Extension vers la probabilité d'un septuor

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 Cet été, nous avons rejoint Giulia à Rome, puis toutes les cinq, par la route, nous nous sommes rendues dans les Pouilles, cette partie de l’Italie située dans le talon de la botte et baignée par la mer Adriatique. Nous sommes descendues jusqu’à Alberobello, un joli village, où nous attendaient deux amies de Giulia, Georgina et Grazia. Ces deux divines nous ont accueillies chaleureusement et nous ont tout de suite fait visiter leur grand trullo bordé d’une magnifique terrasse avec piscine. Dans cet ensemble ancien, situé à l'extérieur de la ville, notre appartement était frais et spacieux, et disposait d’une cuisine équipée agréable. Autour des bâtiments, une campagne grillée, des champs de blé moissonnés, des allées de cerisiers et d’oliviers, et aussi des vignes. La région des Pouilles est une région viticole qui produit d’excellents vins blancs que nous avons beaucoup appréciés, au dîner, sur la terrasse.


 Comme vous vous en doutez, nous étions généralement nues toutes les sept sous les grands parasols de cette terrasse ensoleillée ou dans l’eau de la piscine. Tout nous invitait à la nudité, le soleil, la chaleur, la tiédeur de l’eau bienfaisante et, naturellement, la proximité des autres femmes, belles et désirables. Pour recevoir un excitant spectacle, il est évident qu'il faut d'abord en donner. 


 Nous ne faisions pas grand chose, à part préparer les repas, sortir aux alentours, nous reposer sur les transats de la terrasse et y faire l’amour en grappes. Le trullo appartenait à la famille de Grazia. Grazia est une brune magnifique de vingt-deux ans que Giulia a rencontrée à la Scala de Milan, en avril dernier. Georgina est sa jolie et discrète petite poupée, guère plus âgée. Rapidement, les deux frangines avaient accepté le principe d’un ménage à trois avec Giulia. Ainsi, depuis ce printemps, elles étaient toujours ensemble. L’idée d’agrandir leur petit triangle et d'y adjoindre d'autres langues vivantes vint à l’esprit de Giulia, toujours fertile en bonnes idées, et quand je lui écrivis que Marianne et moi formions désormais un quatuor avec Karine et Gaëlle, la belle Italienne voulut expérimenter la probabilité d'un septuor. 


 Je dois dire qu'à Alberobello, les Italiennes et les Bretonnes firent tout de suite bon ménage. Les sœurs Brontë qui n’avaient jamais connu de telles orgies en si grand nombre, étaient manifestement aux anges. Gaëlle la prude me surprit beaucoup. Jamais elle n’était la dernière à prendre l’initiative de téter des seins, surtout ceux de Georgina et de Grazia, dans les endroits les plus inattendus et à des moments les plus inopinés. Il faut dire que les deux jeunes Italiennes riaient et aimaient beaucoup ce genre de surprise.


 Alberobello est construite sur deux collines qui se font face. L’une d’entre elles est plus touristique avec son incontournable rue des Trulli qui, en réalité n’est qu’une succession de boutiques à souvenirs sans grand intérêt, mais nous aimions quand même nous y balader, rien que pour observer l’œil concupiscent des mâles italiens qui y déambulaient, car il y avait peu de touristes étrangers dans ce coin d’Italie. Évidemment, nous faisions notre effet toutes les sept, et certainement, les mâles nous imaginaient, nous prenant en levrette ou leur suçant avidement le manche. Mais non, ces pratiques nous étaient réservées, rien que pour nous. Quand j'y pense, nous avons de la chance!


 Nous avons visité Locorotondo, Polignano a Mare, Monopoli, Ostuni, Lecce et Otranto, les trois-quarts du temps sans petites culottes et sans soutiens-gorge. Nous avons également visité Bari, la métropole régionale, qui présente un quartier ancien intéressant, et Brindisi. Mais j’ai surtout aimé l’architecture baroque de Lecce, aussi appelée "la Florence du sud".


 C’est à  Lecce que nous avons appris l’affreuse catastrophe du viaduc de Genova, alors que nous nous trouvions sur la place Sant' Oranzo. Nous étions dans l’amphithéâtre romain, et j’étais en train de caresser les minous de Georgina et de Grazia dans un endroit discret et ombragé, quand soudain, son portable à la main, Giulia est venue nous apprendre la terrible nouvelle. C’était stupéfiant, nous étions complètement atterrées, mais que pouvions-nous faire? Nous compatissions pour ces victimes qui auraient pu être n’importe qui d’entre nous. Combien de fois étais-je passée sur ce viaduc, autrefois? Et Giulia? Ne l'empruntait-elle pas très souvent cette autoroute?


 Nous laissâmes la mort pour les autres, et la vie reprit doucement son cours, avec ses charmes et ses désirs, tandis que nous contournâmes la colonne de Sant' Oranzo, et passâmes devant les belles bâtisses des années vingt. Nous rentrâmes dans l’église Santa Maria delle Grazie, et reprîmes immédiatement nos petites manies érotiques, sans doute pour conjurer l'activité sournoise de la grande faucheuse. Georgina remonta ma jupe et m’enfonça doucement et gentiment un joli gode, tout en me bécotant, tandis que Grazia me tripotait et me suçait les seins. J’observais, non très loin, Marianne aux prises avec Gaëlle et Karine, dans une position tout à fait similaire. Seule, Giulia rôdaient entre les deux groupes et faisait prudemment le guet. Bien que devenues très chaudasses, nous entreprîmes de faire le tour de la place du Duomo, lieu incontournable à Lecce. La Basilique Santa Croce est franchement belle avec toutes ses façades ornées de fruits, de fleurs et de figures mythologiques qui donnent envie de vivre et de prendre du plaisir… Et c'est ce que nous faisions malgré cette catastrophe. Je me souviens, Grazia nous expliqua qu’il avait fallu plus de trois cents ans de construction pour arriver à terminer cette Basilique! Plus tard, dans le Palais Vernazza qui renferme deux mille ans d’Histoire, nous restâmes finalement très tranquilles, nous contentant de petits baisers volés quand cela nous était possible.



 Un soir, je ne sais plus lequel, Grazia nous demanda si nous aimerions une "grosse surprise". Bien sûr, une grosse surprise. Nous confirmâmes joyeusement, mais à condition évidemment que ce fût surtout une "bonne surprise". D’un air mutin dont elle a le secret, Grazia nous répondit: "Oui, je crois, que c’en est une bonne, mais il faudra prendre le risque de la tester". Elle nous demanda alors si nous voulions connaître cette surprise le lendemain ou un autre jour de la semaine. En chœur, nous répondîmes: "demain! demain!" Ainsi, elle nous proposa de l’accompagner le lendemain à Brindisi où débarquèrent, au début des années quatre-vingt-dix, les premiers bateaux de migrants Albanais.


 En début d’après midi, à Brindisi, nous entrâmes dans la cour d’une villa étrange dans laquelle vivait une femme assez âgée, plutôt excentrique, Anna. Anna, visiblement, nous attendait. J’appris par la suite, de la bouche de Giulia, qu’Anna avait fait découvrir le lesbianisme à Grazia, et qu’elle avait été sa maîtresse pendant deux années. Anna était la veuve d’un peintre de renom en Italie, plus ou moins surréaliste, et elle avait encore beaucoup de maintien et de chien, malgré un âge certain. Sans doute même avait-elle été une très jolie femme, si l’on en jugeait par les nombreux nus d’elle qui remplissaient les murs de son entrée et de son salon. Elle était vêtue d’une longue redingote en tissu noir très léger, presque transparent, et d'un chapeau noir très étrange, d’où tombait une dentelle noire qui lui cachait à moitié les yeux. Sous sa redingote qui n’était pas fermée, elle était manifestement nue, car à plusieurs reprises, j’aperçus, entre les deux pans mal joints de celle-ci, son pubis et ses seins un peu tombants. 


 Après quelques civilités très courtes, Anna nous emmena dans une sorte de véranda où régnait une grande humidité et où s’étalaient une débauche de plantes exotiques aux feuilles larges et gigantesques. Au centre, trônait une machine à baiser, oui je vous dis, une fucking machine. "Voici, mesdames, mesdemoiselles, nous dit Anna s'adressant aux françaises, dans un parfait français, presque sans accent, la jolie surprise que Grazia a voulu vous faire. Qu’en pensez-vous? Je la mets à votre disposition, je suis sûre que vous l’apprécierez. Comme vous pouvez le constater, c’est un modèle artisanal, créé et fabriqué par le génie de mon feu mari qui se branlait en me regardant l’utiliser. Mais elle fonctionne très bien, et dispose déjà de toute la technologie moderne. Il raffolait de me regarder, le bougre! Depuis sa mort, du reste, je m’en sers toujours, et j’ai plaisir à la confier à mes meilleures amies, n’est-ce pas Grazia? Toi, tu la connais bien cette machine, n’est-ce pas? Tu l’aimes beaucoup, et tu l’as utilisée de nombreuses fois avec moi, et tu l’utilises encore souvent avec Georgina, et maintenant avec Giulia."


 Je compris que Giulia et Georgina étaient dans le secret de la surprise. "Et, vous, Madame Conan, me demanda Anna, avez-vous déjà utilisé ce genre de dispositif?" Je répondis par la négative, que j’en étais restée au stade primitif du godemiché manuel ou dressé sur une ceinture, ce qui eut pour résultat qu’Anna me demanda si je voulais passer la première sur sa machine. J’acceptai, évidemment, et retirai mon petit short très moulant et mon débardeur. Nue, je m’installai devant la machine, tandis qu'Anna orientait vers mon sexe la partie mobile et alternative terminée par un classique godemiché. Quand ce fut fait, Anna commença à caresser ma vulve, tandis que Marianne et Karine me suçotaient le bout des nichons, ceci sans aucun doute pour m’exciter et me permettre de lubrifier le plus possible et dans la minute même. Quand je commençai à devenir marécageuse, j’ajustai mon entrejambes, afin que le gode pût se frayer un chemin, ce qu’il fit progressivement, au fil des aller-retours, jusqu’à me remplir complètement la chatte. C’était un vrai délice. Anna, que je connaissais pas une heure auparavant, excitait mon clitoris avec ses doigts d'une habileté diabolique de couturière. Elle utilisait aussi un vibromasseur et je me rendis compte que Grazia faisait varier la cadence des intromissions avec une télécommande. Toutes mes belles amies me regardaient, et certaines, se voulant certainement utiles à quelque chose, se relayaient autour de mes seins très durs pour les lécher, les titiller ou les mordre. Quand j'eus joui et bien dégouliné de tout mon jus, Anna, retira soudain sa longue redingote, mais garda son étrange chapeau sur sa tête. Effectivement, elle était totalement nue en dessous, j'avais vu juste. Je la trouvai encore très belle et très excitante pour son âge, malgré ses seins un peu affaissés et ses fesses un peu maigres (j’appris par la suite qu’elle avait soixante-dix ans passés). Elle s’installa à son tour sur sa machine pour se faire baiser devant nous toutes, et cette fois, c'est moi qui actionnai le vibromasseur et Gaëlle qui tint la télécommande.  


 Ce premier épisode de la machine dura une bonne heure, et nous y passâmes toutes. Ce fut bien un vrai plaisir que de regarder les réactions de chacune, d’observer attentivement l’introduction et la sortie du gode dans chaque chatte, de se régaler des petits jouics, presqu'inaudibles parfois, mais si mélodieux, et de regarder la cyprine couler à flots. C’était vraiment un très beau spectacle vivant.


 Autour de la villa, il y avait un grand jardin. Après cette introduction, si j’ose dire, Anna nous proposa des rafraichissements à l'ombre d’une tonnelle et nous nous y rendîmes, toujours dans le plus simple appareil. Ensuite, on s’éparpilla. Il y eut trois pôles d’attraction, toujours la fucking machine, une escarpolette accrochée à la haute et grosse branche d’un grand frêne, et la fraîche tonnelle avec ses discussions d'abeilles, ses rafraichissements et ses baisers et papouillements interminables. Le va-et-vient fut intense entre ces trois pôles, et l’après-midi se passa ainsi, assorti de tous ces petits plaisirs très simples et de sourires. Nous avions tant de bonheur à être ensemble qu’Anna nous invita à dîner. Ce n'était pas du tout prévu. Toujours nues, nous préparâmes la cuisine avec elle, et pendant le repas, nous nous rendîmes encore à la balançoire ou à la machine, souvent à deux. Constatant notre enracinement chez elle, l'étrange Anna nous invita aussi à dormir. Nous acceptâmes, et le moteur de la machine se remit souvent à vrombir durant la nuit.


 Anna était une personne étonnante. Elle avait été l'initiatrice de Grazia qui, malgré sa relation amoureuse avec Georgina, restait encore sous sa coupe, ça se voyait. Elle avait été l'amante d'une célèbre actrice italienne dont je tairais le nom. A douze ans, elle avait été violée par un cousin plus âgé, et c'est ce qui était arrivé aussi à Grazia, mais par un copain de son frère, quand elle avait huit ans. Le souvenir d'un viol est indélébile et rapproche certainement des personnalités assez différentes. C'est pourquoi, peut-être, sans qu'elle le sache, Gaëlle la très blonde était autant attirée par Grazia la très brune.  


 Durant notre séjour, nous sommes aussi allées sur les différentes plages de la côte est, où soufflait souvent un petit vent frais et rafraîchissant, et aussi dans les rochers de la côte ouest. A Gallipoli, par exemple, lorsqu’on atteint le pont de pierre pour accéder à la vieille ville avec tous les pêcheurs et leurs petits bateaux, on se trouve vraiment devant un spectacle charmant et merveilleux. Nous y sommes arrivées en fin d’après-midi et avons dîné dans un petit restaurant tranquille et excellent. Le soir est venu, et nous avons pu admirer le fantastique coucher du soleil sur la mer ionienne. Puis, nous sommes parties à pied vers les plages, tout au sud de la ville, et quand nous y sommes arrivées, il faisait totalement nuit. Grazia et Georgina se déshabillèrent et se précipitèrent dans l’eau, entraînant Karine et Gaëlle. Toutes les quatre, elles batifolèrent en riant et criant joyeusement, et nous implorèrent de venir très vite les rejoindre, ce que nous fîmes, Giulia, Marianne et moi. L’eau était un peu fraîche après ce bon repas et cette longue marche à pied, mais ce bain entre filles était vraiment excitant. Nous baisions des lèvres, caressions des nichons, des fesses, des entre-fessons, excitions des clitoris, tout cela me paraissait si enfantin et si féérique dans cette eau si limpide... Sur le sable, nous avons continué les étreintes, deux par deux, moi m’invitant dans les trois couples. Puis, en me mêlant des affaires des autres, nous avons fini par construire sur le sable un très beau château mouvant de femelles lubriques et entremêlées, notre septuor.


 Gaëlle sympathisait beaucoup avec Grazia, tout comme Georgina avec Karine. Bien que l'italien des françaises fût aussi mauvais que le français des italiennes, elles parvenaient quand même à discuter longtemps ensemble et à se comprendre, surtout en faisant des quantités de gestes. Les quatre plus jeunes avaient quand même tendance à former un petit groupe, mais sans excès. Elles se moquaient gentiment de nous, en nous traitant de "vieilles". Évidemment, avec mes cinquante balais je me sentais un peu visée, car j'aurais pu être leur mère. Mais je me trouvais encore si jeune, avec elles qui ne cessaient de répéter que je faisais jeune, que je n'avais pas un ride, et que mon corps ressemblait à celui d'une fille de vingt ans. J'étais fière et heureuse de tous ces compliments, surtout venant d'aussi jolies filles.


 Je me sentais toujours très amoureuse de Marianne mais, manifestement, comme Gaëlle, l'amour de ma vie en pinçait pour Grazia. De ce fait, souvent Marianne et moi, nous nous retrouvions entre les cuisses de la très jolie brunette. Nos langues œuvraient de concert côte-à-côte ou à tour de rôles pour faire jouir le même clitoris. Nous aimions notre complicité dans cette tâche unique, mais nous ne voulions favoriser personne ni oublier personne, surtout Gaëlle que j'avais tant convoitée. C'eût été impardonnable. Nos petites préférences du moment n'avaient guère d'importance, nous étions-là pour faire vivre la grande Ève, non, plutôt la grande Lilith. C'est pourquoi, nous retournâmes plusieurs fois à Brindisi, chez notre sorcière bien-aimée, l'étonnante Anna.


 Je n'aime pas me répéter, donc je ne détaillerai pas, même si, comme le disait Héraclite, on ne se baigne jamais deux fois dans l'eau du même fleuve. A Brindisi, nous ne rencontrâmes pas davantage de migrants, et chez Anna, nous passâmes évidemment de nouveaux bons moments. La machine explora d'autres trous.


 Une autre fois, sur la route qui mène à Porto Badisco, nous nous sommes arrêtées pour manger de très bons oursins. Une spécialité locale. Et ce même jour, je me souviens, c'était magnifique encore, comme les flots de cyprine qui avaient coulé à Brindisi. En allant dans le village le plus au sud de la botte, il s'appelle Santa Maria di Leuca, nous avons couru comme des écervelées vers les rochers qui se situent au pied du phare et, comme des folles téméraires, avons descendu dans les rochers. Nous aurions pu nous tordre le cou. Sur une petite plateforme herbue et pentue, Georgina, parce qu'elle m’accompagnait dans cette descente en me tenant la main, m’a léché la foufe, immédiatement quand je me suis allongée dans l'herbe rase. Bien évidemment, je lui ai rendu tout le bien qu’elle venait de me faire. Les autres filles, sur les rochers voisins, se tripotaient et se léchaient aussi. C'était encore un très beau spectacle, sur fond de mer, avec le vent dans les cheveux. Mais peut-être pouvait-on nous voir? 


 Il n'y avait que la mer devant. Peut-être du phare? Mais y avait-il un gardien, le jour, dans ce phare? D’ailleurs, y a-t-il encore des gardiens de phare dans les phares, aujourd'hui? En Bretagne, ils sont automatiques.

Ophélie Conan 

"Conan la barbare II", le 18 août 2018.


Pour faire suite au billet précédent, dans lequel j'évoquais un séjour dans les Pouilles, avec Georgina et Grazia, dans le Trullo appartenant à la famille de cette dernière, je publie aujourd'hui, l'article qu'en avait fait Ophélie, dès notre retour en France. J'ai eu beaucoup de plaisir à l'illustrer différemment.

Gaëlle, Karine et moi gardons un merveilleux souvenir de ce séjour en Italie, en 2018. Seules Ophélie et moi connaissions Giulia, laquelle nous a présenté Grazia et Georgina, puis Anna et sa machine.

Je suis évidemment restée en lien avec Giulia qui me donne souvent des nouvelles d'elle, de Georgina, de Grazia et d'Anna. Giulia, Georgina et Grazia vivent maintenant ensemble à Rome, dans un appartement près de la Piazza della Rotonda où se trouve le Panthéon. Comme nous, elles ont fait l'acquisition d'une machine. Quant à Anna, elle vit toujours dans sa jolie maison à Brindisi. Elle est en bonne santé et passe beaucoup de temps à se faire mettre par sa machine, ce qui est un signe de bonne santé, à 75 ans, n'est-ce pas, Joséphine? Depuis un an, une jeunette de 22 ans partage son quotidien, c'est Lucia. 

Marianne

 

 

 

 

Commentaires

  1. Having read this amazing description by Ophélie, I now understand how the use of this machine can be a source of tremendous arousal for all of you. Watching the one who is taken by the machine, stimulating her in various ways and commenting the act with dirty words is almost as arousing as being taken by the machine itself, which is simply an instrument of the group lovemaking. As for Anna, she is really une femme très étonnante. A.A.

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    1. I'm glad you understood, A.A.. Our machine is very important to us, because it is a source of very refined pleasures, especially in groups, as you have understood. We would like to buy a second one...

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  2. Après tout, l'amour et le plaisir ne connaissent pas de limite de temps. Volonté d'exister, confiance et respect et tout est possible. Et nos moments peuvent devenir très agréables.
    J'ai vu ce que ces "machines" peuvent offrir au plaisir sexuel. C'est merveilleux. Et l'image 58 sur le visage de la femme, je pense, dit toute la vérité.Bonne journèe Marianne.

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    1. Oui, ces machines sont importantes pour nous, car nous les utilisons en groupe. L'une se fait baiser par la machine, tandis que les autres regardent et stimulent clitoris et seins.

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  3. Certaines machines ont une vie plus sympa que bien des personnes ! 🙂
    Je me doute que Terminator n'est pas ton genre de film, mais on pourrait imaginer un tout autre scénario avec cette machine humanoïde...
    Le gif 65 est magnifique, avec cette cyprine qui coule à flot... J'adore.
    Bise et belle soirée, Marianne.

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    1. Tu as raison, certaines machines ont une vie très sympa, mais le savent-elles?
      Non, Terminator n'est pas mon genre de film et je ne vois pas le scénario que tu imagines...
      Bise, Phil.

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    2. Terminator est aussi une machine, infatigable. Et comme il a forme humaine, il pourrait aussi avoir un pénis, heu... un gode comme celui qui s'agite au bout de votre machine qui doit plus ressembler à une scie circulaire sur un établi de bricoleur.
      Je me disais donc que ce serait plus sympa de se faire baiser par une machine à l'apparence humaine que par une scie sauteuse.

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    3. Merci pour ce point de vue, Phil, mais ce n'est pas le nôtre... Tu dois te dire que nous sommes bizarrement faites! L'avantage d'une machine non-humanoïde, un tantinet scie sauteuse de chez Leroy-Merlin, c'est qu'elle laisse place à d'autres interventions externes et simultanées. Je te laisse deviner.

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    4. Je devine, oui. Les goûts et préférences de chacun(e) ne se discutent pas. Tel est votre plaisir...
      Un très beau weekend à vous toutes.

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    5. Merci pour ton esprit critique qui sait aller de pair avec in esprit de tolérance. Gros orage avec beaucoup de pluie, ce matin, et maintenant grand ciel bleu. Très bon weekend à toi aussi.

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  4. L'article d'Ophélie est merveilleux : il respire le bonheur, et la fantaisie. L'idée de la machine fabriquée par le mari d'Anna me séduit. Il y a un côté artisanal séduisant. Votre coopération est très excitante et l'idée de changer la pulsion du vibromasseur du clitoris me plaît. J'imagine que le même jeu s'est fait avec tous les godemichés. La course dans les rochers permet de rêver : ce pourrait être pour moi ceux du Hoggar..

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    1. Merci, Elisabeth. Ophélie n'attend plus de compliments, mais ton appréciation lui aurait fait plaisir!

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  5. La femme est une belle mécanique, bien huilée.
    Elle est accro, mais aussi acrobate.
    Je me souviens de ce texte.
    J'ai toujours eu envie de voir les Pouilles.
    Ça doit être splendide.
    J'allais te demander des nouvelles des belles italiennes.
    Mais tu l'as fait, Marianne.

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    1. L'Italie est un beau pays. Dommage que les abords des villes historiques soient aussi crades. Je garde quand même un beau souvenir des Pouilles, certainement embelli par nos belles amies!

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