Fin et début d'année chez Muriel et Rose

Je voudrais vous dire quelques mots de notre réveillon chez Muriel et Rose. 

Quand nous sommes arrivées le samedi dans l’après-midi, nous avons trouvé Karine, Marlène et Marceline déjà nues, en train de se goder manuellement sur le tapis du salon. Elles nous ont dit que Muriel et Rose étaient absentes, parties faire quelques courses de dernière minute. Nous les avons embrassées et avons déposé nos valises dans nos chambres. Puis, nous nous sommes déshabillées et les avons rejointes sur le tapis.

Ce réveillon commençait bien. Personnellement, je suis allée vers Karine pour la masturber et lui dévorer les nichons. Elle m’en a fait autant. Elle était contente. Moi aussi, j’étais très heureuse de retrouver mon amoureuse. Depuis quelque temps, il y a une passion secrète entre nous deux. Quand Muriel et Rose sont arrivées de leur course, Rose s'est écriée: "Décidément, on ne peut pas vous laisser seules! Vous êtes bien de belles salopes!"

Je ne vais évidemment pas vous décrire par le menu ces deux jours. Tout n’a pas été de cette intensité, il y a eu des hauts et des bas. Mais à partir de minuit, nous avons réalisé notre partouze à neuf. Je renonce à la décrire. C’est vraiment trop compliqué et le résultat sera forcément en dessous de ce que nous avons vécu. Je vous laisse imaginer. Cela a duré plus d’une heure. Vers une heure et demie du matin, nous nous sommes habillées (porte-jarretelles, soutiens-gorge seins nus, harnais, guêpières, corsets, pinces à tétons, plugs anaux…) et nous nous sommes mises à table pour dîner. Chacune avait un gode à côté de ses verres et de son assiette, et pouvait en user sur elle-même ou sur ses voisines. Après le dessert, nous avons dansé.

Le lendemain, le jour de l’An, nous nous sommes levées tard et, en début d’après-midi, avons refait une autre partouze à neuf. Après, nous nous sommes dispersées dans la maison. Moi, j’ai retrouvé Karine pour lui dire des mots d’amour et lui faire l’amour avec un gode-ceinture, tandis que d’autres expérimentaient la "fucking machine" de Muriel et de Rose. Quand je suis allée dans la salle de la machine avec Karine, Marlène était en train de se faire baiser par la mécanique, tandis qu’Honorine et Gaëlle lui suçaient les seins, chacune de son côté. C’était vraiment beau à regarder.  Karine s’est alors agenouillée et a léché la chatte de sa sœur, tandis que moi, je suis allée lécher celle d’Honorine.

La nuit venue, comme il faisait doux dehors, nous sommes allées nous promener dans le village, nues sous un manteau ouvert et en "high heels". Joséphine ne nous a pas accompagnées, elle était fatiguée. Il faut dire que Joséphine avait beaucoup donné d’elle-même dans ces deux magnifiques partouzes. 

Au final, il n’y avait rien de bien nouveau dans ces fêtes du 1er janvier, mais c’est toujours un plaisir de nous retrouver pour nous baiser et faire de grandes partouzes à neuf. Nous aurions pu être onze, mais Grace et Angela n’ont pu venir. Ah! J’oublie: au retour de notre promenade dans le village, nous avons dansé, surtout des slows.

Marianne