Nos fantasmes presbytériens

 

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Ce que nous aimons particulièrement dans ces images 3d, c'est leur grande liberté. La nudité des femmes y apparaît comme la vraie culture de ces dernières. Il est clair que les femmes qu'on voit dans ces images ne viennent pas de se déshabiller, mais qu'elles vivent toujours nues pour se séduire, s'aimer ou jouer à se torturer. Ainsi, nous y retrouvons la représentation de tous nos fantasmes presbytériens. Et puis, chaque image raconte une histoire. Chaque image représente un moment de cette histoire, son présent. Nous assistons donc au présent de cette histoire, et il devient plaisant d'inventer son passé et son futur...

Gaëlle et moi, dans cette série, aimons beaucoup la n°29. Dans ce salon bourgeois, une petite bonne (ou une fille jouant le rôle de la servante), au centre de l'image, fait malencontreusement chavirer son plateau où reposaient une théière et deux tasses à thé, simplement parce qu'une blonde à chignon vient soudain lui lécher par derrière la chatte ou le troufignon. Cet événement inattendu semble surprendre la soubrette, surprendre quelque peu également la jolie brune à lunettes, assise dans un fauteuil, mais nullement la blonde aux cheveux courts, qui elle, fume, imperturbable, et porte une jarretière rouge à la cuisse droite, d'un rouge identique à celui des roses qui triomphent derrière elle. 

Dans cette maison, on est quatre femmes, on exhibe ses seins, on exhibe sa chatte, on exhibe son désir lesbien de lèche, on vit comme des lesbiennes, et on met sur les murs des tableaux représentant des lesbiennes nues...

Nous observons également que la peau des femmes est lisse et presqu'aussi brillante que les carreaux du sol qui reflètent la scène.

Chère Ophélie, toi qui nous lis, nous pensons à toi et te rassurons. Ces tasses et soucoupes à thé, à présent cassées, n'étaient pas des Mintons!

Gaëlle et Honorine

Commentaires

  1. La première illustration fait-elle vraiment partie de vos fantasmes ? Il s'agit d'un bordel pour femmes où les clientes paient pour "posséder" l'unique fille, sur le lit au premier plan. Alors plutôt cliente ou soumise ? Oui, j'imagine que vous aimez être les deux...

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    1. Heu...
      Oui... Elle fait partie de nos fantasmes! Pour la réalité du bordel pour femmes, c'est une autre affaire. Mais pour le fantasme, oui, on dit oui. Cliente et soumise. Les deux!
      Gaëlle & Honorine

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  2. Etre cliente est une expérience fort intéressante si j'en juge par la mienne : le client soumet le prostitué et prend le pouvoir sur lui! J'ajoute quelques questions : que sont Les Mitons? Fantasmez-vous sur Brigitte Macron ( cf illustration 31) ? Quelle jouissance ( voire orgasme ) éprouvez-vous en suçant un gode ceinture? ( Je n'ai jamais sucé un gode, me réservant pour le membre de Monsieur! Serais-je passée à côté d'une expérience orgastique? ).

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    1. Mintons (du nom de Thomas Minton, son fondateur, est une entreprise anglaise qui voit le jour à la fin du 18ème siècle, célèbre notamment pour sa fabrication de tasses et de soucoupes en porcelaine. Ophélie les adorait, les collectionnait et nous invitait à boire le thé dedans.
      Non, nous ne fantasmons pas sur Brigitte Macron? Pourquoi?
      Non, chère Elisabeth, nous n'avons pas d'orgasme à sucer un gode, tu n'es donc pas passée à côté d'une grande expérience orgastique! Nous avons peut-être exagéré quand nous avons intitulé ce post: "Nos fantasmes presbytériens"!

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    2. Je vous taquinais au sujet de Brigitte Macron parce que je trouve que l'illustration 31 lui ressemble. Mon inculture ignorait qui était Thomas Minton. Si vous n'avez pas d'orgasme en suçant un gode, quel autre émoi vibrant éprouvez-vous? Il vous faut comme Ophélie, jadis, compléter mon éducation sexuelle. J'embrasse les deux auteurs du texte, leur demandant d'offrir l'acte qui donne le plus grand plaisir aux presbytériennes qui n'ont pas écrit le texte ( texte et sexe : en cas de panne de rime, cela pourrait être utile ) et en vertu des lois des vies communautaires de notre chère higoumène peule, vous avez le droit à des récréations comme dans tous les couvents, et je crois qu'Ophélie vous suggérerait une partie de quatre ( clin d'oeil ). Elisabeth.

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    3. Brigitte Macron a été professeur, donc elle pourrait être celle du milieu, dans la 31, tu as raison, Elisabeth, elle pourrait lui ressembler!
      Quand nous suçons un gode, c'est souvent pour qu'il glisse mieux, si l'on doit pénétrer avec, ou encore pour s'approprier la mouille de celle qui vient d'être pénétrée! Nous aimons faire ça, c'est excitant!
      Nous t'embrassons aussi, Elisabeth, et ne manquerons pas de faire "une partie de quatre", comme tu dis, avec les deux qui n'ont pas écrit le texte!
      Honorine & Gaëlle

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    4. Merci pour votre réponse : j'aurais pu y songer .En effet, ce doit être très excitant. Je vous embrasse. Elisabeth.

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    5. Tu dois nous trouvé bizarres et obsédées?
      Gaëlle (Honorine est partie au centre équestre)

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    6. Non, chère Gaëlle, je ne vous trouve pas bizarres ou obsédées. Dans ce blog, vous dévoilez une part de votre intimité tandis que les autres cachent les thèmes de leurs fantasmes. Je vous trouve plutôt drôles, et j'aime votre côté très sincère. Je t'embrasse, Gaëlle.

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    7. Chère Gaëlle, c'est l'illustration 23 qui m'a fait penser à Brigitte Macron. Elle est seule, a des cheveux blancs ( oui, dans sa vie quotidienne, elle les teint ). J'ignore si elle cultive son gazon, quelle est sa couleur, s'il est moins abondant au fil des années ( c'est souvent le cas ). Tu sais que je lisais le blog d'Ophélie sur Overblog. J'ai beaucoup moins suivi son deuxième blog parce que je fus débordée de soucis éprouvants à cette époque. J'aimais beaucoup le blog d'Ophélie. Un jour, sans doute, peu après son arrivée dans la région de Quimper, elle a rédigé un article dont le titre était, en substance : " L'autre Ophélie ". Elle nous contait le train train quotidien de son emploi, et j'ai d'ailleurs laissé un commentaire de stupeur sur ce travail qui était tout à fait en-dessous de son niveau. Je crois réellement qu'elle avait un profil lui permettant d'obtenir un emploi de cadre. Elle avait fait des études de physique, avait une grande culture. Il y avait donc deux Ophélie, celle dont les articles furent jugés pornographiques par Overblog qui n'en comprenait pas la qualité, et celle qui s'occupait de dossiers dans une société immobilière. Ophélie avait démarré son blog par une présentation de sa nouvelle vie, car je suppose qu'elle a commencé à écrire peu après avoir quitté son mari. Elle évoquait ce qu'elle éprouvait en se regardant dans des miroirs comme si elle libérait une partie de sa personnalité et ce premier article avait touché beaucoup de lecteurs par son courage et sa franchise. Elle se cherchait tout en vivant diverses aventures, et tout en nous contant sous mode romanesque sa vie et ses fantasmes. Chère Gaëlle, nous avons tous des fantasmes, mais nous n'avons pas toujours l'audace d'en parler. Tu vois bien que je suis souvent sur votre blog : je m'y sens complice.

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    8. Chère Elisabeth, ta liberté d'esprit nous fait plaisir, tu es curieuse et ouverte d'esprit, et ça, nous l'apprécions beaucoup. C'est aussi comme cela que nous essayons d'être et de nous comporter avec les autres et en particulier avec Marianne et Joséphine. Ce que tu écris sur Ophélie ne nous surprend pas, elle était envoûtante et on ne pouvait que l'aimer. Elle aimait donner de l'amour, surtout aux petites mamies âgées. Nous savons qu'elle a travaillé dans un EHPAD en région parisienne, comme aide-soignante. Nous ne la connaissions pas encore à cette époque, Marianne non plus.
      Oui, l'image 23 pourrait davantage ressembler à Brigitte Macron que l'une des 3 filles de la 31. Nous voyons mal Brigitte, les nichons à l'air, avec une chaînette entre les deux tétons, mais pourquoi pas! Ça serait rigolo! Bises de nous deux!
      Honorine & Gaëlle

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  3. I love the last pic, no. 50. That could be the shed of a garden... what happened before this scene?What is going to happen later? I'm sure that Gaëlle et Honorine could imagine an exciting story about this picture.

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    1. Oui, cher ami inconnu, cette scène se passe sûrement dans un cabanon de jardin, lors d'une fête, à l'abri du regard des autres invités. C'est une fête d'anniversaire entre amis, et trois copines s'y sont retrouvées. Elles s'étaient perdues de vue au fil des années. Elles profitent que tout le monde danse pour aller s'enfermer toutes les trois dans ce cabanon, au fond du jardin. Vite, car le temps presse, elles s'y dénudent totalement et commencent à se faire l'amour. L'une offre son pussy à la langue d'une autre, tandis que la troisième a sorti de son sac à main un fort beau dildo pour l'introduire dans la chatte de celle qui lèche. Il faut faire vite, car les maris inquiets peuvent les rechercher!
      Gaëlle & Honorine

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  4. J'étais demandeur de continuer les articles sur ce blog, par vous quatre, puisque ceux d'Ophélie, hélas, sont arrivés à terme.
    Et bien, je ne suis pas déçu, et je vous remercie Gaëlle et Honorine pour ces descriptions imagées et littéraires de vos désirs et fantasmes.
    Mais je suppose aussi, que dans cette série, nombreux fantasmes ont été réalisés, vous sachant gourmandes dans la matière du sexe lesbien, et vous avez bien raison.
    Vos jeux sont beaucoup basés sur la soumission et le rôle de maîtresse. Rôle que vous interchangez, si j'ai bien tout compris.
    Une petite question, y-a-t-il un jour où vous restez tranquilles ?
    Je peux vous soumettre, à mon tour, une variante à vos jeux ? C'est de rassembler toutes vos images comme un jeu de cartes et d'en tirer une au hasard, et de vivre le scénario qui s'en rattache. C'est peut-être déjà fait.
    J'aime aussi la façon que vous décrivez et vivez une scène comme dans le commentaire ci-dessus, avec l'image 50.
    Bon baiser de Bretagne.
    Encore merci et bonne continuation dans vos belles écritures.

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    Réponses
    1. Merci Gem. Oui, nous aimons bien participer à la rédaction du blog de Marianne. Nous n'aimerions pas le faire tous les jours, parce que c'est trop contraignant, mais de temps en temps, c'est amusant.
      Tu nous demandes si on est sages parfois. En fait, pas souvent, c'est vrai. Comme on est presque toujours à poil au presbytère, la vue des autres nous excite, c'est bien normal. Ceci fait que nous sommes souvent excitées, même Joséphine qui n'est plus toute jeune. La cyprine coule beaucoup, mais on peut dire qu'elle n'est jamais perdue, nous la léchons.
      Non, nous n'avons jamais tiré au sort une image pour la vivre, mais on pourra le faire. Ça n'est pas bête! Merci, nous t'embrassons.
      Honorine & Gaëlle

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