"Le monde d'Ophélie" est un hommage à Ophélie Conan, réalisé par moi, Marianne, son amoureuse de toujours.
Le mystère des femmes de Delvaux
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Sensual paintings of Paul Delvaux
5 obsessions de Paul Delvaux
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Les femmes dans les tableaux de Paul Delvaux, artiste surréaliste belge, sont souvent représentées de manière énigmatique et symbolique. Elles apparaissent fréquemment nues, contemplatives et inaccessibles, avec un regard fixe et mystérieux. Ces représentations sont probablement influencées par la relation complexe que Delvaux entretenait avec sa mère, une figure autoritaire et possessive qui lui avait inculqué une certaine méfiance envers les femmes. Les femmes dans ses œuvres ne sont pas des portraits vivants mais plutôt des figurantes silencieuses et indifférentes, participant à l'atmosphère onirique et théâtrale de ses tableaux. Elles symbolisent un éternel féminin, isolé et inaccessible, et ne sont pas en soi des objets de contemplation érotique. Et pourtant! A notre avis, et selon Ophélie qui aimait beaucoup ce peintre, les tableaux de Delvaux sont quand même très érotiques!
Certes, les femmes dans ses tableaux ont souvent des expressions figées ou lointaines, ce qui accentue leur côté mystérieux. Elles sont parfois représentées dans des positions peu naturelles ou dans des lieux improbables (comme des rues désertes ou des paysages oniriques), ce qui leur donne un air d'irréalité.
Dans de nombreuses œuvres, elles semblent détachées du monde autour d'elles, comme si elles étaient en dehors de la réalité ordinaire. Cette solitude, loin d’être passive, soulève des questions sur leur rôle dans l'univers du tableau, souvent comme symboles d'une recherche intérieure ou d’un désir inaccessible. Pourquoi sont-elles là, dans cette tenue?
Delvaux intègre parfois les femmes de manière très forte à l'architecture, notamment les colonnes ou les murs, comme si elles étaient à la fois des objets et des symboles. Leur corps semble fusionner avec l’environnement, une manière peut-être de suggérer qu’elles cachent une dimension plus profonde, au-delà de la simple apparence physique.
Tout ça pour dire que l'érotisme de Delvaux n'est certainement pas direct, mais sous-jacent, subtil et non explicite. Les corps des femmes sont parfois représentés de manière idéalisée, comme une sensualité qui émerge de la relation entre la figure féminine et son environnement, ou de la solitude de l'individu face à une nature ou à une civilisation froide et déshumanisée.
Mais peut-être n'avons-nous pas assez relevé l'abondance et l'importance des rituels mystérieux qui, mine de rien, s'élaborent entre ces femmes nues. Ces rituels nous font penser à nos propres rituels nocturnes. Les rituels sont ici présents, mais de manière peu explicitement lesbiens, tandis que l'exhibitionnisme de ces femmes, lui est maximal. Contrairement à nous!
Si el artista no explica lo que pretendía transmitir, las especulaciones de sus obras serán variopintas, en mi humilde opinión, él refleja el carácter de su madre en sus obras dando a entender que para él las mujeres carecen de algo, pero es solo el reflejo de si mismo buscando una respuesta inconscientemente .
J'avais un blog sur Wordpress, intitulé "Marianne a du chagrin" (http://danslesbottesdophelie.wordpress.com). Le 31 mai dernier, la gouvernance de Wordpress a jugé bon de le suspendre, sans doute parce qu'elle l'a estimé érotiquement incorrect. J'ai réclamé. Rien à faire. Pas de réponse. Aujourd'hui, il est toujours "suspendu". En fait, fermé. "Marianne a du chagrin" avait pour but de reprendre la suite du blog d'Ophélie Conan, intitulé "Conan la barbare", de faire revivre, à travers ce blog, celle qui fut ma compagne pendant dix ans, en publiant ses posts anciens et posthumes. Je voulais lui rendre hommage et aussi continuer la publicité de ses livres publiés en Kindle, chez Amazon. J'aimais bien ce qu'Ophélie avait affiché en exergue de son blog: " Expression du désir, de la sensualité et de la volupté, ce blog a pour objet l'expression d'un érotisme exclusivement féminin, état étrangement barbare, e...
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Francis qui avait écouté Antoine attentivement, ne cessait de hocher la tête. J'eus alors soudain le sentiment, peut-être injuste, qu'il n'y en avait que pour les deux hommes, et que nous, les femmes, nous n'avions pas vraiment notre place dans cette discussion hautement intello. Je me sentais également un peu irritée et décidai de m'interposer pour faire mon trou. — Etes-vous d'accord, Messieurs, dis-je en me levant et en marchant, que notre pauvre esprit fonctionne bien souvent dans l'attachement et l’illusion? — Naturellement! me répondit Antoine, méprisant, comme si je venais carrément d'enfoncer une porte ouverte. Il ne me laissa pas poursuivre. — Par définition, nous saisissons le monde extérieur comme réel. Mais en fait, le monde extérieur n'est que vacuité? Que savons-nous de sa réalité? Rien, sinon que nous savons que nous sommes constitués d'une conscience, ou plutôt, de plusieurs consciences: visuelle, auditive, olfactive, gustative, t...
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Vous pourriez reproduire ces tableaux en photos, comme le font certains artistes photographes. 😉
RépondreSupprimerOui, j'ai déjà vu de ces photos (Le radeau de la Méduse, par exemple), mais ça donne des œuvres très différentes!
SupprimerMarianne
Si el artista no explica lo que pretendía transmitir, las especulaciones de sus obras serán variopintas, en mi humilde opinión, él refleja el carácter de su madre en sus obras dando a entender que para él las mujeres carecen de algo, pero es solo el reflejo de si mismo buscando una respuesta inconscientemente .
RépondreSupprimerL'important n'est pas toujours ce que l'artiste a voulu dire, mais ce que le spectateur comprend!
SupprimerHonorine