"Le monde d'Ophélie" est un hommage à Ophélie Conan, réalisé par moi, Marianne, son amoureuse de toujours.
Femme fatale
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Fred Niblo - The temptress (1926)
The Temptress est un film américain qui fait partie des classiques du cinéma muet. Ce film est important pour la manière dont il exploite le charisme et l'image de sa star principale, Greta Garbo, qui était l'une des plus grandes actrices de l'époque.
L'un des points les plus marquants de The Temptress est la performance de Greta Garbo dans le rôle principal de Margarita, une femme fatale. Le film fut un grand tournant dans sa carrière et marqua le début de son ascension fulgurante vers la célébrité. Elle y incarne une "femme fatale", personnage que l'on retrouve fréquemment dans le cinéma de l'époque, symbolisant le désir et le danger. C'est à partir de ce film qu'elle commence à incarner des personnages mystérieux et passionnés, des rôles qui deviendront son image de marque dans de nombreux films ultérieurs.
The Temptress exploite des thèmes classiques du cinéma muet de l'époque: le désir, la séduction, la passion et la morale. Il s'agit d'une histoire d'amour tragique, où les personnages sont confrontés aux conséquences de leurs désirs et actions. Margarita, bien qu'elle soit vue comme une "tentatrice" (selon le titre), est elle-même un personnage complexe, capable de rédemption mais aussi de destruction. Ce thème de la femme fatale est récurrent dans les films des années 1920, mais la façon dont The Temptress le présente est marquée par une grande intensité dramatique.
C'est un film fascinant, à la fois par son exploration des thèmes de la séduction et du désir, mais aussi en raison de l'impact qu'il eut sur la carrière de Greta Garbo. Il combine des éléments de drame romantique et de thriller psychologique, tout en mettant en lumière celle qui allait devenir l’une des plus grandes légendes du cinéma.
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Bien que Garbo ait souvent incarné des rôles de femmes fatales, distantes et presque inaccessibles, cette froideur apparente masquait une sensualité subtile qui transparaissait dans sa manière d'être. Elle n'était pas sensuelle dans le sens conventionnel du terme, mais sa capacité à combiner élégance, mystère et émotion intense créait une forme de sensualité unique et inoubliable.
Mais qu'est-ce qu'une femme fatale? C'est un archétype de personnage féminin qui incarne à la fois la séduction, le danger et la destruction. La femme fatale est souvent dépeinte comme mystérieuse, séduisante, charismatique, et indépendante, mais aussi comme un agent de chaos ou de malheur pour les hommes (ou les femmes) qui croisent son chemin. Dans la littérature, le cinéma, et les arts en général, elle est typiquement une figure qui utilise son pouvoir de séduction pour manipuler ou piéger ses proies de manière perverse, dans des situations tragiques. Contrairement à la femme traditionnelle, la femme fatale ne cherche pas à se soumettre à un homme ou à une norme sociale, mais apparaît toujours autonome et indépendante, libre et maîtresse de son destin. Elle joue également un rôle de miroir, en ce sens qu’elle interroge et défie les notions de pouvoir, de sexualité, et de genre dans la société. Elle incarne une forme de transgression qui fascine autant qu'elle effraie.
Nous, au presbytère, sommes-nous des femmes fatales? Le sommes-nous ou l'avons-nous été pour nous-mêmes?
J'avais un blog sur Wordpress, intitulé "Marianne a du chagrin" (http://danslesbottesdophelie.wordpress.com). Le 31 mai dernier, la gouvernance de Wordpress a jugé bon de le suspendre, sans doute parce qu'elle l'a estimé érotiquement incorrect. J'ai réclamé. Rien à faire. Pas de réponse. Aujourd'hui, il est toujours "suspendu". En fait, fermé. "Marianne a du chagrin" avait pour but de reprendre la suite du blog d'Ophélie Conan, intitulé "Conan la barbare", de faire revivre, à travers ce blog, celle qui fut ma compagne pendant dix ans, en publiant ses posts anciens et posthumes. Je voulais lui rendre hommage et aussi continuer la publicité de ses livres publiés en Kindle, chez Amazon. J'aimais bien ce qu'Ophélie avait affiché en exergue de son blog: " Expression du désir, de la sensualité et de la volupté, ce blog a pour objet l'expression d'un érotisme exclusivement féminin, état étrangement barbare, e...
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Francis qui avait écouté Antoine attentivement, ne cessait de hocher la tête. J'eus alors soudain le sentiment, peut-être injuste, qu'il n'y en avait que pour les deux hommes, et que nous, les femmes, nous n'avions pas vraiment notre place dans cette discussion hautement intello. Je me sentais également un peu irritée et décidai de m'interposer pour faire mon trou. — Etes-vous d'accord, Messieurs, dis-je en me levant et en marchant, que notre pauvre esprit fonctionne bien souvent dans l'attachement et l’illusion? — Naturellement! me répondit Antoine, méprisant, comme si je venais carrément d'enfoncer une porte ouverte. Il ne me laissa pas poursuivre. — Par définition, nous saisissons le monde extérieur comme réel. Mais en fait, le monde extérieur n'est que vacuité? Que savons-nous de sa réalité? Rien, sinon que nous savons que nous sommes constitués d'une conscience, ou plutôt, de plusieurs consciences: visuelle, auditive, olfactive, gustative, t...
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