Web of Lies Patiente, elle attend dans la nuit, Pattes velues prêtes à bondir sans bruit. La piqûre fatale sera précise et rapide, Ecrasant tout espoir, dans le silence livide. Les fils de soie, tels des chaînes de désespoir, Enserreront sa proie, la plongeront dans un laminoir. Et l'araignée joviale triomphe, son festin commence, Dans ce ballet macabre, où la vie semblait en dormance. Mais même dans cette danse funèbre et glacée, Une étrange beauté sombre est embrasée. La nature, cruelle, mais toujours fascinante, Sans cesse rappelle le pouvoir de sa force dominante. Gaëlle

J'ai pas vingt ans! Moi... Lolita Mademoiselle Juliette Blonde A contre-courant 1 2 3 4 5 6 7 8 Alizée Jacotey a été découverte en 2000 par Mylène Farmer et Laurent Boutonnat, après sa participation à l'émission "Graines de star" sur M6. Ils lui ont écrit et composé "Moi... Lolita", qui a lancé sa carrière à l'âge de 16 ans. La chanson a été un succès intergénérationnel et a contribué à faire d'Alizée l'une des artistes françaises les plus vendues du 21ème siècle. En 2024, Alizée a annoncé plusieurs projets, dont une tournée "Nostalgie" qui permettra à ses fans de revivre ses plus grands tubes, comme "Moi... Lolita".  

The Sea Sur la mer carnassière aux crocs d’argent, Un navire brave la tempête, défiant le vent. Ses voiles blanches, comme des âmes vierges, Se tendent sous le gréement, frémissent et s’immergent. Le voyage s’étire, dans une nuit sans fin, L’horizon s’efface, lointain et serein. Les morsures de la foudre, d’un éclat létal, Éclairent l'infini, l’appel d’un monde fatal. La mer rugit, danse sous la furie, Le navire résiste, noyé dans la tuerie. Mais au-delà des vagues, là où tout s’évade, Se cache le secret d’une ultime embrassade. Le voyage continue, vers des terres inconnues, L’horizon se rapproche, mais l’âme perdue Cherche en chaque tempête, en chaque instant de peur, L’écho d’une promesse, un espoir de lueur. Aimy

  Steampunk Sky City Steampunk Dreams Defective Steampunk Cyborgs Barbarella Steampunk The Brass Beauty Steampunk 2150 Le Steampunk est un genre culturel et esthétique qui s'inspire de la technologie et des designs du 19ème siècle, tout en les mêlant à des éléments de science-fiction et de fantastique. Il imagine un monde où la révolution industrielle s'est poursuivie et où la vapeur, plutôt que l'électricité ou le pétrole, est restée la principale source d'énergie. Ce genre mêle ainsi la mécanique victorienne à des éléments futuristes ou alternatifs. Le terme "Steampunk" a été utilisé pour la première fois dans les années 1980 par l'écrivain de science-fiction K.W. Jeter, qui l'a créé pour décrire un certain type de littérature qui mêlait des technologies anciennes et des récits futuristes. Cependant, les racines du Steampunk remontent bien plus tôt, à l'ère victorienne, avec des écrivains comme Jules Verne et H.G. Wells, qui ont exploré des mond...

Obsidian Chants Cette vidéo m'a tapé dans l'œil. J'en aime la musique et l'atmosphère, et mes amies aussi. Malgré quelques recherches, je ne saurais dire comment s'appelle ce groupe qui joue dans le cimetière. Cold Embrace? Ou Obsidian Chants? En tout cas, l'obsidienne m'a suggéré ce poème: Dans l’ombre d’une pierre oubliée, Là où le silence se fait si indiscret, L'obsidienne noire, miroir glacé, Réfléchit l’âme que l’on est. Le passage s’étend, douloureux, Un chemin d’ombre et de cieux, Les lèvres murmurent des mots retenus, Un souffle d’éternité suspendu. Un regard obsédant, où tout se perd, Dans cette lumière crue qui semble se taire, Et lentement, comme un rêve trop clair, Formes et sons disparaissent dans la mer. Sous l'éclat d'une nuit sans fin, Où la pierre s’effrite, où le temps s’éteint, L'obsidienne noire, triste sentinelle, Veille sur ce qui devient éternel. Gaëlle

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Cinq ans que je suis morte Cinq ans que j'ai pris la porte Cinq années que je ne m’écoule pas sous la terre Mais que je vole dans les airs Au-dessus de la mer Mon royaume est la baie d’Audierne Enjôleuse et carnassière J’y recherche activement et y trouve facilement Sur ses grandes plages de sable fin De la chair de femmes Pour des accouplements Barbares Et hors du commun Je vis seule éparpillée en mille cendres Mais suis encore belle Quand je me rassemble Quand dans la brume du soir je me dévoile et me ressemble Et sous les rayons de la lune me déploie Les vagues alors murmurent mon nom Et les étoiles guident mon désir vers de belles partenaires Je suis Ophélie et je danse dans la nuit Mon âme errante qui est libre et légère Ne trouve jamais la paix dans le pur éther Mais seulement la grâce Dans la fornication patiente entre libellules Marianne