avait mis un gode dans la poche de son manteau, les quatre godes finirent par circuler entre nous. Il était facile d'échanger nos places, les mecs, devant, avec leurs grosses bites aveugles, étaient littéralement scotchés aux images de l'écran en feu, images qui me firent penser à celles de la guerre d'Ukraine. Il y eut encore bien d'autres explosions, bien d'autres événements incroyables, bien d'autres morts. Mais les bites ne voyaient que du feu.
Bin sûr, il est impossible de décrire dans les menus détails tout ce qui se passa d'orgasmes pendant trois-quart d'heure sur ces fauteuils (de plus en plus humides), mais en plus, le tenter serait certainement fastidieux, tant pour moi que pour la lectrice éventuelle ou le lecteur éventuel de ce compte-rendu. Bien sûr, nous aurions bien aimé davantage varier nos plaisirs, notamment en tentant quelques cunnis, mais cela nous était impossible, en raison de la distance trop étroite qui séparait deux rangées de fauteuils. Il aurait fallu avoir la liberté de s’installer au tout premier rang de la salle, mais les places étaient déjà prises, et la majorité des spectateurs se trouvait justement agglutinés dans ces premiers rangs.
Cela n'est pas grave, nous avons bien aimé cette expérience. Personne ne nous a dérangées et nous n’avons dérangé personne, pas même Bruce Wayne. Disons-le franchement, ce film durant deux heures et demie, nous n’avons pas attendu sa fin pour quitter la salle, retrouver sur le parking notre voiture et rentrer très tranquillement (et érotiquement) au presbytère.
Marianne
Un vrai plaisir de lire votre aventure cinématographique de vous quatre.
RépondreSupprimerVous avez été très loin dans votre expérience et c'est un délice de voir comment ça s'est passé.
Vous n'avez peur de rien, mais, ça a l'air d'avoir été grandement réussi.
Un seul regret: le film "Batman" pour des lesbiennes...
Catwoman aurait été plus judicieux, de faire l'amour devant elle sur écran géant.
Et votre devise, (vous êtes quatre, ça me fait penser à autre chose"), ce n'est pas:
" Une pour toutes, toutes pour une" ?
Un grand merci Marianne, sans oublier tes amantes, pour ce récit vécu.
J'ai peut-être d'autres idées dans mon sac.
Bon dimanche, mes belles.
Je t'avoue que nous avons choisi le film en fonction de l'intensité sonore de la bande annonce, simplement pour couvrir nos éventuels gémissements... Il n'y avait pas Catwoman!
SupprimerOui, je m'en doute Marianne.
SupprimerEn fin de compte, le beau film était au fond de la salle,
avec vous quatre.
S'ils savaient les autres spectateurs....ce qu'ils ont raté.
Dommage qu'il n'y avait pas une cinquième lesbienne à vous filmer.
Rageant.
Compte rendu bien excitant. Merci. En tout cas, je n'irai pas voir ce film, j'ai envie d'autre chose en ce moment.
RépondreSupprimerJe comprends très bien ta décision!
SupprimerC'était donc les aventures des Chatte-women au pays des Bite-men...
RépondreSupprimerVous avez payé quatre places de cinéma pour faire la même chose qu'au presbytère, mais c'est surtout une part de risque et d'exhibition que vous vous êtes offert. Les orgasmes en ont sûrement été encore plus forts.
Je ne l'ai fait qu'une seule fois au cinéma, mais c'est un bon souvenir.
Le cunni est possible en se mettant en biais sur le siège.
Bise et bon dimanche à vous toutes.
Ton constat est juste, c'est un peu fou de faire ça, nous n'y sommes pas allées pour le film... aussi parce que Gil nous l'a suggéré et que c'est un défi excitant.
SupprimerJe ne sais si dans les cinémas de France et de Navarre, il y a des normes de distances entre rangées de fauteuils, mais dans ce cinéma-là, même la position de biais eût été inconfortable!
Bises de nous quatre.
Étonnante! Merveilleux ce que tu as vécu ! Orgasmes continus dans une salle de cinéma. Ressemble à une peinture. Votre description Marianne a le pouvoir de m'amener à l'orgasme. Je suis heureux que vous ayez vécu un si beau moment. Bonne soirée mon chere amie.
RépondreSupprimerCher Giannis, c'est nous faire beaucoup d'honneur que la description de notre aventure au cinéma Rex t'amène à l'orgasme! Merci.
SupprimerJe souhaite toujours que vous apprécierez de tels moments
SupprimerBien sûr, de tels moments ne s'oublient pas! Et nous apprécions beaucoup le plaisir rare qui s'y trouve associé!
SupprimerL'évocation de la fin de votre expérience me donne l'occasion de vous suggérer ce type d'expériences dans des parkings souterrains..., il faudrait prévoir un véhicule type familiale, mais l'idée de deux véhicules est intéressante aussi... Je vous conseillerai bien tous les parkings de Lyon et de Villeurbanne réunis , qui sont pour certains de véritables oeuvres d'art, Mais Lyon est loin de la Normandie. Les parkings et notamment dans les parties profondes sont généralement isolées des fréquentations courtes durées et on y est très tranquille. Je n'ai jamais eu aucun retour des vigiles assurant la vidéo surveillance qui doit forcément exister. Je pense à celui de La Place des Terraux, réalisé par Daniel Buren en écho à son aménagement urbain de la place du même nom. celui aussi réalisé par Wilmotte & Targe des Célestins, inspiré par les "Puits Toscans" (sic), celui de Villeurbanne également réalisé intérieurement par Wilmotte avec une étonnante oeuvre d'art plongeante dans les profondeurs intitulée "Regret des Oiseaux"! Et bien évidemment les parkings des gares ferroviaires où les regards abondent..., Part-Dieu et Perrache entre autres...
RépondreSupprimerMerci pour ces pistes si nous devons aller un jour dans la région lyonnaise! Mais les parkings souterrains nous font un peu peur, nous l'avouons!
SupprimerAvantage de la vidéosurveillance et Sources excitantes de complicités invisibles...(cf. les sorties urbaines en manteaux et/ou les cimetières et/ou les églises et/ou les chapelles).C'est extrêmement troublant...
SupprimerCe n'est pas forcément plus agréable de se faire repérer par des caméras de vidéosurveillance!
SupprimerIl semble que ce soit là tout l'exercice du jeu de l'excitation sublimée et du plaisir (cf. : https://liligrololos.blogspot.com/2022/03/la-petite-gare-de-sees.html),, là où on peut toujours y voir, craintes, limites et autre peurs ou encore fantasmes...
SupprimerCertes, le risque est excitant, je suis bien bien d'accord, et fait partie de l'exercice. La présence d'humains aux alentours qui ne font pas attention est excitante, et l'on sait bien gérer ce risque-là, mais une caméra, c'est de triche, surtout si elle est bien dissimulée! On n'est pas à armes égales!
SupprimerSois rassurée, une caméra de vidéosurveillance c'est un regard analogue à un regard humain..., sinon que les caméras ont surtout des angles morts... Et puis il convient de connaitre l'activité d'un vigile devant un mur de caméra de vidéosurveillance pour comprendre l'inutilité deces réseaux.
SupprimerUn exemple. Les surveillants de la prison dans laquelle a été agressé Yvan Colona sont toute la journée devant un mur de 56 caméras de vidéosurveillance. En gros, ils ne les regardent jamais, c'est le directeur des services pénitentiaires du Ministère de la Justice qui l'a lui-même déclaré aujourd'hui en commission d'enquête parlementaire. Alors penses! un vigile salarié d'une boite privée qui est chargé de surveiller des bagnoles dans l'obscurité d'un parking.... Tu peux être tranquille...
Oups! Tu as sans doute raison. Elles enregistrent, et les enregistrements sont utilisés en cas d'événement graves, peut-être? Tu me rassures.
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