Les travaux d'Olivier

 

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A partir des dessins ci-dessus, nous avons identifié les types de meubles souvent utilisés pour bien punir les soumises. Il y a évidemment des incontournables: le tabouret, le fauteuil, le banc, la table, le portique, la croix de Saint-André, la roue, le cheval d'arçon, le pilori... En nous inspirant de ces dessins, nous avons fait ou nous ferons un plan pour chacun des meubles que nous désirons. Marianne et Joséphine nous donnent leur avis et apportent d'éventuels correctifs. Olivier a commencé la table.

Le tabouret en bois est évidemment très utile et facile à trouver en brocante. Nous ne le commanderons pas à Olivier. Il permet d'asseoir la soumise, tout en l'attachant avec des anneaux déjà scellés dans le sol, comme dans l'image n°37. Ou bien, comme en 28 et 29, le tabouret permet de hisser la soumise au-dessus du sol, ce qui facilite utilement l'accès à sa chatte ou a ses fesses. En plus, il est souvent demandé à celle-ci de tenir en équilibre sur ce tabouret, ce qui n'est pas toujours facile quand on a un bandeau sur les yeux.

Le fauteuil, comme dans l'exemple 35, permet aussi d'asseoir la soumise et de l'immobiliser avec des anneaux fixés sur la structure du siège. Nous retiendrons certainement ce modèle, car il permet bien à celle-ci de passer ses jambes sur les côtés et d'offrir une vulve largement ouverte à la maîtresse, ce qui permet à cette dernière, on s'en doute, toutes sortes de fantaisies. Le modèle n°2 est trop futuriste à notre goût et ne pourra être réalisé en bois. Quant au modèle 14, il pourrait se décliner en bois, mais nous verrons cela plus tard.

Le banc est aussi un meuble essentiel. Comme on le voit dans les images 1, 15, 23, 30, 34, 36, il permet d'allonger la soumise sur le dos. Munie d'un gode-bouche, cette dernière peut ainsi aisément pénétrer sa maîtresse ou tout autre drôlesse qui califourchonne au-dessus d'elle.

Impossible, on s'en doute, de se passer de tables. Il en faudrait des grandes, des moins grandes, des hautes, des basses. Les images 8, 10, 19 et 20 nous convainquent évidemment de leur absolue nécessité. La table est un grand symbole de réunion et d'échanges dans notre civilisation. Nous y partageons les nourritures matérielles, intellectuelles et spirituelles. Aux fonctions sociale et alimentaire de la table, il faut ajouter sa fonction érotique, notamment dans sa version rectangulaire, la table ronde rappelant trop la légende arthurienne.

Egalement nécessaires sont les portiques. Là aussi, l'idéal serait de pouvoir disposer de plusieurs types comme dans les images 7, 10, 17, 24, 32 et 33. En fonction du degré de mobilité de leur structure, les portiques permettent aux maîtresses des actions extrêmement variées, par devant et par derrière la soumise (du fouet, de la plume, du martinet, de l'engodage).

Les croix de Saint-André que l'on peut voir en 3, 6 et 26 sont évidemment très symboliques de la crucifixion de Saint André, un Juif de Galilée, frangin de Saint-Pierre, et premier des apôtres à reconnaître le Christ, mais peuvent être avantageusement remplacées par la table (immobilisation horizontale) ou par les anneaux scellés au mur (immobilisation verticale).

Plutôt qu'à la roue (n°18 et 25), notre préférence va au tabouret arqué, qui permet de fixer la soumise en arc de cercle, sur le dos ou sur le ventre.

Nous aimons bien aussi le cheval d'arçon dont on trouvera des exemples en n°4, 5, 22 et 31, avec présence d'un gode pour des pénétrations profondes, ou sans cette présence pour donner seulement des fessées.

Ce catalogue ne serait pas complet sans le pilori (image n°12), mobilier incontournable qui permet à la maîtresse d'immobiliser sa soumise pour mieux la fesser ou la prendre en levrette.

Restent les mobiliers 9, 11, 13, 21 et 27 dont les usages sont particulièrement spécifiques. Néanmoins nous aimerions dessiner pour Olivier une reprise du concept du n°13, à faire en bois, qui nous paraît particulièrement prometteuse.

Honorine & Gaëlle