Sainte Barbe

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L'autre jour, en allant rendre visite à ma voisine Joséphine, celle-ci me dit, au beau milieu de la conversation: Quoi! Ophélie, vous êtes née en Bretagne, de parents bretons, et vous ne connaissez pas le Faouët!


Et bien, non, je ne connais pas la ville du Faouët, Joséphine! J'ai entendu parler de Marion du Faouët, cette fameuse rebelle et voleuse de grand chemin qui, à la tête d'une troupe de quarante bonshommes, détroussait les riches et fut pendue sur la place Saint Corentin, à Quimper! A part elle, je ne connais rien du Faouët! Ce n'est pas de ma faute, Joséphine, je n'ai pas grandi en Bretagne, j'ai passé mon enfance à la Réunion, mon adolescence à Bordeaux, ma vie de femme mature à Alençon et à Paris... Je suis presque une moco, Joséphine!


C'est dommage, me répondit Joséphine en dénoyautant ses mirabelles pour en faire des confitures, parce qu'au Faouët, il y a de superbes halles du XVIème siècle, mais aussi la chapelle Saint Fiacre, et surtout l'incroyable chapelle Sainte Barbe. Et voilà Joséphine qui m'explique tout ça en long en large et en détail (c'est une institutrice à la retraite!). Concernant la chapelle Sainte Barbe, elle me dit qu'elle a été construite par Jean de Toulbodou qui, coincé sous des rochers, au cours d'une chasse, lors d'un furieux orage, et voyant sa dernière heure arriver, implora Sainte Barbe, et promit, s'il échappait à la foudre, d'édifier sur ce lieu-même, à flanc de falaise, en surplomb de la rivière Ellé, une chapelle dédiée à la Sainte. Miraculeusement épargné, le lendemain, Toulbodou achète le terrain au baron du Faouët, Jehan de Bouteville, et fait entreprendre la construction de ladite chapelle à partir du 6 juillet 1489.


Joséphine me demande si je connais Sainte Barbe. Bien sûr, je la connais un peu, c'est une martyre enfermée dans une tour par son père! Mais Joséphine est intarissable sur le sujet. Elle m'explique que cette belle jeune fille vécut au milieu du IIIème siècle à Héliopolis, et que son père, Dioscore, riche édile païen, voulant protéger la virginité de sa fille et n'acceptant pas sa passion naissante pour le Christianisme, l'enferma dans une tour à deux fenêtres. Mais un prêtre chrétien, déguisé en médecin, s’introduisit dans la tour, l'initia aux Évangiles et la baptisa. Pendant un voyage de son père, Barbe fit même percer (ou perça de ses propres mains) une troisième fenêtre dans la tour pour représenter la Sainte Trinité, ce qui, au retour du père, rendit furieux ce dernier, au point qu'il mit le feu à la tour. Barbe réussit à s'enfuir, mais fut rattrapée et traînée devant le gouverneur romain. Comme elle refusait d'abjurer sa foi, le gouverneur ordonna qu'on la torturât. On lui brûla certaines parties du corps, et en particulier, on lui arracha les seins, mais Barbe refusait toujours d'abjurer. En conséquence, le gouverneur, pour en finir, ordonna au père de trancher lui-même la tête de sa fille, ce que ce connard de Dioscore accepta de faire sur-le-champ, sans états d'âme. Mais aussitôt (il y a une justice) il fut séant frappé par la foudre qui le réduisit en cendres. Quand des Chrétiens qui passaient par là vinrent demander le corps de la jeune martyre, ils ne purent en parler autrement que comme "la jeune femme barbare" (de Barbaros, l'étrangère, en grec). Mais déjà, à l'époque, de fort mauvaises langues disaient qu'en fait, on l'appelait ainsi parce qu'elle ne se rasait pas. Ce qui est sûr, c'est que Sainte Barbara ou Sainte Barbe est invoquée contre les éclairs et la foudre et qu'ainsi elle devint la patronne des armuriers, des artilleurs, des mineurs, des pompiers, des carillonneurs et de tous ceux qui, dans leur vie ou activité professionnelle, courent le risque d'une mort subite.


Voilà, me dit Joséphine, à présent vous savez tout sur le Faouët et sur Sainte Barbe. Et bien, lui répondis-je, j'irai un de ces jours, c'est promis. C'est la raison pour laquelle, ce dernier week-end, avec Sandrine, je suis allée visiter Le Faouët. Pourquoi Sandrine? Simplement parce qu'elle m'a relancée. Et puis j'y ai vu un signe. Je l'ai rencontrée au barbecue de Marceline, au début du mois d'août. Barbecue... Sainte Barbe... Je me suis dit... C'est pourquoi je n'ai pas dit non. En plus, c'est une jolie brune de 35 ans, très fleur bleue, pas rasée (pourtant elle se destine au dur métier d'avocate, elle est avocate stagiaire), avec de beaux yeux gris, de beaux seins bien galbés et une jolie voix très douce. Et puis, elle est douce comme Marianne. Je lui ai donc dit que je voulais bien passer le week-end avec elle, mais à la condition que nous allions visiter la chapelle Sainte Barbe au Faouët, puisque je l'avais rencontrée à un barbecue, mais je la prévenais: c'était une autre, à savoir Marianne que j'aimais. Elle me dit que cela lui était égal. J'ai donc prévenu Marianne qui m'a répondu que j'étais une grande fille et que je pouvais jouir de mon temps comme il me plaisait. En revanche, Rose, en apprenant ma sortie, m'a fait la gueule toute une soirée. Finalement, elle m'a mise au coin avant de m'attacher d'une drôle de manière que je ne saurais décrire (très inconfortable) sur le carrelage de la salle de séjour, avec un godemiché dans l’anus.


Au Faouët, avec Sandrine, nous avons donc dormi à l'hôtel de La Croix d'Or, hôtel confortable sans particularité, avec ascenseur, hôtel remis aux normes récemment, mais bien situé, juste en face des halles que nous apercevions de nos deux fenêtres. A l'accueil, il y avait une jolie trentenaire, présentant la particularité d'avoir de beaux yeux et un grand décolleté plongeant. On était scotchées, Sandrine et moi. Quand la fille s'est levée pour nous remettre la clé, O Calcutta! Après, on ne l'a plus revue. Bref, le samedi après-midi, après avoir retenu notre chambre dans cet hôtel, nous sommes allées visiter les fameuses halles et les rues avoisinantes, puis la chapelle Saint-Fiacre, située à plusieurs kilomètres, et le dimanche, de bon matin, nous nous sommes rendues à Sainte Barbe, également située à plusieurs kilomètres du centre du Faouët.


Joséphine avait raison. La chapelle Sainte Barbe, dans son environnement végétal, est une pure merveille. Tout d'abord, quand on arrive, on est sur un plateau aride, on ne voit rien qu'une charmante maison du XVIème, la maison dite de garde, devenue taverne, puis on descend dans le val. On a le choix entre deux grands escaliers éloignés l'un de l'autre. L'un, près de la maison, de style Renaissance, mais datant de 1700, est l'escalier principal. Il est majestueux. L'autre, à l'arrière de la chapelle, est plus simple. Du haut de l'escalier principal, c'est l'apothéose. Au dessus de cet escalier, on découvre la cloche des pèlerins, puis l'oratoire Saint Michel, à l'extrémité d'un grand arc en pierres, et dans le bas de ce même escalier, un ossuaire. La chapelle n'est constituée, en raison de l'étroitesse du lieu et des contraintes topographiques, que d'une seule travée et d'une abside, et n'est pas orientée dans l'axe traditionnel ouest/est, mais dans un axe sud-est/nord-ouest avec une entrée principale au sud-ouest. Elle possède de gros contreforts surmontés de pinacles ornés de jolies gargouilles. Elle est magnifique et étonnante. Tellement nous étions subjuguées par la beauté et la magie du lieu, que nous n'avons même pas pensé à nous caresser ou à nous prodiguer des petits bisous. En revanche, j'ai pris plein de photos dont j'ai fait un petit album. C'est seulement, au bout d'un quart d'heure que nous nous sommes assises dans les marches de l'escalier Renaissance et que nous avons commencé à nous bécoter.


Et c'est juste à ce moment-là que la gardienne, une jeune femme brune, de petite taille, à l'allure garçonnière, est soudain arrivée, derrière notre dos. Elle a fort bien vu ce que nous étions en train de faire et nous a simplement dit qu'elle allait nous ouvrir la porte de la chapelle pour que nous découvrions son intérieur. Nous l'avons suivie. Voûte en pierre, en croisée d'ogives, assez étonnante puisque, à cette époque, les chapelles sont généralement coiffées d'une charpente en bois. Vitraux évoquant la vie et la mort de Sainte Barbe, notamment la mort de son père, frappé par la foudre. Également Transfiguration, Ascension et Pentecôte. Très discrète, la gardienne nous a dit qu'elle nous laissait et a remonté l'escalier. Comme il n'y avait personne dans la chapelle que Sainte Barbe et nous-mêmes, nous en avons profité pour reprendre nos baisers, agrémentés de caresses aux seins et de mains dans la petite culotte. Hélas, nous avons encore dû cesser. Un couple de retraités est arrivé. Tous les nichons ont donc été remis à leur place et nous avons poliment salué le monsieur et la dame, sommes sorties et avons pris la direction de la fontaine, plus bas dans la vallée.


Il a fallu marcher assez longtemps dans un petit sentier à même la forêt, sauter sur de gros granits, en prenant bien soin de ne pas tomber. Nous ne pouvions marcher de front en nous tenant par la main, il n'y avait pas de place pour deux. C'était parfois glissant. J'ai encore pris des photos. Nous sommes arrivées dans une sorte de petite clairière où nous avons découvert, frêle comme un champignon, la charmante petite fontaine moussue. En chemin, malgré la difficulté de la descente, Sandrine n'arrêtait pas de me dire qu'elle m'aimait, que je la fascinais, que j'incarnais la femme telle qu'elle la rêvait, à la fois nymphe, salope, reine, divinité et tendre maman…


Émue par tant de passion, je m'assis sur les marches latérales de la fontaine, mais la belle m'imita en continuant de me déclarer sa flamme. Elle finit par me dire qu'elle s'en moquait si je ne l'aimais pas, qu'elle avait seulement besoin de me dire son amour et de me faire l'amour. Alors, elle dézippa mon jean, et me coucha à même le sol rocailleux et humide, m'imposant sans tendresse sa bouche et sa langue. Je me laissai faire, mais, néanmoins, lui fis remarquer qu'il fallait être prudentes, que les retraités allaient peut-être descendre à la fontaine eux aussi. Nous jetâmes donc un coup d'œil vers le chemin, il n'y avait personne. J'ai envie de toi, me dit-elle, je suis dingue de toi, Ophélie, j'ai envie de te faire un cunni, ici, devant cette jolie fontaine!


Je l'aidai aussitôt à descendre mon jean et mon string, et elle se mit en position. Je donnai ma chatte à sa langue. Elle me creusa, me fortifia. Sa langue était aussi râpeuse que celle de Minette.


Ô mon dieu, Sainte Barbe, patronne des barbecuistes, des pompiers et des artilleurs, que cette langue d'incendie était bonne et douce! Pourtant, malgré tant de félicités, j'ai voulu qu'elle arrête. Viens, lui dis-je, ici nous ne serons pas tranquilles, tôt ou tard des visiteurs viendront, allons plus bas, vers la rivière!


Nous reprîmes notre marche à travers champs, et parvînmes à la rivière Ellé, ivres comme de jeunes biches attentives. Nous errâmes sur sa rive jolie et ensoleillée. Un petit nid de feuillage se présenta. Nous savions qu'il serait à nous durant tout le restant de la journée. L'herbe était tendre et l'endroit secret. Nous nous couchâmes dans ce lit d'herbe et je pris plaisir à la regarder faire l'amour à mes seins sous mon sweet. Elle finit par le retirer tout en douceur, elle me déshabilla complètement. Je la déshabillai à mon tour. Pour commencer, nous honorâmes cet endroit magique par un très beau soixante-neuf (seulement réalisé au doigt et à la langue).


Plus tard, en fin d'après-midi, les cieux s'enboucanèrent et l'on entendit le tonnerre. Mais, sans doute protégées par la Sainte, il passa au loin. Nous étions bien toutes les deux dans ce petit nid douillet, à l'abri du regard des touristes. J'étais bien avec cette Sandrine que je connaissais à peine, mais je pensais surtout à Marianne que j'aimais plus que tout, et aussi à Rose qui, probablement, me redonnerait une fessée dès mon retour, pour avoir été rebelle. Je pensais aussi à Barbe, la sainte barbare et barbue, décapitée injustement, ainsi qu'à l'horreur de son supplice, et aussi à Marion du Faouët, pendue haut et court sur la place Saint Corentin. Je ne sais pourquoi, dans ma tête je mélangeais toutes ces femmes qui avaient toutes le visage de Sandrine.


Ophélie Conan
Extrait de "Conan la barbare I"
Réédité dans "Excentrique"

J'ai choisi de revenir sur les amours éphémères d'Ophélie et de Sandrine en rééditant l'article "Sainte Barbe" d'Ophélie. Le court séjour d'Ophélie et de Sandrine au Faouët fut pour cette dernière une belle expérience de sexe et de douceurs, comme j'en connus aussi beaucoup d'autres avec Ophélie.

J'ai choisi d'illustrer ce moment de bonheur et de plaisir par des tableaux de Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780-1867), peintre français romantique et néo-classique bien connu, inventeur d'un canon particulier de beauté féminine qui fit scandale à son époque. Pour la petite histoire, Ingres était aussi second violon à l'orchestre du Capitole de Toulouse, ce qui explique l'expression "violon d'Ingres". Comme d'habitude, les tableaux du peintre sont mélangés avec d'autres illustrations à caractère plus érotique. Vous retrouverez ces bijoux en n°2, 3, 5, 5, 7, 11, 12, 13, 14, 16, 18, 19, 21, 23, 27, 28, 30, 32, 34, 37.

Marianne







Commentaires

  1. Plus que Sainte-Barbe, ce sont surtout les seins d'Ophélie qui furent honorés ce jour-là.
    Tu as illustré son texte de fort belle manière, Marianne.
    Je donnerais bien un coup de main (ou de langue) à la fille du gif 10.
    La photo 36 est superbe.
    Quant aux gifs 25 et 35, ils sont très érotiques, pour ne pas dire bandants...
    Bonne nuit.

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    1. Tu as raison, les offrandes, ce jour-là, ont été surtout pour les seins d'Ophélie qui les méritaient aussi bien que la Sainte! J'aime aussi mes choix de photos ainsi que le contrepoint avec les femmes d'Ingres! Merci.
      Bise.

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  2. Sandrine seems to be "une femme charmante". Have you ever met her? Maybe you could invite her to the Presbytère...

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    1. Yes, I met Sandrine many times in Brittany where she still lives. We will invite her to the presbytery at easter or this summer.

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  3. Wouah! Quel Beau texte, enfin la partie Sandrine-Ophélie en balade et en Amour. Le "reste est très instructif !!! Un Grand merci Marianne, j'ignorais tout de l'histoire du site et beaucoup de ce que Joséphine nous apprend de la Sainte. D'autant que ! :
    Je ne suis pas Breton non plus et je suis pourtant allé sur ce site, j'y suis allé d'instinct, de mon instinct et avec une fille de la région qui découvrait également. Et j'ai fait quelques photos de ce lieu désert ce jour là, sinon surveillé par une bien étrange gardienne (était-ce la même...?): https://photos.app.goo.gl/Y7enDExcZKBEfgmaA

    Nous nous y sommes rendus après la visite du Musée Gauguin à Pont Aven et la chapelle à voir également là-bas: La Chapelle de Trémalo. Nous avons alors dans cette solitude absolue de cette chapelle fait Joies de nos désirs et quelques sublimes photos de la poitrine Merveilleuse de ma mie dans ces Arches Minérales s'il en est et envoutantes (sic) situées juste en face de la porte d'entrée de la Chapelle... Précisément là: https://photos.app.goo.gl/H7LRkD2fFWcAK41NA . Images qui font penser à la première photo de ce billet..., pointes dardées en avant entre les piliers d'une des arches du monument!

    En repartant et sur le plateau nous avons rencontré un villageois qui nous a raconté de sa mémoire d'enfant les grandes fêtes annuelles, "Fêtes du Pardon" (Ha les Kons!)qui réunissaient là des milliers de personnes chaque année...

    Pour Ingres, si vous passez dans le Sud et le Sud-Ouest, prenez le Temps de visiter le "MIB - Musée Ingres-Bourdelle", Bourdelle étant un sculpteur également natif de Montauban. Un beau Musée construit sur les vestiges d'un Palais Épiscopal de toute beauté au dessus du Tarn et qui a aussi été la demeure de Prince Noir, un autre Barbare dans son genre, mais un sale type qui n'avait rien de féminin comme sensibilité! Une sorte de Poutine à la sauce anglaise !

    À l'intérieur de la chapelle on peut voir de magnifiques ex-votos de marins comme je n'en n'avais vu qu'à Notre-Dame de La Garde à Marseille à savoir des bateaux suspendus à la mémoire des travailleurs de la mer disparus..

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    1. Merci pour ces photos. Je retrouve bien ce lieu étonnant qu'Ophélie m'a fait découvrir par la suite. A ce que je vois, en te lisant, cet endroit est souvent désert, et particulièrement propice aux jeux érotiques...
      Oui, si nous passons un jour par Montauban, nous ne manquerons pas la visite du MIB.

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  4. Décidément Sandrine, hante toutes les têtes.
    Et pour notre bonheur, puisqu'elle fait remonter
    de bien beaux passages dans la vie d'Ophélie,
    même si son amour le plus grand était toi, Marianne.
    Je ne connais pas Le Faouët. Bien sûr, en est entendu parler,
    puisque je n'y habite pas loin.
    Mais, en relisant ce texte (j'adore), je crois que je vais m'y arrêter la prochaine fois.
    En suivant les traces d'Ophélie...peut-être que sur quelques pierres de la fontaine
    je pourrais m'imaginer leurs jouissances qu'elles y ont déposées.
    Joséphine en sait des choses sur ces légendes.
    Et dire, qu'Ophélie et elle n'ont jamais fait l'amour.
    Elle doit être bien surprise, Ophélie, de là haut,
    de voir la tournure des choses, actuellement.
    Question images, allez, j'en choisis trois (je les aime toutes) :
    La 1, si on toque à ma porte avec cette belle arrogance, j'ouvre tout de suite.
    La 35, pour l'admiration de l'amante face à la jouissance de son amie.
    La 43, (érection, langue, sensualité) parce que gemssa.
    St Barbe a mis le feu.

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    1. Oui, c'est vrai, Joséphine et Ophélie n'ont jamais fait l'amour... Ophélie en parlait parfois, et je crois bien que cela avait été évoqué entre elles deux, mais Joséphine n'avait pas donné suite? Et puis, Joséphine avait encore son mari! De son petit nuage, si Ophélie nous voit, elle doit être contente et fière!
      Tes choix pourraient être les miens, mais j'ai un faible pour la 9 qui me rappelle beaucoup de bons moments.
      Bise.

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    2. La N° 9, bien sûr, qui doit te remémorer bien de jolies choses,
      en pleine nature, entre vous deux. (Ophélie et toi).
      De nombreux textes en font référence à ces sorties osées.
      Mais, les illustrations, je les aime toutes.






























































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    3. C'est vrai, mais nous continuons à quatre, quand le temps le permet!

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    4. Je ne sais pas qu'est ce que c'est ce grand espace blanc.
      Je n'ai pas mis de carré blanc, devenu rectangle blanc par la suite,
      à l'époque des films de Brigitte Bardot et autres.
      Je ne mets aucun interdit, surtout à tes posts dont j'en savoure le contenu.
      J'ai dû faire encore une mauvaise manipe.
      Pardon pour cette maladresse.

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    5. Ce n'est pas grave, tu as dû t'endormir sur la barre d'espace!

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    6. Ou mettre quelque chose de particulièrement éveillée dessus,
      en regardant les illustrations...ok, je sors.

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  5. J'ai tellement envie de dire mais malheureusement je ne peux pas car la connaissance de la langue ne m'aide pas. C'est une histoire dans le temps. L'histoire tragique de Sainte Barbe. Il est également vénéré dans l'orthodoxie avec une grande grâce. Je me tiens à l'égard de cette histoire.

    Les descriptions des moments des femmes sont merveilleuses, agréables. Sex plein de plaisir. Les images 10-17-25-31 me réveillent.
    Bon week-end Marianne.

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    Réponses
    1. Oui, assurément, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Je n'ai pas compris quand tu écris: "Je me tiens à l'égard de cette histoire"? Est-ce "à l'égard" ou "à l'écart"?
      Bravo si les images 10-17-25-31 te réveillent! Moi, elle m'échauffent!
      Bon dimanche, Giannis.

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    2. Je tiens à dire que je respecte particulièrement l'histoire de Sainte Barbe.

      J'adore la pénétration sur la photo 31. Le plaisir que ressent la femme sur la photo 25 est unique. Surtout l'image 10 me procure une intensité de plaisir. Un orgasm encroyable.
      Bon dimanche avec beaucoup de salutations Marianne.

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    3. Oui, la pénétration de La photo 31 est très belle et très simple. Peu m'importe la place occupée, j'aime, pourvu que ce soit entre femmes!

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    4. Je ne sais pas si cela vous a choqué de le voir parmi les hommes. Je le demande comme ton avis, comme ton imagination, Marianne.

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    5. Merci beaucoup pour ta réponse Marianne

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