Pas née pour le bonheur
À l’époque de Rose, je veux dire quand celle-ci vivait à la maison, et pas encore avec Muriel, Ophélie et moi lui étions particulièrement obéissantes pour jouer à des jeux de soumission. La drôlesse insistait pour nous attacher ou à nous faire marcher totalement nues, à quatre pattes, dans la maison ou dans le jardin, parfois dans les deux, tout en nous menaçant de sa badine. Elle-même était à moitié dénudée, toujours du bas, parce qu’elle trouvait (et trouve encore) ses nichons trop petits (comparés aux nôtres). Évidemment, nous raffolions de ces séances qu'elle improvisait le plus souvent. Nous étions traitées comme des esclaves ou des putes ou encore comme des femelles animales, à savoir des chiennes, des chattes, ou des louves, mais toujours, paradoxalement, nous nous ressentions très humaines, et parfaitement conscientes de jouer à un jeu très excitant et hautement cérébral. Tout cela était assorti de coups de badine sur nos fesses, de cunnis qu'on devait lui faire ou se f