Huit grandes nunuches

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Nous nous remettons doucement et progressivement de ces derniers jours de fêtes. 

Aimy est repartie ce matin dans ses Landes, enchantée de son séjour dans notre presbytère, ravie d'avoir fait la connaissance d'Honorine et de Gaëlle. Mais aussi de Karine, de Muriel et de Rose. Aimy est maintenant bien arrivée chez elle.

Karine, Muriel et Rose sont également bien arrivées dans leur Bretagne.

La séparation fut pour nous toutes un long moment de grande tristesse. Nous avons beaucoup pleuré dans les bras des unes et des autres. A la fin, nous pleurions de nous voir pleurer comme des Madeleine ou de grandes nunuches.

Nous nous sommes aussi fait beaucoup jouir durant ces cinq jours. Nous avons profité un max de tous nos jolis lolos et de tous nos beaux clitos et de tous nos charmants popotins. C'était magnifique. Grandiose. J'ai aussi retrouvé ma chère Karine que j'aime à la folie et que j'ai bien fessée, je l'ai retrouvée malgré cette manie merveilleuse de grande et constante interchangeabilité.

Nous étions aux petits soins, nous n'avons manqué de rien, gourmandes que nous étions. Les machines ont beaucoup fonctionné. Les godes trainaient un peu partout dans la maison, parmi les guirlandes lumineuses, les chandeliers et les boites de chocolats. Nous n'avons quasiment pas mis un pied dehors, because le temps n'était pas très engageant et nous n'en avions guère envie. Baiser, nous sucer, nous caresser, nous déclencher des orgasmes, nous aimer, nous susurrer des mots d'amour dans l'oreille, sous nos chevelures parfois enflammées, parfois mousseuses, étaient notre unique obsession de belles salopes.

Marianne