Maîtresse
C'est un intérieur sombre, en bois ciré, comme on en faisait souvent au dix-neuvième siècle dans les grandes maisons bourgeoises. En ce lieu vivait avec sa mère une jeune femme rousse, très belle, entourée de ses deux servantes, également très belles. Celles-ci avaient de longues jambes et des gros nichons. Bien sûr, elles faisaient leur devoir de servantes consciencieusement et assuraient loyalement leur service en obéissant à tous les caprices de leur maîtresse.
Aujourd'hui, la maîtresse - appelons-la Marianne - exige que ses deux servantes effectuent leur service en jupette et sans culotte. Pour l'occasion, Marianne, a mis un corset seins nus. Ses seins sont volumineux à souhait et bien dressés et, comme on peut le constater sur l'image, elle aime particulièrement les exhiber à ses servantes qui en ont pourtant de semblables.
Il est dix-sept heures dix-sept et Marianne s'énerve de constater que sa mère Joséphine ne soit pas encore revenue de son shopping journalier pour se joindre à elles. Tant pis, pense-t-elle, nous commencerons sans Maman. Marianne exige qu'Honorine, l'une de ses servantes, avec sa badine de cavalière, titille le clitoris de Gaëlle, son autre servante. Pendant qu'elle regarde jouir Gaëlle, Madame titille aussi son clitoris à elle, en entrouvrant sa petite culotte avec ses doigts.
Au bout de cinq minutes, Madame retire sa petite culotte et ordonne à Gaëlle de s'agenouiller et de lécher la moule d'Honorine, ce que Gaëlle fait sur-le-champ. Madame qui est maintenant plus à l'aise pour se branler regarde le divin spectacle de ses deux servantes. La cyprine coule, chez elle et chez Honorine, et peut-être aussi chez Gaëlle...
Marianne
Vous commencez à écrire votre histoire dans ce presbytère,
RépondreSupprimeren commentant une image qui vous ressemble, il y a des chance,
et qui n'est pas éloignée de votre vérité.
Les servantes, Gaëlle et Honorine sont bien obéissantes à Madame Marianne.
Je n'avais pas pensé, qu'en plus, Honorine pouvait employer ses accessoires de cavalière
pour vos petits jeux (cravache, toque, bottes, etc...)
J'adore ton texte, Marianne et cette photo, qui imagent bien votre Univers.
Bonne cyprine à vous quatre.
Merci, Gil, pour la cyprine. Oui, ce texte est une manière de décrire notre réalité, avec néanmoins quelques déformations: Gaëlle et Honorine ne sont pas mes servantes, mais dans nos jeux, elles aiment bien jouer les rôles de soumises. Effectivement, il arrive qu'Honorine se serve de ses accessoires d'équitation, mais elle se sert plutôt d'une badine que de sa cravache de cavalière.
SupprimerTon texte illustré est plaisant à lire.
RépondreSupprimerJe rejoins Gil en pensant que cette scène n'est pas un fantasme, mais plutôt une scène proche de ta réalité clitoridienne, heu... quotidienne.
L'accessoire d'Honorine me rappelle un article sur les cavalières qui avaient du plaisir et des orgasmes en montant leur cheval. Peut-être est-ce le cas de ta "servante"...
Bien sûr, Phil, ce n'est pas qu'un fantasme, car nous avons souvent l'occasion de faire ce genre de mise en scène dans notre réalité clitoridienne (j'aime cette expression!).
SupprimerEn ce qui concerne l'orgasme des cavalières, Honorine me dit que c'est un peu une légende. Quand on est dans de bonnes dispositions érotiques, c'est vrai que les secousses du bas-ventre et de l'entrejambes, provoquées par le cheval, stimulent et renforcent ces dispositions, mais elle ne sont pas suffisantes à elles seules, surtout si on pense à autre chose, comme c'est généralement le cas quand on fait de l'équitation. Honorine me dit de te dire que de se faire branler par l'une d'entre nous est mille fois plus efficace!
Je le crois sans peine !
SupprimerMarianne, ton texte fait penser au roman d'Ophélie où elle jouait les domestiques un peu inhibées! Je retrouve le corset ( nos fantasmes se rejoignent parfois ) et j'imagine qu'il doit être amusant de monter des jeux de théâtre. Oui, sur un cheval, il se passe autre chose, d'autant plus que la pression des jambes est très importante! Le cheval évalue sa cavalière et il y a un jeu de maîtrise pour éviter d'être jetée à terre...
RépondreSupprimerOui, je pense que tu fais allusion à son roman "Entre chiennes et louves". Tu as raison, le personnage principal (la boniche) est un peu elle-même, mais elle est aussi certainement la comtesse! Ce sont de jeux de rôles que nous aimons bien! Je rejoins ce que tu écris concernant le cheval et sa cavalière.
SupprimerBeautiful story and I guess that it's not fiction, but a report of something that really happened!
SupprimerYes, it's not quite a fiction!
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