Seulement manteau et bottes
Gaëlle, Honorine et moi aimons beaucoup le contraste offert par cette photo. Le concept de ce manteau nous a d'abord fait rêver, mais le problème qu'Honorine a tout de suite soulevé est qu'on ne doit certainement pas passer inaperçue, en ville, avec cette sorte de capote à poils, sans doute lourde, et si majestueusement longue.
Avec ce début de déconfinement progressif, nous sommes déjà allées nous balader à Quimper avec seulement manteau et bottes (plus classiques). Joséphine a paniqué et n'a pas osé nous suivre.
Marianne
Je comprends Joséphine par rapport au manteau de la photo, mais je crois que vous avez choisi une tenue moins voyante. Manteaux noirs et bottes de cuir noir : ce me semble excitant... Je ne sais comment vous étiez habillées.
RépondreSupprimerNous sommes habillées classiquement, pas voyante, et évidemment pas avec le manteau et les bottes de la photo! Mais cette sobriété a effrayé Joséphine. Je le comprends, cela fait peur!
SupprimerJ'aimerais beaucoup vous voir avec vos manteaux (même fermés) et bottes en ville. Histoire de voir si l'on peut se douter ou pas que vous êtes nues dessous.
RépondreSupprimerOui, j'aimerais beaucoup...
Oui, je comprends ton désir, Phil, mais ne t'inquiète pas, personne ne peut se douter que nous sommes nues sous nos manteaux quand ceux-ci sont fermés... Et nous les ouvrons que lorsque nous sommes vraiment certaines d'être en sécurité!
SupprimerOphélie affectionnait ce genre de pratique.
RépondreSupprimerEt elle vous a transmise, cette envie excitante de le faire aussi.
Marianne tu l'as déjà faite avec ton amoureuse et tu inities, très bien, tes jeunes amantes.
Je comprends aussi Joséphine d'appréhender de vous suivre.
Excitante oui, cette pratique, de croiser des gens qui ignorent que vous êtes en-dessous,
entièrement nues,
et qui croisent vos regards et scrutent vos corps enveloppés de vos manteaux,
car trois belles femmes comme vous, on les regarde.
Excitante cette pratique, .encore oui, parce qu'il y a un risque de se faire prendre, d'être vues,
quand vous ouvrez vos parures, et que vos mains glissent dessous.
Vous devez être bien mouillées.
La photo que tu nous montre, Marianne, restera au stade du fantasme.
Et je dois t'avouer que ce n'est pas ma tasse de thé, une telle tenue.
Peut-être, si, pour s'allonger dessus, et faire l'amour.
Je rejoins Phil, avec cette envie de vous voir.
Ça serait un très beau cadeau à nous faire.
Vous pouvez la faire sans visage, pour garder l'anonymat.
Ton texte prendrait encore plus une tournure réaliste.
Bise à vous quatre et bon dimanche.
Gil, comme pour Phil, je comprends ton désir, mais c’est bête à dire, nous ne sommes pas prêtes à poster une photo de chacune d’entre nous, nue, manteau ouvert, même sans visage (sans visage et manteau fermé, je n’en vois pas l’intérêt). Comme Ophélie l’expliquait déjà, nous aimons nous exhiber entre nous, mais sans être vues des autres, autrement dit à l’insu des autres qui, éventuellement, peuvent être présents sur une aire déterminée. C’est notre point commun à toutes et certainement une forme particulière de l’exhibitionnisme, peut-être pathologique et malsaine, dont je ne connais pas le nom scientifique. Gaëlle, surtout, est très réticente à cette idée qui l’insécurise beaucoup. En revanche, elle est la première à vouloir sortir nue sous un manteau ou un imper, si elle sait que nous ferons tout pour ne pas nous faire voir quand nous nous déboutonnerons et nous caresserons.
SupprimerOphélie m'a initié à ces sorties nocturnes. Quelles sensations excitantes au moment ou tu retires tes vêtements. La première fois, je ne suis baladée en forêt proche d'un lac une nuit de pleine lune. Je n'avais gardé qu'un mini string blanc. J'ai fini par le retirer pour aller me frotter sur un agrès d'un parcours de santé.
RépondreSupprimerJe suis partie en laissant mon string accroché à une branche.
Le lendemain, j'y suis retournée de jour. Il avait bien sûr disparu.
Maintenant je l'imagine porté par quelqu'un...
Il y a aussi les sorties dans les cimetières...
Je crois qu'Ophélie n'a pas eu de mal à t'initier à ces déambulations nocturnes, tu étais une élève très douée! Je me souviens, tu t'étais rendue en voiture près de ce lac, aux alentours de minuit, et tu y étais arrivée assez "humide". Tu portais un chemisier, un petit string blanc et une mini-jupe. Tu avais mis un sweat par dessus, de crainte de prendre froid. Puis, tu as commencé à te caresser, jusqu'à devenir poisseuse. C'est alors que tu as retiré ton petit string pour l'accrocher à cet agrès, en pensant que, le lendemain, un jogger ou une joggeuse le découvrirait. Puis, nue, tu es retournée jusqu'à ta voiture, à poil. Et dans ta voiture, tu as remis ton sweat, mais pas ta jupe, et tu revenue chez toi en craignant un contrôle de police... A cette époque, je ne vivais pas encore avec Ophélie, mais elle m'a tellement souvent raconté ta belle aventure nocturne et solitaire que je m'en souviens comme si je l'avais vécue. De fait, j'en ai vécu des similaires, seule ou avec des amies, et ça toujours été (c'est encore) une jouissance vraiment intense.
SupprimerOui, il y a aussi les sorties dans les cimetières!
Je t'embrasse.