Seins en majesté
Il faut les regarder longtemps avant d'y toucher, avant de les manipuler. Ils sont l'essence même de la déesse. Mais attention, l'âme amoureuse de celle qui les regarde trop longtemps peut se dissoudre en eux et s'en rendre captive, s'y anéantir et se trouver plongée dans d'intenses et profondes ténèbres, comme si de belle et naïve amoureuse qu'elle était, elle devenait une proie dévorée par une bête sauvage, lentement digérée dans un ventre délicieux et nébuleux...
Karine
Longtemps admirateur et caresseur de ce sein Graal, je ne m'imaginais pas en si grand danger...
RépondreSupprimerC'est évidemment une vision très subjective!
SupprimerKarine
Très beau poème et tellement vrai.
RépondreSupprimerMerci beaucoup.
SupprimerKarine
Les seins ont toujours quelque chose de magique et d'érotique.
RépondreSupprimerTrès beau poème, Marianne
Merci Giannis, je ne suis pas Marianne, mais Karine son amante. L'erreur n'est pas grave, je suis nouvelle sur ce joli blog où l'on chante la beauté des seins qui t'enchante!
SupprimerKarine
Karine chère amie. Enchanté.
SupprimerJe te souhaite des moments heureux avec les filles, cela.
Bisous.
Je t'embrasse!
SupprimerKarine
Se fondre dans les seins, les pétrir, jusqu'au risque d'y sombrer ? En écho, j'évoque l'étreinte avec le sable dans le désert mais sans tomber dans l'abîme, mais s'y fondre en en étant pénétrée. Elisabeth. ( Elisabeth de Hautségur : si je ne mets pas mon nom, je ne suis pas informée. Oui, je suis sur la plateforme où j'ai rencontré et vraiment eu une complicité avec Ophélie. C'est le site d'Overblog ).
RépondreSupprimerC'est peut-être un peu pareil... Une expérience mystique?
SupprimerKarine
Oui, Karine, c'est une expérience mystique. Je crois qu'Ophélie vivait des orgasmes cosmiques. Je t'embrasse Karine. Elisabeth ( Elisabeth de Hautségur )
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