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Gaëlle et moi, nous vous proposons encore une très belle série d'images 3d présentant de jolies gouines comme nous (on se la joue un peu, non?), et, ci-après, un texte de Joséphine. Joséphine ne s'est jamais encore exprimée sur le blog de Marianne et, comme elle désire le faire, Marianne lui donne la parole.
Bonjour,
Non, je ne désire pas le faire, mais il paraît que certains lecteurs ou certaines lectrices de ce blog ont demandé que je m'exprime au sujet du réveillon de la Saint Sylvestre. Je n'aime pas tellement écrire mes états d'âme, mais je dois dire, tout d'abord, que je m'habitue bien à ma nouvelle vie au presbytère. Cette vie, jamais de la vie, je n'aurais imaginer la vivre. Concubine d'un marin-pécheur, institutrice pendant plus que quarante ans, et mère d'un garçon âgé de quarante-sept ans, rien ne me prédisposait, à soixante-seize balais, de me lancer dans cette folle aventure de gousses (à propos, est-ce que gousse a un rapport avec l'ail?).
Comme on le sait, j'habitais à P. avec Yann, mon homme, juste à côté de la maison de Trottinette, que louait Madame Conan, une charmante et très ravissante blonde que vous connaissez certainement. D'abord seule, Ophélie (c'est son prénom) s'est rapidement mise en ménage avec une certaine Rose, une sorte de rousse, très rebelle et pas toujours commode. Puis ce couple sans enfant a fini par adopter une jolie brunette d'un certain âge, nommée Marianne. Nous avions, mon mari et moi, pendant de longues années, des relations convenables de voisinage avec ces trois personnes, mais nous nous rendions bien compte, surtout en été, qu'elles avaient un mode de vie très différent du nôtre. Souvent, je surprenais Yann les mater à leur insu par-dessus le mur mitoyen, à la suite de quoi j'engueulais ce pauvre malheureux. Mais je dois reconnaître que quand Yann était absent, je faisais de même. C'est ainsi que je découvris qu'Ophélie, Rose et Marianne étaient trois lesbiennes, qu'elles vivaient quasiment toujours nues, comme les filles de ce post, et qu'elles passaient beaucoup de temps à s'embrasser, se lécher, se sucer, se masturber et s'enfoncer des godemichés, en toute liberté, sans aucun complexe et sans aucune retenue. Parfois, elles s'attachaient nues aux arbres du jardin et jouaient à des jeux bdsm. Combien de fois, juchée sur mon escabeau, cachée par les feuilles d'un prunier, j'ai regardé ces spectacles, complètement fascinée. Je dois dire que j'avais très envie d'aller jouer avec elles, car je trouvais si peu attrayante et si monotone ma vie sexuelle avec mon homme. Même quand elles n'étaient pas dans le jardin, nous entendions les trémolos de leur plaisir, ce qui nous faisait sourire, Yann et moi...
A la fin, Rose a été remplacée par la sublissime Gaëlle, et puis Ophélie et mon homme sont morts, le même jour, ce qui est quand même incroyable. Ensuite, j'ai vu s'installer, dans cette minuscule maison, la très belle et très princière Honorine... Le chagrin a passé, la vie a repris, et Marianne a pris la relève et la direction des choses. Et moi, la vieille, les jeunettes m'ont acceptée. Nous avons déménagé ici, mais je n'insiste pas, Marianne a déjà raconté tout ça!
J'ai soixante-seize balais, mais il paraît que ça ne se voit pas trop. Mes seins sont encore fermes et bien galbés, mes cuisses et mes fesses encore très désirables et donc acceptables. Je ne suis ni un sac d'os ni une grosse dondon. Quant aux rides de ma tronche et mes cheveux gris, soi-disant que ça me va très bien. Je suis encore assez souple, suffisamment pour me faire prendre en levrette par l'une ou l'autre de ces belles dames, ou encore rester pendant plus d'une heure, attachée en croix à quatre anneaux en fer, à me faire goder ou martyriser les tétons, sans en sortir paralysée par l'ankylose.
J'en viens à cette Saint Sylvestre et à ce jour de l'An, et je dis que c'était fantastique et très réussi! Nous avons bien ri et bien joué comme des gamines pendant tout le repas. Je ne suis pas allée sous la table, mais j'aurais bien voulu. Durant la nuit, j'ai couché avec Marceline, une ancienne collègue de travail d'Ophélie, que je connaissais assez peu. Cette fille a vraiment de très gros nichons, un peu comme les miens et on s'est bien amusées avec, toutes les deux, et aussi avec ceux de Gaëlle quand elle est venue nous rejoindre à pas d'heure. Tout était vraiment bien, durant ces deux jours, la déco, le foie gras, le chapon, la bûche glacée, le champagne, la partouze à neuf sur les matelas, le jeu de la pissouze, la sortie à poil dans Bellême, tout, vraiment. Heureusement, il ne faisait pas froid, on a vraiment eu de la veine. Et puis, il n'y avait personne dans les rues. On a pu se tripoter et se sucer à notre aise dans les coins sombres. C'était très rigolo et très excitant.
Je vous embrasse.
Joséphine
Voilà, Joséphine s'est exprimée. Nous l'avons laissée seule devant le clavier. Maintenant, elle nous dit qu'elle s'est relue et que son texte est très bien comme ça. Merci Jojo.
Nous ajoutons, Gaëlle et moi, pour renforcer les propos de Joséphine, que nous avons aussi beaucoup aimé la sortie nocturne dans Bellême, nues sous nos manteaux. Ce que Marianne et Joséphine n'ont pas raconté, c'est qu'au retour de Bellême, vers 23 heures, nous avons continué notre promenade à C.. Nous n'y avons rencontré personne, sauf l'ancien boucher du village (il est en retraite et personne n'a repris sa boucherie). Il sortait juste de sa voiture, un tournevis à la main (il n'est pas interdit de bricoler un deux janvier). Quand nous sommes passées devant lui, nous avions évidemment déjà toutes refermé nos manteaux, et nous avons salué le bonhomme poliment. Il eut l'air étonné quand il vit tout ce troupeau de femmes en manteau et hauts talons, et il a simplement ajouté à son bonsoir: "Il fait doux pour la saison! Bonne promenade!" Marianne lui a répondu: "Oui, cette douceur est vraiment agréable, nous allons en profiter!" Et puis elle a ajouté "Et bonne année!" Bonne année a répondu l'ancien boucher, et toutes en chœur nous lui avons souhaité la bonne année. Nous ne lui avons pas fait la bise, évidemment, car nous le connaissons très peu, mais surtout à cause du covid. Il est sympathique, et peut-être qu'il aurait aimé.
Manteaux ouverts, nous avons continué jusqu'à l'ancien lavoir où l'endroit est sombre et où nous avons pu nous caresser et nous masturber réciproquement, très tranquillement. Puis, nous sommes reparties en direction du cimetière. Nous n'y sommes pas rentrées, car il y faisait vraiment trop sombre, le ciel était sans lune, et nous avons craint de nous casser la margoulette avec nos talons parmi les tombes. Nous sommes donc restées à l'entrée, près du portail. Là, Marianne a évoqué le souvenir d'Ophélie qui aimait particulièrement faire l'amour sur les pierres tombales. Elle nous a dit que la barbare l'avait entraînée de nombreuses fois pour baiser dans différents cimetières bigoudens, et qu'elle avait beaucoup aimé ça. Marlène et Marceline ont dit qu'elles le faisaient aussi, très souvent, et qu'elles trouvaient ça super, que c'était Ophélie qui les avait initiées. Marianne nous a promis qu'elles nous emmènerait toutes les deux dans les cimetières de la région, cet été, au clair de la lune. Maintenant, nous en rêvons et en parlons souvent quand nous sommes toutes les deux.
Honorine & Gaëlle
PS: Olivier et Sacha sont venus au presbytère, mercredi dernier, pour nous souhaiter la bonne année. Olivier a voulu savoir si nous avions essayé les anneaux et si nous en étions satisfaites. Marianne a répondu que oui et l'a encore remercié. Olivier le savait déjà, puisqu'il a revu Gaëlle, dès le lundi, à la ressourcerie. Il a voulu s'entendre dire des compliments. Les garçons n'ont pas davantage demandé de détails. Ils sont pudiques. C'est étonnant.
Thank you, Joséphine, for your 'confessions' that I read with so much curiosity! I'm sure that you're a very charming lady. Whenever I think of your 'ménage' (four women of different age and background living together and loving each other) I feel that women and men could really be happy if they managed to free themselves from conventional prejudices an inhibitions.
RépondreSupprimerI wish you a New Year of pleasure and happiness at the presbytère. A.A.
Bonjour A.A. Je vois que vous êtes très curieux de notre ménage à quatre qui vous paraît insolite. Il l'est en effet. Moi-même je n'aurais pas cru cette union possible entre femmes, les femmes ayant souvent la réputation d'être jalouses, querelleuses et de se détester entre elles. Entre nous ce n'est vraiment pas le cas, nous nous aimons beaucoup et nous nous le manifestons très souvent, par de l'attention, du respect et du sexe. Marianne a appris tout cela d'Ophélie, et nous le manifeste tous les jours. C'est un bel exemple. Merci pour vos bons vœux et de même je vous souhaite beaucoup de bonheur pour cette nouvelle année!
SupprimerJoséphine
Et bien, je me suis régalé à vous lire.
RépondreSupprimerTout d'abord, Joséphine. (je crois que tu as déjà écrit sur ce blog, il me semble).
C'est merveilleux qu'à ton âge, tu découvres cette vie hors du commun, il faut le dire.
Un peu comme une seconde vie qui est loin d'être banale.
Je pense qu'Ophélie et ses amantes, devaient savoir que tu les épiais par dessus le mur, et devaient en jouer, ainsi que Yann. Marianne pourra nous le dire. Tu ne dis pas, Joséphine, si tu t'es masturbée en les regardant. Ça serait en toute logique. Et ça sûrement éveillé en toi des désirs de lesbienne, déjà à cette époque.
Bravo à Marianne, Gaëlle et Honorine de t'avoir accueillie par la suite. Et je crois que le pas n'a pas été trop grand à faire pour rejoindre leur communauté. C'est super.
Et à soixante seize ans, tu prouves que le sexe existe toujours, et bien au delà. Et je suis sûr que tu dois être très désirable.
Gaëlle et Honorine, merci pour vos dessins 3D. Gemssa aussi. Je vois que les situations bdsm sont majoritaires. Je n'en pratique pas, mais il y a un petit côté excitant. De toute façon, dès que deux femmes (ou plus) se touchent, ça éveille tous mes sens.
Et bientôt dans les cimetières. Je sais que ça existe. J'ai vu la tombe de Victor Noir (désolé, c'est un homme) au Père Lachaise, et ne fut pas étonné de la réputation qui en découle (vous devez la connaître). Mon imagination a évoqué les images de ces femmes à califourchon dessus. J'ai même passé ma main sur ses "attributs" (la seule fois que j'ai fait ça à un "homme"), en pensant aux entrecuisses humides qui s'y sont mises.
Merci pour ce billet. J'aime vous lire.
Bises.
PS : Je ne pense pas, Joséphine, que "gousse" ait un rapport avec l'ail, puisque l'amour saphique ou autre, ne fait pas mal. Au contraire.
Oui, cette nouvelle vie est loin d'être banale et je l'aime beaucoup, mais il faut être en forme! Heureusement, je le suis et n'ai pas de problèmes de santé. C'est vrai, les filles savaient que Yann les épiait, mais moi, elles ne m'ont jamais surprise à le faire. J'étais plus discrète. Je le faisais quand Yann était chez ses copains, et c'est vrai que je me masturbais, mais après, quand je revenais à la maison. Ça éveillait en moi des désirs lesbiens que j'avais refoulés, mais qui revenaient quand j'étais seule et que je repensais à ces scènes. Une fois, j'avais sonné à leur porte, à cause d'un malaise de Yann, et Ophélie m'avait ouvert, complètement à poil.
SupprimerGaëlle et Honorine me font savoir qu'elles sont bien contentes que leurs dessins 3d te plaisent. Elles comptent en présenter d'autres.
Joséphine
Bises de nous quatre
Et j'aime bien la corbeille de "fruits" mise à disposition
Supprimerà cette jeune dame, dans la 49.
Et je pense que Honorine et Gaëlle peuvent facilement
imaginer la suite, dans cette cuisine, avec un accessoire important,
qu'est, en plus de cette corbeille, le tabouret, lui même déjà équipé.
Je ne veux pas parler pour Gaëlle et Honorine qui sont absentes ce matin, mais c'est vrai, elle sauraient quoi faire de cette "corbeille à fruits" bien remplies!
SupprimerJoséphine
Félicitation pour ce changement de vie radical à 76 ans, Joséphine. Peu auraient osé se lancer dans une telle aventure. Mais je suis persuadé que tu as eu raison. Tu es bien entourée !
RépondreSupprimerJe te souhaite donc une merveilleuse année 2022, pleine d'Amour, de tendresse et de plaisir.
Ainsi qu'à toutes tes amantes du presbytère.
Merci Phil. Je te souhaite aussi une belle année 2022.
Supprimer@ Phil. C'est Joséphine et pas Marianne. J'ai oublié de signer ma réponse à ton commentaire!
SupprimerJe m'en doutais. 😉
SupprimerChère Joséphine,
RépondreSupprimerC'est très sympa de te lire! Yann et toi regardiez donc par-dessus le mur : vous aviez bien raison, mais apparemment, entre vous deux, vous n'avez pas imité ou tu n'en parles pas. Yann ne se masturbait pas après ses explorations de la vie de la maison Trottinette? Toi, tu le faisais. A défaut d'échelle, je suis la voyeuse sur le blog, et il m'arrive de faire des liens entre ce que j'ai ressenti ou ressens et ce qui est décrit, le plus souvent par Marianne. En songeant au lien entre le plaisir et la douleur, j'ai évoqué certains souvenirs dans d'autres articles de ce blog. Tu vois : j'avais oublié qu'une douleur contrôlée comme un viol simulé peut provoquer un désir! Retrouver mes souvenirs sur ce point fut très jouissif. Un détail me vient à l'esprit : on parle bien de gousse d'ail! Sais-tu si " Fausta vaincue " traite d'une crucifixion de femme dans la jouissance? Ce thème aurait fasciné Ophélie. Je précise que la vraie crucifixion provoque une asphyxie mais je comprends l'idée d'adapter sans forcer dans la douleur. " Fausta vaincue " doit être un tome d'une oeuvre plus complète mais dans le contexte où je l'ai lu, j'ai songé à une femme jouissant dans une douleur à tonalité juste ( tonalité musicale ou colorée : j'aime associer sons et couleurs ). J'ai neuf ans de moins que toi. Je suis heureuse de te lire et t'embrasse. Elisabeth.
Chère Elisabeth,
SupprimerJe ne saurais te répondre au sujet de "Fausta vaincue", je n'ai pas lu ce livre. Tu l'as lu?
Pour répondre à tes autres questions, à savoir si Yann se masturbait en regardant par-dessus le mur. C'est oui, c'est d'ailleurs pour ça que les filles se sont aperçues de sa présence, il ne devait pas être très discret. Non, nous n'imitions pas souvent nos voisines entre nous. Je ne sais pas pourquoi, pourtant Yann avait encore de belles érections, mais il les gardait sans doute pour mater les voisines. Mais je dois reconnaître que je préférais me masturber en pensant à mes voisines, plutôt que de faire l'amour avec lui.
Je t'embrasse, Elisabeth,
Joséphine