Dames respectables

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J’ai dû, un de ces derniers week-end, essuyer les assauts répétés de Joséphine, de Gaëlle et d'Honorine. Chacune s’était munie d’un gode-ceinture, et venait, à son tour, me défoncer la chatoune, d’abord en levrette, ensuite en position du missionnaire. Elles étaient très ardentes, ces trois putains de salopes et, effectivement, bien coordonnées dans leur action par "Madame Joséphine". A la fin, Joséphine a choisi mon trou du cul et les deux petites ont également suivi ce chemin avec leur gode. J’ai aimé. J’ai moins aimé, après, quand elles m’ont obligée de faire le tour du parc avec un plug dans le derrière. Il faisait froid, ce dimanche-là, et j’étais nue, je grelottais, mais j'ai fait ce qu'elles exigeaient, c'est le jeu. Heureusement, il faisait nuit, et personne du bourg, dans cette obscurité, ne pouvait me voir par la grille. Il va de soi, l’image publique est importante. Nous y tenons et avons à cœur d’apparaître comme des dames respectables. Cette année, comme l’an passé, nous participerons, au 14 juillet, au repas des Anciens de la commune, organisé par le Comité des Fêtes. Nous servirons les convives à table. Personne ne se doute de ce qui se passe derrière nos murs, sauf Olivier, notre homme à tout faire, mais il est lui-même homo, et très discret. Il se doute de ce que nous faisons, mais n’a jamais assisté à nos ébats, sauf peut-être accidentellement. Il n’a pas non plus demandé de regarder. Il vient peu et quand il vient, c’est pour nous livrer du mobilier bdsm qu’il nous construit, petit à petit. Alors, il nous prévient à l’avance et nous nous habillons pour le recevoir et l'aider à décharger les meubles. C’est ce que nous lui avons demandé de faire, et il le fait! Il est vraiment très réglo.

J'ai choisi d'illustrer ce post avec de jolies images dont certaines sont extraites des œuvres de François Schuiten. Né en 1956 à Bruxelles, ce dessinateur de bande dessinée et scénographe belge s'est rendu célèbre avec la série fantastique "Les Cités obscures" réalisée en collaboration avec le scénariste Benoît Peeters. Vous reconnaitrez les dessins de Schuiten en n°1, 3, 4, 7, 8, 9, 13, 14, 17, 19, 20, 21, 24, 25, 26, 30, 34, 35, 40, 41, 46, 47, 48, 52, 53, 56.

Marianne