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Dans les yeux de la meneuse
On peut lire que le hasard prend femme
Dans sa bouche
C'est l'appel de la pomme et du palpable
Et la persistance du désir
Avec ou sans dextérité de l'amour
Dans ses cheveux
C'est l'entrée dans le jour
Et cela vient de toujours
C'est la vengeance de la femme
(La beauté)
Dans le jardin sombre et secret des mers
Dans le battement de ses fières paupières
Et dans la frénésie de ses cils
Ophélie Conan
Cet article est le trente-troisième qu'Ophélie avait préparé en vue de le publier dans "Conan la barbare II".
Encore de bien belles et nombreuses images pour illustrer un joli poème d'elle.
Un festival d'images à déguster lentement. La bouche et la pomme : Ophélie disait que le fruit défendu était un sein. Elle a d'ailleurs une illustration avec une sorte de cornu lorgnant un sein avec des griffes de rapace. Belle revanche de la femme qui est la perfection de l'erreur initiale ( adam ). Il y a des reproductions amusantes comme ces vieilles affairées avec des fils tandis qu'une femme nue saucissonnée est pendue au plafond. Le mystère transparait de l'ensemble. Merci, Ophélie.
RépondreSupprimerElle regarde par dessus mon épaule, elle te remercie et elle t'embrasse.
SupprimerOn se noie dans ses mots.
RépondreSupprimerOn plonge dans les profondeurs
de son poème dédié aux femmes,
éternelle beauté, assoiffée de désir.
Pluie d'images.
Merci Gil. Je me suis demandé qui était la meneuse. Je ne vois qu'elle, Ophélie...
RépondreSupprimerJe ne suis pas sûr, Marianne, qu'elle se décrit gans ce poème.
SupprimerJe dirais plutôt qu'elle s'identifie comme telle, qu'elle a peur
de diriger tout le temps dans cette direction de désir envers la femme.
Mais est-ce que le mot meneuse est bien choisi ?
J'aurais mieux vu "Obsédée".
Obsédée par la beauté féminine, par les seins, les sexe féminin, etc...
Et comme je la comprends, mais elle seule aurait pu nous dire...
Meneuse...elle aimait être aussi soumise...
Meneuse, oui, mais aussi soumise, c'est vrai. Mais pour ce qui est du sens de son poème, je ne suis pas certaine qu'elle aurait su nous dire. Je crois qu'on n'est pas toujours conscient de ce qu'on écrit ou de ce qu'on fait, surtout dans le domaine artistique... C'est du moins ce que pensait papa Freud!
SupprimerLe tout s'est d'y prendre plaisir.
SupprimerEt je pense qu'elle en a pris.
Aussi bien par l'écrit que par le sexe.
Papa Gem.
Oui, c'est certain.
SupprimerEt dire que j'ai failli ne pas voir ce billet, faute d'en avoir été averti.
RépondreSupprimerComme tu le dis si bien, "Encore de bien belles et nombreuses images..."
J'aime beaucoup les cunnis gourmands (5, 45, 48, 55, 57, 67).
La 16 ne laisse aucun doute sur l'issue finale.
Les 18 et 47 sont de très belles photos que j'aimerais faire si, un jour, j'ai un couple de lesbiennes devant mon objectif.
Même si on le devine, on ne voit pas très bien ce qu'elles font sur la 60.
Et la 6 me laisse interrogatif...
Je t'embrasse et te souhaite une belle semaine.
Oui, la 16 ne laisse aucun doute sur l'issue finale. La 6 peut laisser interrogatif, mais c'est la réalité de l'anatomie...
SupprimerQuant à la 60, il me semble que ce sont deux vilaines filles qui se godent dans la neige, chacune pour soi. Elle doivent certainement y mettre de l'énergie, car il ne fait sûrement pas très chaud.
Je vais à nouveau voir ce que je peux faire pour que tu sois averti de la parution de mes articles.
Bises, Phil, et bonne journée.