La soumise, pendant sa soumission, dit beaucoup de choses ou ne dit rien. Parfois, elle attend très sagement, muette, le bon vouloir de sa ou ses maîtresse(s), parfois elle demande qu'on accélère l'intromission du divin gode. Par exemple, elle dit: "Viens, Maîtresse, enfile-moi et baise-moi vite!", elle peut ajouter: "Plus vite, s'il te plaît!", ou: "J'ai très envie de ton gode dans ma chatte, Honorine!". Mais donner des ordres à une maîtresse peut parfois augmenter le risque de châtiments ultérieurs ou compromettre la venue de l'intromission tant attendue. Dans ce dernier cas, cela produira une inévitable et compréhensible frustration chez la soumise déjà très excitée. Mais la soumise peut aussi se montrer faussement opposante. Parfois, elle peut dire à voix basse ou très forte, parfois en versant quelques larmes: "Non, non, Honorine, je ne veux pas!" ou encore: "S'il te plaît, Marianne, ne fais pas ça, je t'en

Bien sûr, ce dessin nous plaît beaucoup. Nous y retrouvons une scène favorite qu'il n'est guère besoin de commenter, tellement l'action représentée est claire. Chez nous, au presbytère, l'intromission d'un vagin par un gode-ceinture ne présente pas toujours la dramaturgie représentée ici, mais cela arrive quand même assez souvent, surtout quand nous jouons à nos jeux bdsm dans les communs de notre presbytère. L'une, magnifiquement harnachée du gode, enfile une soumise consentante ou faussement opposante, sous les regards envieux, admiratifs et bienveillants de deux autres futures (peut-être) soumises. Comme sur ce dessin, la soumise enfilée arbore un collier à chien en signe de parfaite soumission, et tous les seins honnêtes sont évidemment et légitimement aux premières loges. Nous remarquons que la fille de droite de ce dessin, Noire ou un peu dans l'ombre, s'identifie à la baiseuse, car elle semble disposer ses bras en arrière et avance son bas-ventre,

  1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 Silencieuse, Apolline posa son verre, et à cet instant, je sentis qu'elle était prête et que je n'aurais plus beaucoup d'efforts à faire. J'observai encore une dernière hésitation.   — Vous voulez peut-être que je la retire? — Non, me répondit-elle, en se levant et en me décrochant un large sourire, je le ferai moi-même, mais auparavant, j'aimerais vous dire que… Elle se tut et ne put s'empêcher de retenir deux larmes vraiment surprenantes. — Qu'y a-t-il? — Rien, faites pas attention, ça va passer. J'me rappelle qu'enfant, quand j'étais couchée, parfois j'avais l'impression que je m'envolais hors de mon lit. J'avais peur que mes bras et mes jambes, détachés de moi, ne soient piétinés par les passants dans la rue. J'entendais aussi une voix qui m'ordonnait d'arracher mes vêtements ou d'étrangl

— Ça me rappelles ce restaurant... Tu te souviens? C'était à Bonnebosq, en Normandie, où a vécu l'acteur américain Yul Brynner... — Oui, je me souviens, un petit village bien sympathique! Nous y sommes arrivées un dimanche midi, jour du marché. Nous y avons mangé... Le repas était honnête, mais le décor du resto, vraiment atroce! D'un austère! — En revanche, comme sur ce dessin, la serveuse était pas mal! Tu lui avais demandé si elle savait où avait habité Yul Brynner, et elle t'avait répondu: oui, au manoir de Criquebœuf. Pendant ce temps, tu lui mettais la main aux fesses! Elle aimait bien... — Oui, elle ne portait pas de culotte, c'était assez tentant! Tu me faisais d'ailleurs la gueule pour ça! — Pas du tout, je m'en fichais! — Non, tu ne t'en fichais pas, vraiment pas! — Si, si, je te jure! Vraiment! — Vraiment? Alors pourquoi me faisais-tu la gueule? — Je te voyais lui astiquer le clito, j'aurais voulu en faire autant, mais je n'osais pas!