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Pour ta peine Gaëlle
Tu devras astiquer le bijou d’Honorine
Et raccommoder l’océan
En même temps que j’agiterai deux doigts
Dans ton merveilleux soyeux fourreau
Marianne
Ophélie aimait les Préraphaélites. J'ai choisi d'illustrer ce petit poème de moi par quelques tableaux de ce courant de la peinture anglaise de la fin du XIXème siècle, ainsi nommé parce qu'il s'inspirait de la peinture italienne d'avant Raphaël.
Vous trouverez des œuvres de William Holman Hunt (1827-1910) en n°43, de John William Waterhouse (1849-1917) en n°1, 4, 11, 24, 26, 30, 32, 34, 36, 37, 40, 41, 45, 46, 48, 56, 57, de Dante Gabriel Rossetti (1828-1862) en n°2, 6, 8, 19, 21, 27, 29, 39, 49, de Edward Burne-Jones (1833-1898) en n°10, 12, 14, 16, 17, 23, 52, et de John Melhuish Strudwick (1849-1937) en n° 57.
Chez ces peintres, l'image de la femme est souvent double: ange salvateur, mais aussi beauté redoutable, belle et pure, mais aussi froide, glaciale même, à l'image de ce que devait représenter une femme dans la société victorienne.
A côté de ces femmes préraphaélites, j'en ai mis d'autres, plus chaudes.
Marianne
Quelles soient froides ou chaudes, elles sont toutes belles. Paradoxalement, si elles se mélangeaient, elles ne tiédiraient sûrement pas !
RépondreSupprimerBise.
Oui, je les trouve aussi toutes belles! Bon weekend Phil. Bise.
SupprimerJe pense que les plus chaudes doivent mieux correspondre à Gaëlle.
RépondreSupprimerSur la 20 est-ce un fantasme de se faire mordre par un vampire femme?
Pour le poème, c'est une jolie tournure, Marianne, pour ce message à Gaëlle.
Continue-t-elle à ne pas participer aux tâches quotidiennes ?
Allons Gaëlle....il n'y pas que le sexe dans la vie, oui, je sais, il y le cul aussi....
Merci, Gil. Oui, c'est un fantasme de lesbienne que de se faire mordre par un vampire femme! (un fantasme seulement). Gaëlle est vraiment adorable et participe bien maintenant aux tâches quotidiennes. Sa grande passion pour Honorine lui est profitable. Il n'y a pas de paresseuses au presbytère! Nous sommes vraiment unies toutes les quatre dans l'effort et dans le plaisir!
SupprimerUn fantasme de lesbiennes ?....Vous l'avez toutes ?
SupprimerExpliquez-moi votre excitation pour ce "penchant".
Je ne saurais dire si toutes partagent ce fantasme, mais c'est symboliquement un abandon de soi dans une autre femme vue comme "mère dévoreuse", parce qu'aimante. Je ne suis pas psychanalyste, mais on mange ou on croque ce qui est bon. N'as-tu pas entendu certaines femmes dire d'un enfant qu'il est mignon à croquer? "On en mangerait!" (c'est sans doute d'ailleurs ce que font les cannibales pour s'approprier les vertus des ennemis). De là vient peut-être le mot "croquignolet" pour dire mignon. Pour moi, Gaëlle et Honorine sont des jeunes femmes vraiment croquignolettes!
SupprimerTon explication me va Marianne.
SupprimerC'est peut-être pour ça aussi, qu'on aime à faire des suçons dans le cou de sa partenaire.
Il est vrai que c'est une pratique que l'on fait quand on est très jeune, parce qu'on est insouciant des traces que ça peut laisser.
Un moment, on voyait pas mal de jeunes filles avec un foulard autour du cou.
Mais la sensation était comparable à la morsure dun(E) vampire.
Marianne, vous êtes à croquer.
Merci!
SupprimerJ'ai les mêmes goûts qu'Ophélie pour les tableaux. Je n'ai pas regardé aussi attentivement les illustrations d'un autre style : mea culpa! Le sommeil s'approche et je suis sous antibiotiques. Je vous embrasse toutes les quatre.
RépondreSupprimerMerci Elisabeth. J'espère que tu vas mieux aujourd'hui! Bisous de nous quatre.
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