Le rapt de la fée

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La bergère
Son amante
L'emmena
Là où se dressaient des godes impénitents
Nichés au cœur d'une clameur
De voluptés insondables et infécondes

Bâtons épouvantables
Venez
Allez et venez plus fort
Plus fort
Triques de merde vénérables
Limez pour la fée aux fesses impeccables et cascadables
Et fouillez sans fin le ventre de l'aimée adorable

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Ceci est le quarante-septième et dernier post préparé par Ophélie, avant son accident mortel qui, aujourd'hui, nous prive si cruellement d'elle, de sa joie, de sa beauté, de son inventivité, de son espièglerie et de son sens distingué de l'érotisme. Il n'y en aura plus d'autres. Ce dernier post est une magnifique explosion, un bouquet final, comme cette dernière image n°54 qu'elle a mise là, sans se douter qu'elle clôturerait ses illustrations. 

Restent quelques poèmes solitaires, sans images associées, que je publierai plus tard, en les illustrant, bien sûr.

Ce quarante-septième post est comme on peut le constater un hymne aux godemichés et à tous les accessoires bienvenus pour qu'une femme fasse jouir une autre femme par toutes sortes de moyens.

Marianne 

Commentaires

  1. Le dernier texte d'Ophélie est un véritable feu d'artifice dédié aux godemichés.
    ("Et fouillez sans fin le ventre de l'aimée adorable", j'adore.)
    Que de belles et impressionnantes panoplies de ces joujou x,
    entrecoupées de jolies embrassades saphiques.
    De jolis dessins aussi , comme la 15 à l'ancienne,
    et la 46. J'aime la main qui glisse sous le tissu, profitant d'un baiser.
    Mais tes mots, Marianne, nous rappellent cette triste vérité.
    Tu sauras imager les autres textes.
    Et j'espère que le blog ne s'arrêtera pas là.
    Vous quatre, je l'espère, écrirez d'autres aventures, à la suite d'Ophélie,
    qui je suis sûr, d'où elle est, est fière de vous,
    et continue de se lire et de vous lire, de vous voir aussi, dans ce presbytère.
    Bon W-E , mes belles, je vous embrasse.

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    1. Merci Gil. J'espère aussi que ce blog ne s'arrêtera pas là, comme ça, en raison de ma mort. Mais qui pouvait prédire la mort d'Ophélie? Elle n'était quand même pas dans l'ordre de choses... Mais les choses ont-elles un ordre?

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  2. Une fin dans l'agodéose !
    Ophélie peut être contente que tu aies publié les œuvres qu'elle avait préparées.
    En tout cas, le presbytère est très bien équipé !
    Bise et bon weekend.

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    Réponses
    1. Je suppose, Phil, que "agodéose" est construit sur le modèle d'apothéose! C'est un néologisme que je trouve très bien. Bravo, et merci!

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  3. L'illustration 20 me donne l'idée d'un vagin en feu mais j'ignore si Ophélie avait cette idée. L'hymne aux godemichés est très joyeuse mais aussi très organisée, sur des tables évoquant des dispensaires. Ophélie avait tout compris sur le meilleur des remèdes.

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    Réponses
    1. Tu as raison pour l'illustration 20, je n'y avais pas pensé.
      Si c'est, comme tu le dis, le godemiché est le meilleur des remèdes, Ophélie a ici mis la dose!

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    2. Ophélie savait qu'il n'y avait pas de risque d'overdose, Marianne!!!

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