Vulva

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La vulve est belle
Vive la vulve
Une vulve trop tranquille est une mer morte
Une femme en vie est un labyrinthe d'envies
Et sa vulve en est l'entrée
Décidément la lune en tête
J'ai besoin de ton fil
Marianne

Ophélie Conan

Poème inédit.




Commentaires

  1. Filimages2 septembre 2020 à 21:46

    Voilà un poème sans rime mais qui promet de prendre un grand pied...

    RépondreSupprimer
  2. Anonyme19 septembre 2020 à 07:44

    Ni raison ? dis-tu Marianne...
    Au contraire, tu étais toute sa raison de vivre à Ophélie.
    Tu étais sa ligne directrice.
    Je trouve que ce poème est magnifique.
    Il t'est dédié pour décrire son amour fou de toi.
    Et sans toi, sa vulve était une mer morte,
    comme elle dit.
    Très beau.

    RépondreSupprimer
  3. Marianne Lebey23 septembre 2020 à 15:29

    Tu as raison. Mais je ne suis sûre que j'étais sa seule raison de vivre!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Anonyme24 septembre 2020 à 07:20

      D'après ce que j'ai lu de tout temps,
      tu étais la principale,
      celle qu'on ne quitte jamais,
      celle vers qui elle revenait inlassablement,
      malgré ses écarts vers d'autres.
      Même si Honorine la faisait chavirer à la fin,
      tu serais restée sa muse.
      Ca se sentait, mais, qui sait mieux que vous toutes,
      tout ces ressentis.
      Certainement pas moi, mais c'est juste mon avis,
      à travers ses écrits.

      Supprimer
    2. Marianne Lebey24 septembre 2020 à 21:44

      Oui, elle était assurément très amoureuse de moi, mais elle serait aussi sans doute devenue autant amoureuse d'Honorine qui est jeune et vraiment très belle. Ophélie avait une capacité incroyable d'aimer d'amour et de sexe plusieurs femmes à la fois.
      Mais je suis contente. Je crois que j'y arrive aussi très bien avec Honorine et Gaëlle qui, d'ailleurs deviennent de plus en plus amoureuses l'une de l'autre. Elles aussi m'aiment, et j'aime les regarder s'aimer et se dire des mots tendres...

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