Bazar

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C'est un peu le bazar sur ces images! Nous avons voulu, Gaëlle et moi, faire un choix plus proche de notre réalité de jeunes pouliches, sans doute moins esthétique que ceux d'Ophélie et de Marianne, mais plus en phase avec ce que nous vivons concrètement.

On le remarque, les filles de nos photos baisent dans des petits apparts mal rangés, jonchés de restes de repas, de poupées, de nounours, de bouteilles vides, de chaussures, de chaussettes et de soutiens-gorges, ce qui n'est pas joli, mais c'est la vie, et c'est aussi souvent comme ça que l'on vit. D'ailleurs Marianne et Joséphine (ces deux vieilles! Hi! Hi!) sont souvent sur notre poil et nous font la guerre pour qu'on range nos affaires, celles qui traînent dans l'espace commun. Nous attendons impatiemment le presbytère pour avoir plus de rangements et chacune notre chambre!

Nous aimons tout particulièrement la photo 18, parce qu'elle nous rappelle ce que nous vivons assez souvent. Pendant que l'une passe le balai de sorcière (ou l'aspirateur), l'autre en solo se fait crier. Ça fait rager celle qui travaille, mais ça l'excite aussi beaucoup! Bien sûr, ça n'exclut pas des retrouvailles, pendant ou après!

"Un beau désordre est un effet de l'art" a écrit, paraît-il, Nicolas Boileau. Quand on dit ça à Marianne, ça l'énerve, mais elle ne nous en veut pas! La preuve, elle nous court après pour nous peloter les seins ou mettre sa main entre nos cuisses. Nous aimons!

Gaëlle et Honorine

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Commentaires

  1. Très sympathique ce bazar et plutôt adapté aux plus jeunes des femmes pour quelques postures acrobatiques. Le portrait est-il de Baudelaire? J'hésite : en tout cas, la femme regarde cette verge en plastique qu'elle aurait préféré en glace au chocolat, non? ( 22 ). Angéla ou sa soeur opte pour une solution plus classique ( 53 ). Au fait, une banana split au chocolat est parfois bien utile. Les charmes de l'aspirateur ( si c'est lui ) se dévoilent en 14. En 31, ce pubis bien gonflé cache peut-être une transition en cours...

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    1. Oui, notre petite bazar est plutôt sympa et nous te remercions de cette appréciation. Pour le portrait, Marianne dit que ça n'est pas celui de Baudelaire, mais de Vladimir Poutine. Nous, on ne sait pas. En tout cas, la fille paraît intimidée par la présence du monsieur. Va-t-elle quand même se servir du gode? On ne sait pas. On ne saura jamais. Nous, on hésiterait pas!
      Comment sais-tu que la fille 53 s'appelle Angéla?
      En 14, ce n'est pas un aspirateur, Elisabeth, mais plutôt un gode avec stimulateur de clitoris, et en 31, tu as raison, c'est un bel état de transition comme nous les aimons!
      Nous t'embrassons.
      Gaëlle & Honorine

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    2. Je me suis posée la même question que Marianne au sujet de Poutine mais j'ai cherché un portrait de Baudelaire pour être sûre de mon hypothèse. Lécher le gode est peut-être décevant : la femme devrait plutôt en faire un autre usage! Ouah! Super le gode avec stimulateur de clitoris : pour une personne ou plusieurs? Je vous embrasse. Elisabeth.

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    3. Un gode avec stimulateur de clitoris pour plusieurs, là tu y vas fort, Elisabeth!
      G & H

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    4. Je m'attendais un peu à cette réponse! Je l'ai observé, à nouveau, et note qu'à défaut de stimuler plusieurs clitoris, il réjouit le vagin de celle qui lui a confié aussi son clitoris : c'est très astucieux. Pour Angéla? La peau ébène et une belle musculature.

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    5. Oui, en matière de godemichés, nous avons beaucoup de choix de nos jours. Les fabricants rivalisent d'ingéniosité. C'est une bonne chose pour nous qui sommes régulièrement utilisatrices, ce qui fait que nous avons vite fait d'en avoir une grande collection, d'autant plus que la qualité n'est pas toujours au rendez-vous et qu'une forte utilisation les use.
      Pardon pour Angela, nous ne savions pas que tu connaissais notre amie américaine et sa copine Grace! Nous sommes tristes de ne plus les revoir, tout ça à cause de la pandémie.
      Gaëlle & Honorine

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    6. Chère Gaëlle,
      Tu m'en avais parlé dans ton article sur les seins quand je t'ai demandé si tu connaissais la peau ébène que j'aime beaucoup. Voici comment je connais Angéla et sa copine Grace. Je ne sais pas si le plan des faux passe sanitaires permet de franchir les frontières : c'est un plan risqué! Il reste le plan partouze par skype, mais là, il faut beaucoup fantasmer! Il me semble que Marianne insiste souvent sur l'aspect cérébral du désir : ma petite expérience est plus localisée, et pour l'amour, je ne le place pas dans le cerveau qui chez moi est saugrenu, farfelu, intello et artiste si bien que mon logis est aussi un étrange bazar avec pleins de bouquins en toutes les langues. Une amie polonaise appelait cela " un bordel d'intello ". Formée à la recherche, je garde un côté explorateur ( Ophélie avait aussi ce tempérament ). Chère Honorine, as-tu trouvé un lieu où monter à cheval et passer des concours hippiques en gagnant des coupes ( et je suppose des sous à chaque coupe : un de mes oncles collectionnait les trophées de ses réussites mais je n'ai pas osé lui demander si cela rapportait des sous! Il lui en fallait beaucoup si bien qu'il devint assureur - quelle horreur! ) et un autre métier que celui d'assureur, plus en rapport avec ta passion pour les chevaux dans les alentours du presbytère. Jeune, je montais à cheval, mais une jument décida que mon poids trop bas et mes jambes pourtant fortement appliquées sur son torse ( il s'agissait de la jument de mon oncle et j'avais onze ans ) ne méritaient qu'une forte réaction de sa part devant cette cavalière d'opérette. Elle s'emballa, et les autres m'admiraient tandis que je songeais aux histoires angoissantes que contait ma mère, dont la soit-disant fréquence ( mon oeil! ) des chevaux emballés entrant à l'écurie avec un cavalier qui se faisait fracasser la tête au passage de la porte! Tu auras compris que ma mère ne montait pas à cheval et qu'elle oublia l'art de se coucher en avant sur la bête... En fait, le cheval, ce n'est pas cérébral mais fantastiquement sensuel! Mon bazar n'a pas votre équipement mais je crois deviner que Joséphine commence à vous faire concurrence... Je vous embrasse toutes les quatre. Elisabeth.

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    7. Chère Elisabeth, C'est uniquement Honorine qui te répond, parce que Gaëlle est partie passer la journée chez sa mère et son beau-père. Merci, Elisabeth pour l'intérêt que tu nous témoignes et pour ton partage d'expériences d'exploratrice. En ce qui me concerne, je n'ai pas encore contacté de centre équestre dans l'Orne, j'attends d'être sur place pour me rendre compte concrètement. Je vois que tu es aussi une adepte du bazar, sans doute pas le même que le nôtre! Mais tu as raison, Joséphine, malgré ce qu'elle dit, commence à nous faire concurrence, parce qu'elle aime bien notre "bazar"! Je t'embrasse.

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  2. De biens jolis bazars ! On pourrait même dire pour certains, un beau bordel !

    Vous aurez effectivement plus de place dans le presbytère pour étaler vos affaires et plus d'aise pour vos ébats.
    Bises à vous toutes.

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  3. J'adore vous lire les filles.
    A ma première vue, j'ai vu Poutine aussi sur ce cadre.
    La femme devant son gode, est-elle en admiration ?
    En tous les cas, vous avez trouvé de belles illustrations, pour imager votre univers.
    Et devant la citation de Boileau, il faudrait dire à Marianne, "compte dessus et bois de l'eau."
    Je pense que c'est dû, effectivement, à la jeunesse que ce laisser aller du rangement, je comprends Marianne. (tiens je voudrais bien un petit texte de Marianne et pourquoi pas de Joséphine, sur ce sujet. Hi,hi,hi, ça serait marrant...Mais faut-il ranger tous vos objets du plaisir ?
    Il faut les avoir à portée de main...ou plutôt...enfin bref, vous m'avez compris. Pour le reste, un peu de rangement, oui. A moins que vous êtes adeptes de la fessée, mes belles.
    En tous les cas, continuez à faire vivre ce blog.
    J'aime.
    Bises désordonnées.
    Big Bazar.

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    1. Nous reviendrons, parce qu'une intervention de temps en temps, c'est pas chiant, c'est même marrant. Merci Gem pour tes compliments, nous sommes très fières de nos illustrations "bordéliques"!
      Il n'y a pas que nos joujoux que nous ne rangeons pas, il y a aussi nos soutifs, petites culottes, tee-shirts, bouquins, maquillages... Faut dire qu'à P. la maison est petite pour trois, mais ça s'est amélioré avec la maison de Joséphine.
      Marianne ne dit rien pour les joujoux, elle aime bien aussi les avoir à portée de main, c'est quand même très pratique. Ce n'est sans doute pas très décoratif dans le salon, mais nous ne recevons jamais personne à l'improviste, à cause de ça. La seule personne qui venait à l'improviste, c'était Joséphine, avant qu'elle ne devienne des nôtres. Du temps de Rose, elle avait déjà aperçu des godes qui traînaient sur le canapé, mais elle n'avait rien osé dire. Plus récemment, elle a pu voir la machine. Sans doute ça l'a gênée, car elle ne revenait plus très souvent. Maintenant, nous vivons sur les deux maisons, et il y a des godes qui traînent dans les deux maisons.
      Bises de nous deux.
      Gaëlle & Honorine

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