Deux étudiantes


Nous sommes deux filles sympas, heureuses d'être des filles, des étudiantes parfois un peu speed quand nous sommes en retard pour nous rendre en cours (à l'époque où il y en avait encore), mais le plus souvent calmes et toujours très souriantes.

On aime bouger, on n'aime pas être enfermées. On ne sait pas toujours quoi faire. On fait souvent du sport, du ping-pong, de la corde à sauter, des rollers, du vélo. On fait aussi du shopping, on va dans des magasins de chaussures, de vêtements, de sous-vêtements, dans des boutiques à la mode. On bricole, on cuisine. Parfois on dort, souvent on baise. On est toujours chaudes comme la braise.

On a peur de mourir. On a peur des rats, des araignées, des serpents, des mecs, du vide et maintenant du covid. Dans une autre vie, si ça devait arriver et qu'on devait être un animal, on aimerait être un dauphin, parce que c'est beau, que ça nage vite, même très vite, et que ça saute hors de l'eau, ou bien encore un guépard, parce que ça court vite comme un beau frisson d'orgasme.

Commentaires

  1. Le texte est très sympathique et agréable à lire, l'illustration est une des pratiques qui me semble la plus excitante ( frottement mutuel des clitoris ). Le guépard m'a fait rire parce que c'est aussi un titre de roman connu dont j'ignore s'il parle de la déflagration orgastique ( cette succession orgastique que connait la femme mais pas l'homme me semble-t-il qui ne peut que tenter de suivre le rythme ).

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    1. Merci, Elisabeth! Le guépard est aussi un admirable film de Luchino Visconti, sans doute tiré du roman dont tu parles. Dans ce film, je n'ai pas souvenir de déflagration orgastique!

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    2. L'orgaste, c'est une sorte de simulation, non ?
      L'homme ne simule pas du coups ....
      http://www.meditationorgasmique.com/blog/climax-et-orgasme

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    3. La distinction que fait la brune de la vidéo est pertinente et je suis tout à fait d'accord avec elle. Après, c'est une question de définition et de sens des mots. Je préfère Climax à orgaste qui me fait penser à gymnaste ou à cinéaste. Le climax est une notion pluridisciplinaire dans les sciences qui convient très bien à ce que décrit la brune
      (https://fr.wikipedia.org/wiki/Climax). Merci pour cette vidéo, Gil.

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  2. C'est à qui ces jolis mots ?
    Je les adore.
    Ils décrivent la vie étudiante de deux lesbiennes.
    Mais, il ne faut pas avoir peur des mecs, comme ça.
    Pas de tous, du moins.
    Moi, j'aimerais revenir en cheval,
    parce que je trouve cet animal beau,
    et parce qu'on peut être monté et caressé.

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    1. Je ne sais pas à qui ils sont ces jolis mots, je les ai inventés...
      Oui, revenir en cheval ne serait sans doute pas mal! Moi, j'avoue ne pas savoir. J'ai du mal à m'imaginer en animal! Peut-être en chatte...

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    2. Miaouuuu...
      Et bien tes inventions sont belles, Marianne.
      Oui, c'est vrai, moi aussi, j'ai du mal à m'imaginer en animal.
      Je me vois plutôt revenir en femme,
      pour goûter à d'autres sensations.

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    3. Ah, ouais ?....
      J'ai oublié de préciser que ma question sur l'auteure de ce texte,
      a été motivée, car il me semble (je me trompe, peut-être) qu'Honorine
      est lesbienne depuis ses années études, je crois.
      Et donc, ce n'était pas étonnant d'écrire ce texte qui aurait pu être un souvenir pour elle.
      Mais, comme c'est toi Marianne, aurais-tu la nostalgie de ces années où tu aurais pu
      vivre une aventure comme ça auprès d'une amie bien précise.

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    4. Tu as raison, Gil, en écrivant ce texte, j'ai pu être été influencée par la vie lycéenne (plus qu'étudiante) d'Honorine. Contrairement à Gaëlle et à moi, Honorine n'a jamais connu de garçons. C'est une vierge pure de ce côté-là. Elle n'a connu que des membres virils artificiels.
      Mais peut-être aussi que ce petit texte est porteur d'une nostalgie de saphisme précoce... J'avoue que j'admire beaucoup Honorine de n'avoir jamais succombé à la tentation du mâle... Néanmoins, je ne regrette pas d'avoir connu un homme et d'avoir eu des enfants avec lui, mais Honorine a tellement l'air, d'être heureuse...

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    5. C'est le principal d'être heureux(se) dans le chemin qu'on s'est tracé.
      Tu as connu les deux, toi, et c'est bien aussi de ne pas le regretter.

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  3. Elles sont belles ces étudiantes.
    Il est beau ce gif.

    Je me demande si l'orgasme arrive plus rapidement et facilement de cette manière, par rapport au cunni ou à la masturbation réciproque. Ça me semble moins "efficace", mais ce n'est que mon ressenti personnel.

    Bise et bon weekend.

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    1. Ce n'est pas moins efficace, cher Phil. Cela provoque d'autres sensations, on ne fait qu'une, on est emboitées, on voit nos visages, on voit nos seins qui se trémoussent ... Ça provoque d'autres excitations très excitantes...

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  4. Superbe gif et joli texte. Beau dans sa simplicité.

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    1. Anonyme, c'est moi, mais j'ai supprimé le compte.

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  5. Gil en cheval. Je crois surtout qu'il désire être "monté" par Honorine. Imagine, Gil, la petite chatte d'Honorine sur ton dos.
    Elle est très jolie la "fricadelle". J'aime beaucoup la pratiquer

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    1. Je laisse à Gil le soin de te répondre, s'il repasse par ici!

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    2. Bien sûr que je repasse, mes belles.
      Et bien oui, tout d'abord, des caresses,
      puisque je crois, que les cavalières bichonnent leur monture.
      Et après oui, pourquoi pas, une montée à cru d'Honorine.
      Sentir son entre-cuisses sur le dos.
      Parait-il que certaines femmes ont joui ainsi.
      (Là, c'est à Honorine de répondre)
      J'ai toujours fantasmé ce genre de situation.
      Romane, quand à toi, pourrais-tu nous offrir une petite fricadelle sur ton blog,
      puisque tu en es une adepte.
      En attendant je te fais une bise pour te souhaiter une Belle et Bonne Année.
      Je crois qu'il y a quelque chose de prévu, si j'en crois le blog de Nikita, où, tu as laissé un joli message.

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    3. Gem, je ne suis jamais montée sur le dos d'un homme et je ne sais pas si cela me ferait jouir. Sur un cheval, oui, c'est possible.
      Honorine

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    4. Si, si, je suis déjà montée sur le dos d'une femme à quatre pattes pour jouer à faire du cheval, mais il y a mieux pour se faire jouir!
      Honorine

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    5. Ce n'est de cette manière là que je parlais Honorine.
      Je ne suis pas du tout BDSM.
      Non, juste une femme allongée sur le ventre, immobile, et toi,
      à cheval sur ses reins ou fesses, te masturbant. C'est tout.
      Je tenais à préciser. Je me suis mal exprimé.

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    6. Ah oui! Bien sûr!
      Jouer à dada n'est d'ailleurs pas forcément BDSM!
      C'est vrai, ça m'est souvent arrivé de me mettre à califourchon sur Marianne ou Gaëlle, allongée, au niveau du haut des cuisses, et d'allumer entre nos deux sexes un vibro.
      Honorine

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