Cosmopolissonnes









































Je me réfugie dans la poésie qui est l’antidote rêvé du totalitarisme invisible
L’amour y brûle toujours et y écrit un éloge parfait de la singularité
Je me réfugie aussi dans l’amour de mes belles juteuses et fruitées
Ô joyeuses parades amoureuses

Laissons sonner le téléphone 
Rejoignons l’impertinence des veuves
Et vivons avec une précision d'horlogère le bel attrait de la liberté
Et des sauvages tétées













Ophélie Conan

Le quinzième des nombreux articles illustrés qu’Ophélie avait préparés pour « Conan la barbare II » et qui n’ont pas été publiés par elle. Je le présente ici sans aucune modification. 


Commentaires

  1. Et quelles bonnes idées, elle avait Ophélie,
    de brûler l'amour avec ses belles juteuses et fruitées,
    dont tu faisais partie et que tu fais toujours partie, Marianne.
    Certaines images (je laisse la sixième, le café) donnent envie
    d'y pénétrer...dans l'image.
    Merci pour ce retour fracassant, Marianne.

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  2. Et dire que j'ai failli raté ce billet (toujours pour le même problème) !
    Les Gifs sont superbes, encore une fois. Si on nous avait enseigné la poésie avec ce genre d'illustration, sûr que je me serais moins ennuyé...

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    Réponses
    1. c'est vrai, mais ces illustrations ne sont pas tout à fait adaptées au corbeau et au renard!

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    2. J'ai toujours préféré les femmes fontaine aux fables de La Fontaine.

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    3. Je te comprends, mais ce n'est pas vraiment comparables!

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