Joséphine, bonne joueuse

 


C'est arrivé plusieurs fois à Aimy, dans la cuisine, pendant qu'elle épluchait des carottes et des oignons! A chaque fois, elle était surprise. Il faut dire que ça surprend, mais quand on ne met pas de petite culotte, voilà bien ce qui peut nous arriver dans la cuisine du presbytère. Comme les petites culottes sont interdites, c'est toujours ce qui nous arrive! Et c'est arrivé plusieurs fois à Aimy et, plusieurs fois, Aimy pleurait... mais c'était à cause des oignons.

Aimy a beaucoup apprécié son séjour au presbytère, elle nous a même dit qu'elle n'avait jamais vécu pareille aventure. Elle est donc tout à fait disposée à revenir. Elle a tout aimé: les situations magmatiques à huit, les duos et trios interchangeables, les solos distanciés et voyeuristes, la baise mécanisée et assistée de tendres bouches et de fragiles menottes, les séances de bdsm dans les communs...

Aimy était aussi très contente de retrouver Joséphine, et ce plaisir était réciproque et mettait frénétiquement en joie notre septuagénaire. Celle-ci, au début, se montrait particulièrement fière de présenter sa "trouvaille" aux autres filles qui ne la connaissait pas, et elle espérait - n'est-ce pas Joséphine? - se la garder un petit peu pour elle, afin d'avoir une relation plus privilégiée avec sa merveille. Mais c'était mal connaître la nouvelle venue qui est plutôt du genre curieux. La merveille a très vite voulu expérimenter autour d'elle, avec ses doigts, sa bouche et sa langue... Et elle n'a pas chômé.

De l'avis général, Aimy a beaucoup apprécié les Bretonnes (surtout Karine), et elle était littéralement fascinée par Gaëlle et Honorine, surtout par Honorine dont elle admirait la blondeur et dont elle n'arrêtait pas de sucer les nichons, ce qui incitait Gaëlle à aussi sucer ceux d'Aimy pendant le même temps. Pour être honnête, je ne m'exclurais pas du lot, car je crois que je la fascinais aussi beaucoup avec les miens. Et puis, elle me disait beaucoup aimer la manière dont je titillais son clito. Ophélie me le disait déjà.

Finalement, Joséphine a été très bonne joueuse et s'est montrée partageuse et heureuse de nous voir toutes épanouies et rayonnantes. Tous les matins, en bonne grand-mère, elle se félicitait de notre bonheur pendant que nous nous régalions de ses excellentes confitures que nous étalions amoureusement sur nos tartines.

Marianne

Commentaires

  1. Si les occupants originels du presbytère voyaient à quoi est désormais dévolu leur demeure, ils se retourneraient dans leur tombe ! Ou ils en ouvriraient le couvercle... sans les mains.
    Les seins ont remplacé les saints, les godes ont remplacé les cierges. Par contre, il y a toujours autant de dévotion ! Amen.

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    1. Merci Phil, tu nous a fait beaucoup rire. Mes amies et moi adorons l'image du couvercle qui s'ouvre sans les mains!
      Marianne

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  2. C'est sûr qu'il y a beaucoup d'options dans ce lieu unique. Je ne sais d'ailleurs pas si, il en existe un autre gorgé de belles filles avides de sexe, en France, même au monde..
    J'espère qu'Aimy écrira aussi sur ce blog comme le font des fois, Gaëlle et Honorine.
    Toujours intéressant d'avoir plusieurs avis, et en plus avec de belles écritures pour nous décrire toutes ces belles aventures.
    Donc, Aimy était en top cheffe ; les carottes, les concombres, les courgettes doivent avoir fière allure dans ses mains.

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    1. Je ne sais pas non plus s'il existe d'autres presbytères sur le modèle du nôtre... C'est une question que je ne m'étais pas posée. Ce qui est sûr, c'est que nous y sommes très heureuses. Un vrai paradis!
      Tu vois, je n'ai pas attendu de lire ton commentaire pour demander à Aimy un compte-rendu de ses impressions (voir "Aimy a aimé"). Elle était ravie, m'a-t-elle dit, d'avoir à écrire ce texte.
      Non, Aimy n'était pas en top cheffe, mais plutôt à l'épluchage des légumes, assez souvent. La top cheffe, c'est plutôt Joséphine.
      Marianne

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  3. J'imagine Aimy en pleine cuisine compliquée, ignorant, un votre constitution mais l'apprenant sur le tas. Je me souviens avoir appris à écrire sur du papier de verre formant la lettre à apprendre. Quand j'écris, je sens le toucher. Mes premiers pas dans la sculpture? J'ai l'impression que ce fut de très belles fêtes. Réchauffez-vous les unes les autres Je vous embrasse. Elisabeth de Hautségur.

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    1. Non, Aimy n'ignorait rien de notre Constitution! Nous lui avions bien expliqué, cet automne, pendant ma cure. Ce qui n'empêche qu'elle a appris très vite!
      Nous t'embrassons.
      Joséphine

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    2. Merci Joséphine,
      Ce séjour était donc prévu à l'avance. J'avais écrit à quatre heures du matin ce qui rend le commentaire un peu compliqué à déchiffrer. Il y a longtemps que nous n'avions pas eu un froid pareil. Votre mode de vie réchauffe, et il règne une atmosphère de complices chez vous. Je vous embrasse. Elisabeth de Hautségur.

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    3. Oui, il ne fait pas très chaud, mais devant la cheminée ou sous la couette, ça va; ailleurs, on s'autorise un petit haut; et puis, comme tu le dis, notre mode de vie nous réchauffe!
      Joséphine

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