Le retour de Joséphine
Vendredi dernier, quand Joséphine se présenta à la porte, sur le coup de vingt heures, avec les crampouzes qu’elle avait faites, je remarquai d’emblée que sa blouse était ouverte et qu’elle était nue en dessous. C'était volontaire. On voyait ses seins et sa chatoune, et Joséphine était comme toute chose, dans l'encadrement de la porte du jardin. Je n'en revenais pas, elle avait osé. Elle m'a dit: — Je suis revenue avec les crampouzes! — Je vois, dis-je, c'est gentil, Joséphine! Merci. Merci beaucoup. Je vois aussi que tu as osé, et que tu es revenue sans ta petite culotte et sans ton soutif. C'est bien. Tu as réfléchi et tu t'es préparée à faire la fête? — Oui. — C'est bien, répétai-je. — Mais j'ai peur. — C'est normal, mais sois rassurée, il ne t'arrivera rien de fâcheux! Entre, je vais appeler les filles, nous allons manger tes crampouzes, et puis après... Je suis sûre qu'elles sont délicieuses! J'appelai Gaëlle et Honorine qui é