|
1 |
|
2 |
|
3 |
|
4 |
|
5 |
|
6 |
|
7 |
|
8 |
|
9 |
|
10 |
|
11 |
|
12 |
|
13 |
|
14 |
|
15 |
|
16 |
|
17 |
|
18 |
|
19 |
|
20 |
|
21 |
|
22 |
|
23 |
|
24 |
|
25 |
|
26 |
|
27 |
|
28 |
|
29 |
|
30 |
|
31 |
|
32 |
|
33 |
|
34 |
|
35 |
|
36 |
|
37 |
|
38 |
|
39 |
|
40 |
|
41 |
|
42 |
|
43 |
|
44 |
|
45 |
|
46 |
|
47 |
|
48 |
Ce n'est pas encore la promesse d'une ville durable
Féminine
Jouissive
Faite pour les femmes
Libres ou non
D'obligations familiales
Pour celles qui n'ont pas peur la nuit
Et pas forcément envie de rester chez elles
Bonnes ou mauvaises citoyennes
Si peu friandes des rues bourrées de mecs bourrés
Qui harcèlent
Bonnes ou mauvaises citoyennes
Qui savent éviter les transports en commun
Et préfèrent la voiture
Pas seulement outil de mobilité
Mais surtout moyen de protection
Pour affronter la nuit
Piétonnes qui ne regrettent pas
Qu'on éteigne l'éclairage des rues
De bonne heure
Pour faire des économies
Piétonnes mieux invisibles
Dans le noir
Très obscur des rues
|
49 |
|
50 |
|
51 |
|
52 |
Ce billet est la réédition d'un billet d'Ophélie, datant du 22 janvier 2020.
Parce que je suis un peu paresseuse et souvent occupée à jouer à la poupée avec mes petites amies, parfois tard dans la nuit, je profite du travail déjà produit par Ophélie, pour effectuer cette réédition.
Comme vous, je regarde ces deux piétonnes, et je dis tout haut: quels culs, elles ont!
C'est comme le tien et celui d'Ophélie, entends-je derrière moi. C'est Honorine. Non, c'est plutôt comme le tien et celui de Gaëlle, rétorque-je à Honorine, avant de gober l'un après l'autre ses tétons qui pirouettent dans mon ciel comme deux soucoupes volantes.
Marianne
Paresse excusée, Marianne. Il y a des priorités qu'il ne faut pas reporter à plus tard...
RépondreSupprimerBon weekend de plaisirs !
Oui, surtout que les températures et l'ensoleillement sont bienveillantes. Il faut en profiter!
SupprimerMarianne
My impression is that the girls in pic. no. 51 have nicer asses than the two walking ones.
RépondreSupprimerWith your permission... I'd like to fantasize on the beautiful asses of all the inhabitants of the Presbytère... A.A.
I really don't know if the girls in pic no.51 have nicer asses than the two walking ones. I prefer the asses of those who walk, because the movement highlights them. Of course, dear A.A., from these examples you can fantasize about our presbyterian asses.
SupprimerMarianne
Je te comprends très bien Marianne. Je suis moi même un peu fainéant, en ce moment, sur le net. D'autres "occupations" d'un été qui nous veut être en mode farniente et excitante à la fois.
RépondreSupprimerOui, ces "occupations" prennent du temps, et ne sont pas toujours reposantes. Nous avons avec nous deux jeunes femmes très convaincantes et très demandeuses qui nous mènent à un train d'enfer, parfois fort tard dans la nuit... Mais c'est tellement merveilleux!
SupprimerMarianne
Regardant amoureusement la femme de l'image 44, je laisse mon regard errer calmement à travers les villes et les rues avec vous.
RépondreSupprimerAh... une faveur Marianne. Je voudrais être sur le balcon, qui est juste en dessous du balcon qui est la femme de l'image 3.
Plein de bisous à toutes les femmes du presbytère.
Tu as raison, Giannis, ce serait une bonne place où j'aimerais être également!
SupprimerLes femmes du presbytère te font la bise!
Marianne
Le texte m'emporte et transporte sa part de mystères, l'automobile pour se cacher, les rues piétonnes mal éclairées pour se beluter ( c'était le mot d'Ophélie? ). Et j'aime bien les rues sombres où tout rêve est possible : au Caire, les rues étaient peu illuminées. Les cités moins riches sont ainsi. Je n'eus pas de confidences de femmes isolées entre elles mais elles devaient se retrouver au hammam.
RépondreSupprimerOphélie nous a transmis ce rituel nocturne où la peur se mélange au plaisir, mais où rien n'est possible sans sécurité. La présence d'une auto, à proximité, est un facteur de réassurance! Je suis allée au Caire, il y a au mois 20 ans, avec mon mari, et ne pense assurément pas que ce rituel entre femmes y était possible! Encore moins maintenant!
SupprimerMarianne