L'essaim
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J’aime les seins
Les miens et ceux des autres femmes
Ce ne sont rien moins
Que de véritables et affriolantes gourmandise pour l’œil
J’adore deviner ceux jolis des autres nanas
Sous un pull
Un chemisier
Les désirer comme si moi-même n’en avais pas
Et tripoter ceux de mes petites amies
Les triturer sous la laine ou le tissu
Retirer la laine
Ou le tissu
Dégrafer le soutif sans autorisation
Et saisir à pleines mains les globes fabuleux
J’adore les nichons volumineux
Fermes
Bien suspendus et bien galbés
Mais pas trop gros non plus
Ni trop gras
Ni trop énormes
Ni du genre monstrueux comme ceux de Lolo Ferrari
J’aime pouvoir en tenir un dans chaque main
Et pas avoir besoin de mes deux mains pour m’occuper d’un
(Ou alors faut être deux
Deux nanas
Une sur chaque miche)
J’adore les capturer
Les cajoler
Les palper
Les sucer
Les téter
Les aspirer
Parfois les gifler
Leur donner aussi du martinet
Les peindre à l’acrylique
Les perdre sous un ciel bucolique
Les noyer dans une baignoire
Non seulement j’adore m’amuser avec deux
Mais aussi avec quatre six huit dix
Et parfois davantage
C’est tellement charmant
Tellement excitant
De passer de ceux de l’une
À ceux de sa voisine
Et de ceux de la voisine
À ceux d’une autre voisine
Et ainsi de suite
J’aime les mamelons ni trop petits comme des petits bouts de vermicelle
Ni trop gros comme des cigares
J’aime les aréoles de taille raisonnable
Sûrement pas en boule
Mais pas non plus trop petites
Ni trop grandes comme des feuilles de nénuphar
Ni trop brunes ni trop pâles
Je suis aux anges quand par exemple mes amies branlent mon clitoris avec un de leurs tétons
Puis avec le deuxième
Et reviennent dare dare avec le premier
Et me font jouir de cette étrange et sublime façon
Et j’aime aussi branler le clitoris de mes amies avec mes tétons
L’un et l’autre alternativement
Pour les faire jouir de même et belle façon
Façon extrême que j’aime
Et me permet ensuite
De donner à sucer à mes belles gourmandes
La mouille de leur chatte qui dégouline de mes merveilles
Et de me délecter de ce beau spectacle
J’aime aussi l’ineffable contact de téton à téton
Et surtout la tétée en double
Chacune des tétées tétant les tétins de sa copine
(Ce qui nénécessite une disposition adéquate)
Enfin je ne déteste pas le téton armé
D’un lance-flamme
Ou d’une kalachnikov
Bien sûr je plaisante
Parce qu’il n’est pas du tout dans ma nature
Bien que barbare
D’être meurtrière du téton
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Ophélie Conan
Ceci est le Trente-huitième post, prévu et non publié par Ophélie, qui fait merveilleusement cohabiter le rouge et le noir, ce que j'aime beaucoup. Il fait également cohabiter les seins et les fruits (ainsi que les parapluies), et ce n'est que justice. Il y a aussi des boutons rouges et c'est bien normal. J'aime aussi son poème et ce qu'elle dit des seins.
Dans l'illustration, je retrouve ici une obsession de ma défunte amante: se promener nue dans des petits cimetière de campagne, s'y donner du plaisir, seule ou à plusieurs (n°3). Elle m'y entraînait souvent, et je dois dire qu'il nous est arrivé plein de fois d'orgasmer ensemble, assemblées en soixante-neuf, sur de froides pierres tombales.
La n°12 me ravit. La petite goutte de cyprine qui perle sous la chatte, et l'autre qui a dégouliné le long de la cuisse droite, en dit long sur ce qu'il vient de se passer ou de ce qu'il se passe encore entre elles deux. C'est très excitant de se masturber nues, en se regardant d'un peu loin.
J'aime aussi beaucoup la 4 et la 14. Ces exhibitions très érotisées entre femmes sont merveilleuses et font de belles photos.
J'aime la délicatesse de la 59 et la voracité de la 58.
J'aime la beauté ténébreuse de la 24, de la 42 et de la 48.
J'aime aussi comment débute ce petit-déjeuner en 38. En plus, la photo est très belle et pleine de grâce. Les deux tasses sont merveilleuses.
Merci Ophélie.
Marianne
Marianne
Je suis en phase avec tes ressentis sur les photos.
RépondreSupprimerLes perles de cyprine sur la 12 sont magnifiques. Un régal autant visuel que gustatif...
Les très beaux gifs 22 et 49 illustrent parfaitement la préférence d'Ophélie concernant la taille et la tenue des seins. J'avoue que je partage ses goûts.
Je suis néanmoins sceptique sur l'efficacité du branlage de clito avec le téton (gif 2), même pratiqué sur un temps long. Mais nous en avions déjà parlé.
Je comprends difficilement les motivations de celles qui se font percer les tétons, comme sur la photo 51. Outre le fait qu'elles doivent souffrir pendant et après le percement, je trouve que ce bout de métal est un obstacle gênant à une bonne succion du téton. Idem pour les piercings au niveau du clito qui gênent les cunnis. Mais n'étant pas une femme, il est peut-être normal que je ne comprenne pas où est l'intérêt.
Le cimetière n'est pas l'endroit le plus excitant du monde, sauf peut-être celui de Montmartre avec la tombe de Dalida. Je vous imagine vous donner mutuellement des orgasmes. Le contraste entre ce lieu lugubre et le plaisir le plus intense que le vivant peut procurer est intéressant.
Je comprends ton enthousiasme pour les photos 4 et 14. Vous êtes quatre et vous avez maintenant un lieu qui s'y prête à merveille. quant au photographe, je peux vous en conseiller un qui serait ravi de vous mettre en lumière... :)
Je t'embrasse et te souhaite un bon weekend, Marianne.
Merci Phil pour tes commentaires très détaillés. Je partage aussi tes réticences concernant le piercing des tétons et du clito, pour les mêmes raisons que toi, mais il faut reconnaître que sur les seins, cela peut faire beau.
SupprimerTu as raison, le plaisir d'orgasmes dans un cimetière est sûrement lié au contraste, plus exactement au défi qu'ainsi l'amour lance à la mort.
Concernant le photographe que tu connais, je le connais aussi!
Bise et bon dimanche!
J'aime beaucoup cette alternance de rouge et de noir. Provoquer un orgasme clitoridien avec son sein doit être très excitant et jouissif. Je ne sais quelle est la fonction du rouleau de papier toilette devant une femme qui semble rêver. J'aime la femme portant un voile rouge en exhibant son sein, la chambre avec un tableau d'une religieuse ( Thérèse d'Avila peut-être ou une higoumène peule. J'ai songé à Thérèse d' Avila : Je crois qu'Ophélie avait la biographie de cette femme rédigée par Julia Kristeva ). La 48 invite à la sculpture ( cette femme sur les racines d'un arbre ). Un squelette en 46 cache en son seins ( si j'ose dire ) une toute petite femme. Le poème est de toute beauté et tu as raison, Marianne : merci Ophélie.
RépondreSupprimerPour le papier toilette, je pense que tu parles de la 34. Mais est-ce bien du papier toilette? Je ne le pense pas, mais je je ne saurais dire ce que c'est... Un pot?
SupprimerOui, pour le tableau, je crois aussi qu'il s'agit de la Grande Thérèse, et, concernant le fait de provoquer un orgasme clitoridien de sa partenaire en utilisant ses tétons, c'est en effet très excitant, mais pas toujours efficace. Mais, comme on le sait, tout se passe dans la tête!
J'aime aussi beaucoup le poème d'Ophélie. Je t'embrasse, Elisabeth.
Quel bel atout, vous avez Mesdames.
RépondreSupprimerJe craque, assurément.
Ces seins, ces rondeurs, que l'on pèse, soupèse, caresse, embrasse,
suce, lèche...jamais, flagellé...je pense que ça peut être douloureux...
mais, il y en a qui aime (tu me le diras, Marianne).
Le texte d'Ophélie, est tout simplement délicieux à lire, et reflète bien l'une de ses préférences
de l'anatomie féminine et elle n'est pas la seule.
Il manquait ce texte, à ceux de vous, mes belles (les seins selon Gaëlle, Honorine et toi, Marianne, que je n'oublie pas, un vrai cadeau...peut-être que Joséphine pourrait s'y mettre aussi.)
Pour les photos, j'aime suivre tes commentaires. Toujours très intéressant de découvrir tes préférences.
(Le photographe de Fili, je le connais aussi.)
Oui, c'est le texte qu'Ophélie avait écrit à ta demande, je crois, et je l'aime beaucoup.
SupprimerQuant à Joséphine, elle dit qu'elle n'est pas prête à écrire un texte sur ce thème. "Pas pour l'instant, mais ça viendra peut-être", dit-elle.
Moi, celle que j'adore par dessus toutes, la 56... Charlotte Rampling.
RépondreSupprimerElle ne rentre pas dans les critères d'Ophélie ni dans les miens, mais malgré tout, je les téterais quand même.
Ha Charlotte, ouvrant son corsage pour dévoiler ses seins dans le Taxi Mauve. J'ai encore cette vison dans la tête même si le film n'a jamais été diffusé depuis fort longtemps.
Certe, ce n'est pas Harry Potter. Ha Hermione se dépoitraillant devant les élèves... C'est pas dans Harry Potter ? Ha bon.. Un autre film alors
Tu as raison, Charlotte Rampling est merveilleuse dans "Taxi mauve". J'ai aussi souvenir de ses seins dans "Portier de nuit"!
RépondreSupprimerConcernant Hermione, je ne saurais dire! C'est peut-être le film "Angel" de François Ozon!