"Le monde d'Ophélie" est un hommage à Ophélie Conan, réalisé par moi, Marianne, son amoureuse de toujours.
Loulou
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George Wilhelm Pabst - Loulou (1929)
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Mes amies et moi avons voulu rendre hommage à Louise Brooks (1906-1985) en vous présentant "Loulou", film culte qui l'immortalise, réalisé par l'un des plus grands cinéastes du cinéma muet, George Wilhelm Pabst (1888-1967). Cette actrice américaine est sans doute la première de son temps à apparaître de manière vraiment naturelle. Elle est douée d'un jeu subtil et nuancé, bien mis en valeur par l'usage intensif des gros plans de son visage.
Le caractère de Louise, comme l'héroïne de "Loulou", n'était pas facile, elle aimait provoquer et scandaliser son entourage. Elle voulait que son visage devant la caméra fût neutre et renfrogné, mais parfois elle souriait d'une manière si inattendue et si incroyablement charmante, qu'elle en devenait éblouissante et enfantine. Elle se considérait comme une femme libérée, et posait volontiers nue pour les photographes. Elle eut des liaisons éphémères avec de nombreuses stars comme Chaplin ou Bogart et n'a jamais découragé les rumeurs selon lesquelles elle était aussi lesbienne et passionnément admirative de la beauté des jolies femmes.
D'ailleurs, "Loulou" serait le premier film de l'histoire du cinéma où deux femmes osent ostensiblement flirter ensemble (Louise Brooks dans le rôle de Loulou, et l'actrice belge Alice Roberts dans le rôle de la Comtesse Anna Geschwitz: photos n°3, 15, 22, 24, 41).
Merci pour ce film que je connais de nom mais que je n'ai jamais vu. Non seulement elle est sublime mais elle est résolument contemporaine. C'est le genre de femme que j'aurais souhaité rencontrée (malgré la barrière de la langue, mon anglais étant assez approximatif).
J'avais un blog sur Wordpress, intitulé "Marianne a du chagrin" (http://danslesbottesdophelie.wordpress.com). Le 31 mai dernier, la gouvernance de Wordpress a jugé bon de le suspendre, sans doute parce qu'elle l'a estimé érotiquement incorrect. J'ai réclamé. Rien à faire. Pas de réponse. Aujourd'hui, il est toujours "suspendu". En fait, fermé. "Marianne a du chagrin" avait pour but de reprendre la suite du blog d'Ophélie Conan, intitulé "Conan la barbare", de faire revivre, à travers ce blog, celle qui fut ma compagne pendant dix ans, en publiant ses posts anciens et posthumes. Je voulais lui rendre hommage et aussi continuer la publicité de ses livres publiés en Kindle, chez Amazon. J'aimais bien ce qu'Ophélie avait affiché en exergue de son blog: " Expression du désir, de la sensualité et de la volupté, ce blog a pour objet l'expression d'un érotisme exclusivement féminin, état étrangement barbare, e
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 L'usage du gode ceinture nécessite quelques préparatifs Toujours excitants Toujours exaltants Exactement comme l’exquise étreinte des algues Ou comme le travail sucré des abeilles Celle qui va bénéficier de ce miel A généralement beaucoup d'émotion Et de plaisir A aider sa compagne à mettre en place Cette chose Si cocasse Généralement Cela se passe Dans une grande complicité Avec un peu de chasteté Et beaucoup de féminotteries Il faut sangler Tirer sur les lanières Il faut que ça tienne bon Quand la fausse bite entrera dans le con L’instant se fait alors chair Et n'est plus à lécher Ni à tire-boutonner Et c’est un moment très peu clair Et particulièrement émouvant De savoir qu’on va baiser comme un mâle Une femme Ou que femme On va se faire baiser par une femme Qu'on va se faire prendre Par derrière En levrette Ou en missionnaire Par devant Ou qu’on va la prendre Selon ces belles manières Qu’on va l
Francis qui avait écouté Antoine attentivement, ne cessait de hocher la tête. J'eus alors soudain le sentiment, peut-être injuste, qu'il n'y en avait que pour les deux hommes, et que nous, les femmes, nous n'avions pas vraiment notre place dans cette discussion hautement intello. Je me sentais également un peu irritée et décidai de m'interposer pour faire mon trou. — Etes-vous d'accord, Messieurs, dis-je en me levant et en marchant, que notre pauvre esprit fonctionne bien souvent dans l'attachement et l’illusion? — Naturellement! me répondit Antoine, méprisant, comme si je venais carrément d'enfoncer une porte ouverte. Il ne me laissa pas poursuivre. — Par définition, nous saisissons le monde extérieur comme réel. Mais en fait, le monde extérieur n'est que vacuité? Que savons-nous de sa réalité? Rien, sinon que nous savons que nous sommes constitués d'une conscience, ou plutôt, de plusieurs consciences: visuelle, auditive, olfactive, gustative, t
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Cette femme avait effectivement beaucoup de charme.
RépondreSupprimerOui, beaucoup!
SupprimerMarianne
Merci pour ce film que je connais de nom mais que je n'ai jamais vu. Non seulement elle est sublime mais elle est résolument contemporaine. C'est le genre de femme que j'aurais souhaité rencontrée (malgré la barrière de la langue, mon anglais étant assez approximatif).
RépondreSupprimerPour faire ta vie avec?
SupprimerMarianne
Why not...
RépondreSupprimerJe te souhaite de la trouver!
SupprimerMarianne
Oh, une femme très charmante. J'aime vraiment ses yeux
RépondreSupprimerTu as raison, elle avait certainement de beaux yeux, son regard est pénétrant!
SupprimerMarianne