Les chambres
Il y a quatre chambres à l'étage, distribuées par un couloir de part et d'autre de l'escalier central, mais nous n'en utilisons que deux, celles qui se trouvent au-dessus de la salle-à-manger et de la cuisine.
Dans ces deux chambres, nous dormons à deux dans des lits de deux personnes, effectuant un roulement chaque nuit, ce qui fait que nous ne couchons jamais avec les mêmes yeux, la même chevelure, la même bouche, les mêmes nichons, la même paire de fesses et la même chatte. Les deux autres chambres, de l'autre côté de l'escalier, seront des chambres dites d'amies, mais il faudra y installer des lits pour les rendre vraiment opérationnelles, ce qui n'est pas encore fait.
Ces chambres d'amies seront dédiées au plaisir, parce que nous avons déjà installé dans l'une (la plus grande, celle dite de l'évêque) notre machine à baiser, et dans les deux, tous nos accessoires érotiques dans deux commodes anciennes. Ainsi, quand nous aurons des invitées, ces dernières pourront disposer de notre matos, ce qui est la moindre des choses quand on a à cœur de bien recevoir ses amies.
En fait, nous avons renoncé à mettre notre machine dans le petit salon du rez-de-chaussée, ainsi que nous pensions le faire, estimant la chose trop provocante pour le visiteur lambda, artisan, jardinier, ou Monsieur le Maire. Le rez-de-chaussée doit rester soft et neutre avons nous pensé. Néanmoins, nous avons disposé côte à côte sur le sol de cette pièce quatre grands matelas de 140, ce qui permet de nous ébattre très confortablement, d'autant que les salons donnent sur le jardin par des portes-fenêtres, ce qui est très agréable quand il fait beau. Nos accessoires de baise les plus courants sont rangés dans ce petit salon, dans une commode également ancienne.
Nous ne remercierons jamais assez Karine, la fille d'Ophélie, de nous avoir donné un certain nombre d'objets et de meubles, dont ces trois commodes du 18ème siècle, que sa mère collectionnait et stockait dans un hangar qu'elle louait à P., ne pouvant les faire entrer dans la maison de Trottinette, faute de place, et qu'elle se réservait d'utiliser, plus tard, peut-être, dans une grande maison de caractère ou dans un presbytère...
Marianne
Il doit être très jouissif d'avoir la machine à baiser dans la chambre de l'évêque. C'est aussi super d'avoir des meubles d'Ophélie. Il était prudent de laisser le rez de chaussée sans objet pour l'individu lambda. Vous protégez vos secrets, et vous savez ce qui peut être dit ou non dit. Si j'ai bien compris, le notaire a compris votre relation... C'est très bien cette organisation des chambres avec partenaire tournante qui n'empêche pas une partouze à quatre!
RépondreSupprimerOui, nous sommes contentes de notre organisation "tournante". Pour nous repérer, Joséphine a même fait un planning. Bien sûr, cela n'empêche pas des variations autour du thème...
SupprimerTes amies ont beaucoup de chance d'être si bien reçues.
RépondreSupprimerPeut-être qu'en explorant plus attentivement ta grande demeure, tu trouveras une chambre d'ami... :)
Désolées, Phil, mais nous n'en avons pas trouvée! ;-)
SupprimerBise.
Merci de faire la visite de votre nouvelle demeure (dommage qu'il n'y a pas les photos).
RépondreSupprimerJ'adore ta façon de dire que vous couchez jamais avec la même personne (jamais les mêmes seins, les mêmes chattes, les mêmes fesses....etc...)
Si l'évêque vous voit d'où il est, il doit être vert, en voyant la "machine" qui vous pistonne....
On dirait que vous commencez à prendre vos marques, avec toujours le sexe en toile de fond.
Vous avez bien raison.
C'est vrai, nous commençons à prendre nos marques dans ces lieux où il fait bon faire l'amour. Dommage que le temps se détraque. Le vent est d'est et, en l'absence de soleil, il ne fait pas toujours très chaud. Nous en profitons donc pour tailler et jardiner et réservons le plaisir aux moments de soleil. J'espère qu'il y en aura aujourd'hui!
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