Welcome To The Machine


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Tes seins palpitent, lourds d’espoirs fracassés,
Dans le silence épais, les murs sont hérissés.
Et chaque battement résonne dans ta raie,
Comme si le temps même reculait, t'enculait.


Femme d’acier, d’argile, ou d’oubli condamné,
Tu avances encore, ton destin cramponné,
Mais derrière tes pas, ce monde se débine…
La machine t’avale. Et la lumière décline.

Marianne


Sandburg Tradeshow



 

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