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Affichage des articles associés au libellé Mes peines et mes joies

A propos d'Aimy

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Aimy, il n'en est plus question dans ces lignes, mais elle se porte bien. Nous correspondons souvent avec elle et passons de bons moments ensemble en visio. Gaëlle et Honorine l'aiment beaucoup et la trouvent très gentille et très belle. De son côté, Aimy dit qu'elle a hâte de nous revoir et de faire la connaissance (en vrai) de Gaëlle et d'Honorine. Il est question qu'elle vienne au presbytère quelques jours avant le premier janvier. Évidemment, nous passerons le réveillon de la Saint Sylvestre et le jour de l'an ensemble. Seront également présentes les Bretonnes (Karine, Muriel et Rose) qu'Aimy a aussi très envie de connaître. Les autres (Marlène, Marceline et Sandrine) nous feront faux-bond cette année, ayant d'autres chattes à fouetter ailleurs. Marianne  

Un jeu paisible

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  Voici un jeu bien paisible qui peut se jouer seule ou à plusieurs filles. Il réclame seulement de la discrétion, du naturel, mais aussi de l'attention, du contrôle de soi, de la hardiesse et de la patience. Le but est évidemment de ne pas se faire remarquer. Agréable durant les fortes chaleurs, il suppose d'être vêtue très légèrement et peut s'accompagner d'un usage furtif de quelques accessoires, mais il faut avoir l'œil et un bon entraînement. Quand on y joue à plusieurs, les autres joueuses peuvent se disposer non loin, uniquement pour assister à la beauté-incongruité du spectacle ou tenter de l'imiter. Marianne

Notre dernière semaine

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  L'hôtel des Baignots, vu de l'Adour La dernière semaine, nous retrouvâmes Aimy le mercredi soir, le samedi après-midi et le dimanche toute la journée. Le mercredi soir, nous sommes retournées à Soustons, chez elle, où nous nous sommes baladées dans le parc de la pointe des Vergnes. Ne travaillant pas le samedi après-midi, Aimy est ensuite venue passer tout le week-end, dans notre résidence. Ainsi, elle a dormi avec nous dans la nuit du samedi au dimanche.  Le mercredi soir, nous avons dîné dans un petit resto, puis, comme je l'ai dit, nous sommes retournées au parc de la pointe des Vergnes, là où nous avions rencontré notre Merveille. Quand nous sommes entrées dans le parc, il faisait nuit. Nous nous sommes bécotées et peloté les seins, debout, dans l'allée centrale, puis avons cherché et trouvé un banc au bord du lac, sur lequel nous nous sommes assises et avons continué de nous embrasser et de nous peloter les seins . Nous étions en jupe et chemisier et, comme il fa

Chez Aimy

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Joséphine préfère me donner la plume pour conter la suite de notre aventure à Soustons.  Ainsi Aimy nous avait invitées à dîner. En voiture, joyeusement, nous avons suivi sa voiture qui s'est arrêtée dans un quartier assez aéré, en limite de la ville. Aimy nous a introduites dans une petite maison sans étage, claire et confortable. Nous sommes restées avec elle dans la cuisine à préparer le dîner. C'était étrange. On ne connaissait pas cette fille et, en même temps, j'avais l'impression de la connaître depuis longtemps. Elle a mis de la musique sur Deezer et nous a demandé pourquoi nous vivions avec deux autres femmes. Nous lui avons expliqué.  — Ainsi, vous gouinez toutes les quatre, vous vous aimez et faites l'amour ensemble! C'est vraiment super! J'ai confirmé et ajouté: — Sauf en ce moment, puisque nous sommes séparées. Gaëlle et Honorine sont ensemble, en Bretagne, chez les parents de Gaëlle, puis elles iront ensuite en Normandie, chez ceux d'Honori

A la recherche d'Aimy

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Nous sommes allées à Soustons, sans perdre de temps, dans le seul  but d'y trouver Aimy. Marianne était plus que partante. Nous nous y sommes rendues durant plusieurs après-midis. Soustons est une ville proprette, sans particularité historique, et nous y avons déambulé sans relâche, dans l'espoir de rencontrer la Belle au coin d'une rue, mais rien. Nous sommes allées près du lac, notamment dans le parc de la pointe des Vergnes, qui est un lieu de promenade et de loisirs assez fréquenté, semble-t-il, par les Soustonnais, un lieu très agréable et bien ombragé. Et là aussi, pas d'Aimy. Nous commencions à désespérer. Un dimanche, le deuxième de notre séjour, en fin d'après-midi, en retournant marcher dans le parc de la pointe des Vergnes, Ô joie, nous l'avons aperçue, assise dans l'herbe en compagnie de deux petites filles. Je l'ai immédiatement reconnue. J'ai simplement dit: "C'est elle, c'est Aimy!" Elle m'a entendue et a dit &quo

A la cure

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  Comme l'an passé, je n'étais pas curiste. Seule, Joséphine bénéficiait de soins. Elle y allait tous les matins. Vers 9 heures 20, elle quittait notre appartement, nue sous son peignoir, descendait aux thermes, situés sous la résidence, et revenait vers midi et demi. Pendant ce temps, je l'attendais, nue sur notre lit ou sur le balcon, m'adonnant à la lecture, à l'audition de musique, notamment des chansons de Carisse van Houten, ou à des plaisirs solitaires (branlage clitoridien, gode manuel, gode-ventouse). Je dois préciser que notre appartement était situé au quatrième étage, et que, d'en-bas, personne ne pouvait me voir, d'autant que de très grands arbres masquaient la façade de la résidence. Malgré ces grands arbres, les balcons étaient ensoleillés tout l'après-midi. Dès que Joséphine remontait des thermes, nous nous habillions rapidement et allions déjeuner au restaurant, lequel était essentiellement fréquenté par des curistes âgés. Avec mes quara

Paresseuses et lascives

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  Au presbytère, Joséphine et moi avons retrouvé Honorine et Gaëlle, manifestement enchantées de leur séjour en Bretagne. Bien sûr, toutes les quatre, nous avons repris nos petites habitudes. Mais difficile de se remettre vraiment au boulot. Depuis notre retour, nous sommes toutes devenues lascives et paresseuses. Je ne sais pas ce qui se passe. Il y a des feuilles à balayer dans le jardin, de la taille d'arbustes et de la tonte de pelouse à faire, mais nous ne le faisons pas, c'est trop dur. Même d'écrire dans ce blog nous soucie. Nous n'avons qu'une seule envie: ne rien faire, ouvrir les cuisses, nous lécher, nous sucer, et nous introduire des godes. Marianne

Jojo part en cure

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The Cure - Just Like Heaven Demain, Joséphine et moi, nous partons pour trois semaines à Saint-Paul-lès-Dax. Comme l'an passé à la même époque, je l'accompagnerai à sa cure thermale. Celle-ci, faut-il le souligner, lui a été très nénéfique*. De leur côté, Gaëlle et Honorine iront chez les parents de la première, en Bretagne, puis après, chez ceux de la seconde, en Normandie. En Bretagne, Gaëlle et Honorine iront rendre visite à Karine, Muriel et Rose, mais aussi à nos copines Marlène, Marceline et Sandrine.  Pendant ce temps, mon blog sera en demi-sommeil. Comme vous l'avez vu, j'ai utilisé The Cure pour illustrer la cure. Quant au morceau choisi, il est adapté, je pense, à l'état d'esprit dans lequel se trouve actuellement ma Joséphine qui espère bien revoir son Aimy. Marianne * Je voulais écrire bénéfique, mais j'ai fait une faute de frappe. Je l'ai laissée parce que je trouve que ce mot est joli et que la cure lui a été aussi "nénéfique"! Ef

Comme le fleuve et la mer

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